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laurent BERGMAN
« Kick That Bass !!! »
Publié le 23/06/16 à 16:33
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Pour les spécifications, veuillez vous reporter à l'onglet "Infos".
L'installation se fait sans problèmes via un exécutable. Pour l'autorisation du produit on peut soit récupérer le keyfile via son compte utilisateur (il doit être importé dans le délai imparti de 72 heures après téléchargement), soit, si la station de travail est connectée à internet, utiliser directement la fonction Online située dans la fenêtre qui s'affiche lors de la première ouverture du plug-in dans l'application hôte (à l'image du Frontier, le 1er plug-in de la marque à utiliser ce nouveau système d'autorisation). Simple et rapide !
Le manuel en anglais est clair et détaillé, mais si vous avez des difficultés avec la langue de Shakespeare, vous pouvez trouver le mode d'emploi que j'ai traduit en français dans la page de téléchargement du Plug-In.
Performances :
Très stable sur un Macpro 2014 hexacore/10.11.5/Logic Pro 10.2 et sur macbook Pro 15"/10.11.5/Logic Pro 9.1.8. Je l'ai utilisé de façon intensive pendant plusieurs semaines durant le bêta-test, aucuns bugs à déplorer.
Avis global :
Il s'agît ici d'un instrument de création de sons de Kick. La couleur du contenu est clairement orientée Electro, Trip-Hop, Techno voire Hardstyle, mais pas uniquement. La banque d'usine est assez exhaustive, elle est constituée de pas moins de 800 presets et 1.100 échantillons qui sont installés en même temps que le plug-in (a noter que le contenu a été réalisé en exclusivité par les sound-designers de CFA-Sounds et Sounds Of Revolution).
L'interface est comme à l'accoutumée sympa, bien pensée et intuitive. Ceci dit, D16 nous avait jusqu'à présent habitués à des interfaces sobres, très soignées et propres. Ici c'est plutôt dans le grunge qu'ils ont donné, avec quelques rayures et marques d'oxydation dans la peinture ici et là, à l'image de modules vieux de 30 ans maltraités et oubliés dans un sous-sol quelque peu humide. Ils me surprendront toujours
On dispose en premier lieu de trois générateurs nommés "Click", "Tops" et "Tools" basés uniquement sur la lecture d'échantillons. Ils sont destinés à créer tout ce qu'il y a autour du kick primaire (corps). Leurs interfaces sont identiques à une exception près pour le générateur "Click", celui-ci ne dispose pas du paramètre "Smp. Start" qui permet de définir le point à partir duquel la lecture de l'échantillon commence. Cela prend tout son sens puisque le générateur "Click" est destiné à ne produire que... des clicks très courts pour accentuer l'attaque d'un kick. On dispose donc ici des outils de base pour fabriquer ses sons, les empiler, les mixer, les filtrer, élargir ou rétrécir leur image stéréo, travailler légèrement leur enveloppe, les accorder (+/- 6 demis tons) ou encore pour les placer dans l'espace stéréo.
On peut importer ses propres échantillons dans chacun des générateurs basés sur un lecteur d'échantillons via leurs gestionnaires de presets respectifs, en activant le Mode "Edit" puis "Import Samples". Le gestionnaire d'échantillons des générateurs a une fonction de pré-écoute pour écouter les échantillons avant de les charger via le bouton "Auto-Play" (situé dans le gestionnaire de presets), pratique pour survoler rapidement les échantillons disponibles dans une banque (que ce soit via le navigateur de presets ou en utilisant les boutons "Prev/Next").
Vient ensuite le générateur hybride nommé "Kick" qui peut être utilisé soit avec un moteur de lecture d'échantillons, soit avec un moteur de synthèse à base de modélisation analogique. Ce générateur est le plus important dans le Punchbox car c'est celui qui génère ce qu'on appelle communément "le corps du Kick"... Amen ! (oups... je n'ai pas pu résister). C'est également le générateur le plus intéressant car avec celui-ci il y a vraiment matière à travailler. En plus d'être doté d'un lecteur d'échantillons, il dispose de moteurs de génération synthétique qui sont basés d'une part sur la modélisation analogique des générateurs de Kicks que l'on trouve dans les TR-909, 808, 606 et d'autre part sur la modélisation d'un oscillateur à forme d'onde sinusoïdale. Chaque moteur de génération possède ses propres paramètres ainsi que son gestionnaire de presets distinct. L'ensemble des générateurs répondent à la vélocité si celle-ci est activée. En revanche, le paramètre KeyTrack n'affecte que le générateur "Kick".
Une petite chose va être corrigée lors d'une mise à jour suite à ma demande lors du bêta-test, c'est le fait que si on règle "Velocity" ou KeyTrack" sur "On", dès que l'on change de preset cela se remet sur "Off", un peu rébarbatif sur ce point, mais cela va être réglé.
