Image Line annonce la sortie de son synthé virtuel additif qui se veut addictif : Morphine.
Créé par Maxx Claster, le père de Toxic III et Poizone (on voit tout de suite le champ lexical du bonhomme), c’est un synthé qui se veut peu gourmand en ressources CPU et qui est présenté comme ayant un son chaud.
Caractéristiques :
- Moteur audio optimisé afin d’obtenir une amplitude rapide et une consommation CPU faible
- 4 générateurs indépendants par voix
- Possibilités de layering pour le clavier avec jusqu’à 128 zones
- Nombre infini de points dans le spectre harmonique
- Controles d’amplitude, de tonalité et de panoramique pour les harmoniques
- Filtre et vélocité propre à chaque générateur
- Emulation d’échantillons audio
- Possibilité d’importer des enveloppes depuis des fichiers audio
- Modulation de l’enveloppe variable en temps réel qui peut être liée à une touche, à la vélocité ou à un autre contrôleur
- 4 filtres PWM (émulation spectrale d’un filtre en peigne, d’un filtre unison et d’un pulse-width)
- Générateur supplémentaire permettant d’utiliser un fichier audio tel un générateur de bruit afin de l’intégrer à la synthèse d’un son
- Possibilités de morphing, notamment des harmoniques, contrôlé soit en interne soit par une source externe
- Fonction Morphing Square permettant de faire un morphing sur l’ensemble des 4 générateurs
- Enveloppes à 4 points routables à de nombreux controles
- Polyphonie de 1 à 32 notes
- Enveloppe ADSR pour le Master
- 5 effets inclus : chorus, délai, réverbe, égaliseur et distorsion
- Interface dite user friendly
- 290 presets
Disponible pour Windows et Mac OS X en standalone et aux formats VST et Audio Unit au prix de 99$ jusqu’à la fin du mois de juillet, ensuite il passera à 159$. Des versions démos sont téléchargeables sur le site de l’éditeur.
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