Citation : Universal Music confirme son leadership mondial tant dans le marché déclinant du CD que celui de l'édition musicale... futur apanage de la rentabilité.
Citation : c'est que les éditeurs de musique s'apprêtent à conquérir l'univers de la musique en ligne
DOnc en fait j'aurais voulu avoir des explication sur le role exacte de l'editeur musical, car j'ai tellement lu plusieurs histoire ce cette fonction, et desfois tellement contradictoire, que si quelqu'un pouvait m'eclaircir sur ce que c'est reelement.
Moi, d'apres ce que j'ai pu lire, l'editeur musical passe un contrat avec les artistes pour que les artistes cede leurs oeuvres à cet éditeur et lui fait toutes les demarches pour pouvoir les promouvoir aupres de grosse structure, concert, ect...
Merci d'avance
picassopicasso
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Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 18 ans
2Posté le 15/09/2006 à 20:02:27
Je comprends plus rien, je croyais que Sony avait fusionné avec BMG
pour preuve cela s'appel désormais Sony-bmg
alors si universal reprend BMG
on n'assisterait pas à un quasi monopole ???
Et universal n'a pas la même position dominante dans le secteur de l'édition par rapport à son statut dans la production
c'est EMI je crois le plus gros éditeur à l'heure actuelle
il me semble que le rôle d'un éditeur est de valorisé son catalogue, par exemple proposer des chansons pour qu'elles soient reprises, aider les artistes à trouver des labels, payer les maquettes , faire profiter du réseau de l'éditeur à l'artiste , et ce genre de chose nan?
L'editeur exploite l'oeuvre intellectuelle, il est rémunéré en droits d'auteurs; à la différence du label, qui exploite le master (le support physique) et se rémunére sur cette vente de supports (des disques, koi).
Ok merci ratafiole, la je comprend bien la difference, mais c'est salaud que l'editeur musical soit payer en droit d'auteur, les artistes sont payés comment???
Ah moins que les droits d'auteurs reversé soient divisés en deux, une part pour les éditeurs, l'autre pour les artistes???
Oui c'est ça, il ya un partage. Qui est différent pour les droits d'execution publique (1/3 pour l'editeur), et pour les droits mecaniques (librement negociable, mais en pratique souvent 50%).