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[AES] Arturia Analog Factory

On peut vouloir profiter des nappes d'un Moog modulaire ou des basses d'un Prophet sans pour autant passer des heures à les programmer. Partant de ce constat, Arturia a imaginé Analog Factory, un synthé proposant 2000 presets prêts à l'emploi, un synthé présenté en exclu à AudioFanzine sur l'AES.

Voici les carac­té­ris­tiques de la bête, atten­due sous Windows et Mac aux formats VST, AU & RTAS :
  • 2000 sons issus des modé­li­sa­tions de synthés analo­giques réali­sées par Artu­ria ((mini­moog V, Moog Modu­lar V, CS-80V, ARP 2600 V, Prophet V & Prophet VS).
  • Utili­sa­tion de la tech­no­lo­gie proprié­taire TAE®.
  • Gestion­naire de presets évolué permet­tant de filtrer les patchs par instru­ment, par type (basse, pads, leads…) et par carac­té­ris­tiques (hard, soft, complex, simple, short, long, etc.).
  • Orga­ni­sa­tion des presets par nom, instru­ment, type, consom­ma­tion CPU, favo­ris ou utili­sa­teurs.
  • Edition de base avec les para­mètres essen­tiels pour person­na­li­ser chaque preset (sections Filtre et LFO, 4 'Key Para­me­ters’ pour chaque preset, mixage des effets Chorus & Delay et enve­loppe ADSR).
  • 8 boutons bout­tons permet­tant de stocker 8 snap­shots pour les compa­rai­sons de deux sons, les varia­tions ou pour simpli­fier l’ac­cès à vos sons favo­ris en Live.
  • Dispo comme plug-in within your sequen­cer, on Mac and PC, or plays as a stand-alone soft­ware synthe­si­zer.
  • Inter­face défi­nis­sable : Preset Mana­ger seule­ment, clavier seule­ment ou les deux en même temps.
  • Gestion simple des contrô­leurs MIDI externe.
  • Jusqu’à 32 voix de poly­pho­nie en fonc­tion du preset chargé.
Annoncé pour le mois de juillet, l’Ana­log Factory devrait être vendu au prix de 199 € TTC.
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    Arnaud Cueff(Los Teignos)
    Auteur·rice de l’article

    Si j'ai fait de la guitare et un peu d'harmonica classiques en ENM dans mon enfance, c'est en autodidacte que j'ai fait l'essentiel de ma formation en matière de musique comme d'audio. Après des études de Lettres Modernes, j'ai travaillé pour la presse spécialisée puis web, tant dans le domaine des instruments de musique que dans celui des jeux vidéo (d'où mon pseudo). Je suis monté à bord du bateau Audiofanzine en 2004 en tant que rédacteur en chef, fonction que j'ai laissée quelques années plus tard à Grégoire Nachbauer (Red Led) tout en gardant un pied dans l'éditorial, en conservant notamment la rédaction de l'édito envoyé chaque semaine via la newsletter hebdomadaire du site comme en réalisant des tests, dossiers et contenus vidéo sur mes sujets de prédilection.