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Linn Sondek
Publié le 29/04/13 à 10:26
Installation facile, configuration aisée.
ADÉQUATION / PERFORMANCE
Manuel conséquent, en français, donnant de nombreux exemples et explications.
Voir ma config dans mon profil.
AVIS GLOBAL
Ayant déjà fait l'acquisition d'une émulation Arturia (ARP 2600), j'ai pu constater l'extrême qualité des synthé virtuels du développeur. C'est ainsi que, parfaitement confiant, j'ai acquis l'Arturia Moog Modular et ce Mini V dont il est ici question. Après la complexité du Modular et, dans une moindre mesure, de L'ARP 2600, l'utilisation du Mini Moog Arturia se révèle un jeu d'enfant -ou presque. Pour ce qui concerne les sons, je lève immédiatement le doute : ils sont justes parfaits à mon goût. Quelque incroyable plaisir que de retrouver ces sonorités fantastiques que l'on entend dans ses disques préférés. J'ai eu la chance de discuter, il y a un peu plus d'un an, avec Andy Tilisson (leader du groupe "The Tangent") qui m'expliquait vouloir vendre son Mini Moog de 1973 car il trouvait maintenant dans les émulations les mêmes sons avec les facilités de mémorisation de presets. Je comprends mieux aujourd'hui ses propos qui m'avaient, à l'époque, plutôt surpris! L'utilisation est donc assez simple puisqu'il ne s'agit pas ici d'un synthé modulaire comme son grand frère ou même l'ARP. Les patchs se montrent peu nombreux et faciles à réaliser. De manière générale, le synthé se montre très instinctifs et il n'est pas besoin d'être un claviériste au fait de toutes les techniques de programmation pour se constituer une bonne bibliothèque de sonorités. On retrouve parfaitement ce caractère "organique" de l'original avec ce grain si particulier qui a fait son identité sonore reconnaissable entre mille. Les algorithmiques développés par les programmateurs d'Arturia montrent toute leur puissance. Dans le manuel, fort complet et clair, on peut trouver des explications sur le procédé propre à Arturia : le fameux TAE capable de reproduire les effets de décharges des condensateurs produisant une légère incurvation dans la forme d'onde. Arturia semble être actuellement le seul à pouvoir s'approcher d'aussi près de ces caractéristiques propres à l'électronique analogiques. Et cela explique la qualité de restitution de ses logiciels de synthés virtuels. Un avantage, également, de ce synthé réside dans la polyphonie (évidemment impossible sur l'original). Et Arturia n'a pas mis là une option au rabais : les sons obtenus gardent le "grain" du Mini Moog et élargissent considérablement les possibilités de l'instrument. Les sons polyphoniques de "Strings" et de "Brass" se montrent particulièrement convaincants : riches, beaux et musicaux. Une autre option convaincante : la "fenêtre" à voyelles qui permet d'infinies possibilités y compris un changement automatique de sonorité par le balayage des voyelles en cours de. Vous l'aurez compris : ce logiciel me comble.
ADÉQUATION / PERFORMANCE
Manuel conséquent, en français, donnant de nombreux exemples et explications.
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AVIS GLOBAL
Ayant déjà fait l'acquisition d'une émulation Arturia (ARP 2600), j'ai pu constater l'extrême qualité des synthé virtuels du développeur. C'est ainsi que, parfaitement confiant, j'ai acquis l'Arturia Moog Modular et ce Mini V dont il est ici question. Après la complexité du Modular et, dans une moindre mesure, de L'ARP 2600, l'utilisation du Mini Moog Arturia se révèle un jeu d'enfant -ou presque. Pour ce qui concerne les sons, je lève immédiatement le doute : ils sont justes parfaits à mon goût. Quelque incroyable plaisir que de retrouver ces sonorités fantastiques que l'on entend dans ses disques préférés. J'ai eu la chance de discuter, il y a un peu plus d'un an, avec Andy Tilisson (leader du groupe "The Tangent") qui m'expliquait vouloir vendre son Mini Moog de 1973 car il trouvait maintenant dans les émulations les mêmes sons avec les facilités de mémorisation de presets. Je comprends mieux aujourd'hui ses propos qui m'avaient, à l'époque, plutôt surpris! L'utilisation est donc assez simple puisqu'il ne s'agit pas ici d'un synthé modulaire comme son grand frère ou même l'ARP. Les patchs se montrent peu nombreux et faciles à réaliser. De manière générale, le synthé se montre très instinctifs et il n'est pas besoin d'être un claviériste au fait de toutes les techniques de programmation pour se constituer une bonne bibliothèque de sonorités. On retrouve parfaitement ce caractère "organique" de l'original avec ce grain si particulier qui a fait son identité sonore reconnaissable entre mille. Les algorithmiques développés par les programmateurs d'Arturia montrent toute leur puissance. Dans le manuel, fort complet et clair, on peut trouver des explications sur le procédé propre à Arturia : le fameux TAE capable de reproduire les effets de décharges des condensateurs produisant une légère incurvation dans la forme d'onde. Arturia semble être actuellement le seul à pouvoir s'approcher d'aussi près de ces caractéristiques propres à l'électronique analogiques. Et cela explique la qualité de restitution de ses logiciels de synthés virtuels. Un avantage, également, de ce synthé réside dans la polyphonie (évidemment impossible sur l'original). Et Arturia n'a pas mis là une option au rabais : les sons obtenus gardent le "grain" du Mini Moog et élargissent considérablement les possibilités de l'instrument. Les sons polyphoniques de "Strings" et de "Brass" se montrent particulièrement convaincants : riches, beaux et musicaux. Une autre option convaincante : la "fenêtre" à voyelles qui permet d'infinies possibilités y compris un changement automatique de sonorité par le balayage des voyelles en cours de. Vous l'aurez compris : ce logiciel me comble.