Chacun des quatre générateurs dispose de son propre paramètre d'envoi vers la chaîne d'effets, et d'une fonction "Mute/Solo".
Nous pouvons également importer et exporter les échantillons sous forme de paquets.
Au niveau du son, du réalisme et des fonctionnalités des moteurs de synthèse c'est une réussite.
La chaîne d'effets n'est pas en reste puisqu'on dispose d'un Bitcrusher, d'une distorsion, d'un filtre multi-mode avec les types de filtres Passe-bas, Passe-bande et Passe-haut avec des pentes de 12dB et 24dB, d'un EQ 3 bandes dont la bande centrale est paramétrique (ce qui est qui amplement suffisant) et enfin d'un limiteur doté d'un "Auto-Makeup". L'ordre des effets dans la chaîne de processeurs peut être changé (en faisant simplement un glissé/déposé de l'effet désiré vers la destination tout autant désirée), petite exception pour le limiteur, chose normale au vu de sa fonction, sa position est fixe en bout de chaîne de traitements. De fait, le module "Limiter" se trouve être également le bloc "Master". A noter aussi que les modules "Bitcrusher", "Distortion" et "Multimode Filter" possèdent chacun un paramètre "Fx Amount" qui permet de doser la quantité d'effet produit par le module avant d'entrer dans le module suivant.
La qualité des effets est à la hauteur de ce que fait habituellement D16, d'excellente facture.
Le routing interne peut être modifié via une fonction appelée "Mixdown After". Grâce à cette fonction le point où le signal "direct" se joint au signal de "Send" dans trajet de la chaîne d'effets peut être déplacé entre Fx1, FX2, FX3 et FX4, ce qui permet des routings plus complexes et d'obtenir une palette sonore encore plus large en terme de couleur de traitement en combinant "Mixdown After" et le changement de l'ordre des modules dans le chaînage des effets. Pour être plus précis, la fonction "Mixdown After" permet d'avoir ce qui s'apparente à un traitement parallèle grâce aux différents points où peut se faire la sommation des signaux (voir les diagrammes du trajet de signal et les détails sur cette fonction qui sont décrits dans les pages 18 et 26 du mode d'emploi en français).
On dispose également des fonctions Midi Learn. Un clic droit sur un paramètre affiche la fenêtre pour son assignation à un contrôleur Midi externe. Petite astuce pour ceux qui comme moi utilisent un MacbookPro avec un pad d'ancienne génération (dépourvus de clic droit), il suffit de cliquer sur un paramètre en maintenant enfoncées les touches "Ctrl" et "Majuscule" pour faire apparaître son menu contextuel d'assignation.
J'en termine avec une petite fonction qui permet d'exporter directement en fichier .wav le son du Kick généré avec les réglages actuels du plug-in sans devoir en faire un bounce à l'aide du petit bouton de couleur rouge nommé "Export" qui est situé en haut de l'interface utilisateur .
En résumé, cet instrument est vraiment d'une facilité d'utilisation déconcertante contrairement à l'idée que l'on peut s'en faire lors de la première vue de son interface utilisateur et il est agréable à utiliser. Comme je l'ai écrit plus haut, c'est très ergonomique et on va à l'essentiel, un autre point fort de l'équipe D16. Les générateurs basés sur la modélisation analogique sont très réussis, la qualité des effets est au rendez-vous et la banque de presets et d'échantillons d'usine est très bien fournie.
Il est vrai que cette version 1.0 est encore dépourvue de certaines fonctions que l'on trouve dans les produits proposés par la concurrence, telles que l'affichage de la forme d'onde de l'échantillon utilisé et les fenêtres d'édition de courbes d'enveloppes pour n'en citer que deux. L'instrument est destiné à être enrichi de nouvelles fonctionnalités et à évoluer au fil des mises à jours futures, ce qui me rend très optimiste... C'est assez prometteur.
j'ai pu comparer le Punchbox avec l'un de ses concurrents que je possède, le Metrum. Ce dernier est plus une usine à gaz, l'interface est moins intuitive à mon goût et dispose peut être d'un peu trop de fonctionnalités qui ne sont pas toujours indispensables ce qui ne l'empêche pas, loin de là, d'être un très bon produit que j'aime beaucoup soit dit en passant. Le Falcon de chez UVI (que je possède également) permet aussi de faire énormément de choses dont certaines s'approchent de ce que peuvent faire le Metrum et le Punchbox réunis de par ses moteurs de synthèse et ses paramètres particulièrement avancés, mais ce serait un sacrilège de le cantonner à ce type d'utilisation basique, car là on ne joue vraiment plus du tout dans la même division.
Comme d'habitude je voulais développer au mieux l'ensemble des caractéristiques. Etant bêta-testeur de leurs produits et l'ayant trituré de fond en comble, ceci s'apparente donc plus à un banc d'essai qu'à un avis d'utilisateur.
