Sujet Sony et bmg fusionne
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DellmanII
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Anonyme
ouais ben c t interdit le jour ou j'l'ai ecrit hein... cherche pas la merde toi ; )
christophe.alzetto
christophe.alzetto
Anonyme
la science fiction tape a nos portes les mecs, faut pas lui ouvrir...
christophe.alzetto
Bref... Parait que les marques de lessive c'est tous la même firme, alors ...
D'ici qu'après, la dernière major fusionne avec la seule marque de lessive ...
Quoi ? C'est déjà fait ? Argh ...
stef.60six
Les Secrets de Diego
Citation : Le 20/07/2004 à 18:17
Bruxelles dit oui à la création de Sony BMG !
Musique business : La Commission européenne a annoncé mardi qu’elle ne s'opposera pas à l'entreprise commune entre Sony et Bertelsmann.
Le japonais Sony et l’allemand Bertelsmann vont pouvoir mener à bien leur projet d’entreprise commune, sans craindre les foudres de Bruxelles !
Le 20 juillet 2004, après un examen de 6 mois, l’exécutif européen a annoncé qu’il ne s'opposera pas à la création de Sony BMG, nouveau "monstre à deux têtes" des majors du disque. A travers cette entreprise, Sony Corporation et Bertelsmann AG vont fusionner leurs activités de musique enregistrée.
Bien que cette opération entraînera la réduction de 5 à 4 le nombre de grandes maisons de disques (Sony BMG, Universal, EMI et Warner Music), la Commission européenne a estimé que l’entreprise germano-nippone "ne va pas prendre la place de numéro un en Europe", place toujours occupée par Universal.
Sony BMG, détenue à parts égales par les deux sociétés, prendra en charge la découverte et le lancement d'artistes, l'enregistrement et la commercialisation de leur musique. En revanche, elle ne va pas gérer l'édition musicale, la fabrication et la distribution physique de disques.
Bien qu'il existe "certains facteurs susceptibles de faciliter des ententes tacites", la Commission affirme "ne pas disposer de preuves suffisantes pour démontrer que les majors ont coordonné leurs prix dans le passé et qu'une réduction du nombre de maisons de disques allait entraîner à l'avenir une position dominante collective sur les marchés nationaux de musique enregistrée."
Sur le marché émergent des licences et de la distribution de musique en ligne, l’exécutif européen a conclu "à l'absence de problèmes graves de concurrence."
Toutefois, la Commission européenne, qui a travaillé en liaison étroite avec la FTC américaine (Federal Trade Commission) sur cette affaire, a affirmé qu’elle allait "suivre attentivement l'évolution du secteur de la musique enregistrée, un secteur dont la concentration ne cesse de croître."
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