ça réagit comme des gamins, ferme les oreilles, beaucoup de mauvaise foi.
mauvaise foi ? Traumax démontre exemples à l'appui les différences entre la pauvreté pathétique de l'écriture de booba et la qualité d'un rappeur lambda, perso je te confirme que, concernant sa sensibilité exacerbée (sic), en réalité le mec prend des cours avec une coach dont je citerai pas le nom.
Déjà dit, mais booba c'est écouté par 1/ des mecs de 22 ans se prénommant théophile et se rémémorant leur adolescence en 2012 et 2/ des quarantenaires de magazines parisiens qui croient être djeuns parcequ'ils écoutent booba (qui en réalité est totalement has-been d'un point de vue marketing).
à l'appui, sans le bagage nécessaire (très flagrant). On ne voit que ce qu'on veut voir, il aurait pu piocher encore pire couplet de booba.
aussi franchement je m'en bat les couilles que booba ait une coach, c'est bien que les pros sachent s'entourer et évoluer.
Peut-être que tu ne connais pas beaucoup le fond de booba, que tu n'as pas rongé ses textes, et que tu ne t'es jamais interessé à ce qu'il raconte en général, alors oui c'est drole de stéréotyper, oui il y a de ce que tu dis, mais c'est pas très éclairé comme raisonnement, et très inculte.
C'était de l'ironie. Faire de l'exégèse de booba, c'est connu pour être appelé syndrôme I am the walrus.
Explication : aux temps des Beatles, les journaleux trouvaient des sens cachés aux textes de Lennon, alors que ce dernier les avait composés en étant totalement beurré et foncedé, et qu'il n'avait rien cacjé du tout (c'est pas pour autant que c'était nul hein, y avait juste réellement aucun sens caché voire aucun sens tout court).
Du coup, il a volontairement composé un texte en rigolant à l'avance de l'exégèse faite par les journaleux, c'est ce morceau (si tu comprends pas l'anglais, tout le morceau Lennon dit qu'il est un morse et pousse des cris de morse) :
Par contre c'était du 25ème degré, typique de Lennon, en revanche Booba est au taquet (enfin jusqu'à un certain point, le mec sait parfaitement qu'il fait de la merde)