.
L'installation se fait sans problèmes via un exécutable. Pour l'autorisation du produit on peut soit récupérer le keyfile via son compte utilisateur (il doit être importé dans le délai imparti de 72 heures après téléchargement), soit, si la station de travail est connectée à internet, utiliser directement la fonction Online située dans la fenêtre qui s'affiche lors de la première ouverture du plug-in dans l'application hôte (à l'image du Frontier, le 1er plug-in de la marque à utiliser ce nouveau système d'autorisation). Simple et rapide !
Le manuel en anglais est clair et détaillé, mais si vous avez des difficultés avec la langue de Shakespeare, vous pouvez trouver le mode d'emploi que j'ai traduit en français dans la page de téléchargement du Plug-In.
Performances :
Très stable sur un Macpro 2014 hexacore/10.11.5/Logic Pro 10.2 et sur macbook Pro 15"/10.11.5/Logic Pro 9.1.8. Je l'ai utilisé de façon intensive pendant plusieurs semaines durant le bêta-test, aucuns bugs à déplorer.
Avis global :
Il s'agît ici d'un instrument de création de sons de Kick. La couleur du contenu est clairement orientée Electro, Trip-Hop, Techno voire Hardstyle, mais pas uniquement. La banque d'usine est assez exhaustive, elle est constituée de pas moins de 800 presets et 1.100 échantillons qui sont installés en même temps que le plug-in (a noter que le contenu a été réalisé en exclusivité par les sound-designers de CFA-Sounds et Sounds Of Revolution).
L'interface est comme à l'accoutumée sympa, bien pensée et intuitive. Ceci dit, D16 nous avait jusqu'à présent habitués à des interfaces sobres, très soignées et propres. Ici c'est plutôt dans le grunge qu'ils ont donné, avec quelques rayures et marques d'oxydation dans la peinture ici et là, à l'image de modules vieux de 30 ans maltraités et oubliés dans un sous-sol quelque peu humide. Ils me surprendront toujours
On dispose en premier lieu de trois générateurs nommés "Click", "Tops" et "Tools" basés uniquement sur la lecture d'échantillons. Ils sont destinés à créer tout ce qu'il y a autour du kick primaire (corps). Leurs interfaces sont identiques à une exception près pour le générateur "Click", celui-ci ne dispose pas du paramètre "Smp. Start" qui permet de définir le point à partir duquel la lecture de l'échantillon commence. Cela prend tout son sens puisque le générateur "Click" est destiné à ne produire que... des clicks très courts pour accentuer l'attaque d'un kick. On dispose donc ici des outils de base pour fabriquer ses sons, les empiler, les mixer, les filtrer, élargir ou rétrécir leur image stéréo, travailler légèrement leur enveloppe, les accorder (+/- 6 demis tons) ou encore pour les placer dans l'espace stéréo.
On peut importer ses propres échantillons dans chacun des générateurs basés sur un lecteur d'échantillons via leurs gestionnaires de presets respectifs, en activant le Mode "Edit" puis "Import Samples". Le gestionnaire d'échantillons des générateurs a une fonction de pré-écoute pour écouter les échantillons avant de les charger via le bouton "Auto-Play" (situé dans le gestionnaire de presets), pratique pour survoler rapidement les échantillons disponibles dans une banque (que ce soit via le navigateur de presets ou en utilisant les boutons "Prev/Next").
Vient ensuite le générateur hybride nommé "Kick" qui peut être utilisé soit avec un moteur de lecture d'échantillons, soit avec un moteur de synthèse à base de modélisation analogique. Ce générateur est le plus important dans le Punchbox car c'est celui qui génère ce qu'on appelle communément "le corps du Kick"... Amen ! (oups... je n'ai pas pu résister). C'est également le générateur le plus intéressant car avec celui-ci il y a vraiment matière à travailler. En plus d'être doté d'un lecteur d'échantillons, il dispose de moteurs de génération synthétique qui sont basés d'une part sur la modélisation analogique des générateurs de Kicks que l'on trouve dans les TR-909, 808, 606 et d'autre part sur la modélisation d'un oscillateur à forme d'onde sinusoïdale. Chaque moteur de génération possède ses propres paramètres ainsi que son gestionnaire de presets distinct. L'ensemble des générateurs répondent à la vélocité si celle-ci est activée. En revanche, le paramètre KeyTrack n'affecte que le générateur "Kick".
Une petite chose va être corrigée lors d'une mise à jour suite à ma demande lors du bêta-test, c'est le fait que si on règle "Velocity" ou KeyTrack" sur "On", dès que l'on change de preset cela se remet sur "Off", un peu rébarbatif sur ce point, mais cela va être réglé.
Chacun des quatre générateurs dispose de son propre paramètre d'envoi vers la chaîne d'effets, et d'une fonction "Mute/Solo".
Nous pouvons également importer et exporter les échantillons sous forme de paquets.
Au niveau du son, du réalisme et des fonctionnalités des moteurs de synthèse c'est une réussite.
La chaîne d'effets n'est pas en reste puisqu'on dispose d'un Bitcrusher, d'une distorsion, d'un filtre multi-mode avec les types de filtres Passe-bas, Passe-bande et Passe-haut avec des pentes de 12dB et 24dB, d'un EQ 3 bandes dont la bande centrale est paramétrique (ce qui est qui amplement suffisant) et enfin d'un limiteur doté d'un "Auto-Makeup". L'ordre des effets dans la chaîne de processeurs peut être changé (en faisant simplement un glissé/déposé de l'effet désiré vers la destination tout autant désirée), petite exception pour le limiteur, chose normale au vu de sa fonction, sa position est fixe en bout de chaîne de traitements. De fait, le module "Limiter" se trouve être également le bloc "Master". A noter aussi que les modules "Bitcrusher", "Distortion" et "Multimode Filter" possèdent chacun un paramètre "Fx Amount" qui permet de doser la quantité d'effet produit par le module avant d'entrer dans le module suivant.
La qualité des effets est à la hauteur de ce que fait habituellement D16, d'excellente facture.
Le routing interne peut être modifié via une fonction appelée "Mixdown After". Grâce à cette fonction le point où le signal "direct" se joint au signal de "Send" dans trajet de la chaîne d'effets peut être déplacé entre Fx1, FX2, FX3 et FX4, ce qui permet des routings plus complexes et d'obtenir une palette sonore encore plus large en terme de couleur de traitement en combinant "Mixdown After" et le changement de l'ordre des modules dans le chaînage des effets. Pour être plus précis, la fonction "Mixdown After" permet d'avoir ce qui s'apparente à un traitement parallèle grâce aux différents points où peut se faire la sommation des signaux (voir les diagrammes du trajet de signal et les détails sur cette fonction qui sont décrits dans les pages 18 et 26 du mode d'emploi en français).
On dispose également des fonctions Midi Learn. Un clic droit sur un paramètre affiche la fenêtre pour son assignation à un contrôleur Midi externe. Petite astuce pour ceux qui comme moi utilisent un MacbookPro avec un pad d'ancienne génération (dépourvus de clic droit), il suffit de cliquer sur un paramètre en maintenant enfoncées les touches "Ctrl" et "Majuscule" pour faire apparaître son menu contextuel d'assignation.
J'en termine avec une petite fonction qui permet d'exporter directement en fichier .wav le son du Kick généré avec les réglages actuels du plug-in sans devoir en faire un bounce à l'aide du petit bouton de couleur rouge nommé "Export" qui est situé en haut de l'interface utilisateur .
En résumé, cet instrument est vraiment d'une facilité d'utilisation déconcertante contrairement à l'idée que l'on peut s'en faire lors de la première vue de son interface utilisateur et il est agréable à utiliser. Comme je l'ai écrit plus haut, c'est très ergonomique et on va à l'essentiel, un autre point fort de l'équipe D16. Les générateurs basés sur la modélisation analogique sont très réussis, la qualité des effets est au rendez-vous et la banque de presets et d'échantillons d'usine est très bien fournie.
Il est vrai que cette version 1.0 est encore dépourvue de certaines fonctions que l'on trouve dans les produits proposés par la concurrence, telles que l'affichage de la forme d'onde de l'échantillon utilisé et les fenêtres d'édition de courbes d'enveloppes pour n'en citer que deux. L'instrument est destiné à être enrichi de nouvelles fonctionnalités et à évoluer au fil des mises à jours futures, ce qui me rend très optimiste... C'est assez prometteur.
j'ai pu comparer le Punchbox avec l'un de ses concurrents que je possède, le Metrum. Ce dernier est plus une usine à gaz, l'interface est moins intuitive à mon goût et dispose peut être d'un peu trop de fonctionnalités qui ne sont pas toujours indispensables ce qui ne l'empêche pas, loin de là, d'être un très bon produit que j'aime beaucoup soit dit en passant. Le Falcon de chez UVI (que je possède également) permet aussi de faire énormément de choses dont certaines s'approchent de ce que peuvent faire le Metrum et le Punchbox réunis de par ses moteurs de synthèse et ses paramètres particulièrement avancés, mais ce serait un sacrilège de le cantonner à ce type d'utilisation basique, car là on ne joue vraiment plus du tout dans la même division.
Comme d'habitude je voulais développer au mieux l'ensemble des caractéristiques. Etant bêta-testeur de leurs produits et l'ayant trituré de fond en comble, ceci s'apparente donc plus à un banc d'essai qu'à un avis d'utilisateur.
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