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Edirol R-09
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Test du R-09 d'Edirol

Test écrit
Un air de neuf

Les enregistreurs numériques portables fleurissent sur le marché, remplaçant de plus en plus les enregistreurs à minidisque, grâce à leurs avantages multiples. Edirol, dont les produits se positionnent souvent comme étant grand public et de qualité, sort à son tour un enregistreur numérique. Voyons si le R-09 confirme la réputation de la marque...

Les enre­gis­treurs numé­riques portables fleu­rissent sur le marché, remplaçant de plus en plus les enre­gis­treurs à mini­disque, grâce à leurs avan­tages multiples. Edirol, dont les produits se posi­tionnent souvent comme étant grand public et de qualité, sort à son tour un enre­gis­treur numé­rique. Voyons si le R-09 confirme la répu­ta­tion de la marque…

R-09 dans la mainEst-ce que le dire… le Dirol… le dire­di­rol est-ce qu’il tient dans la main, tient dans la main ? – A quoi pensez-vous ? – A rien, c’était pour faire avan­cer le dirol… le erol…le dire­dol

 

Le R-09 est un enre­gis­treur de poche à piles enre­gis­trant sur cartes SD. Il est livré avec un adap­ta­teur secteur compa­tible 100 à 240 V avec une prise euro­péenne et une Nord-Améri­caine. On a égale­ment un câble USB pour la connexion à l’or­di­na­teur et des docu­men­ta­tions. Ces dernières comprennent celle d’ori­gine en anglais, sa traduc­tion française très complète plus un « prac­ti­cal guide to the Edirol R-09 » très bien fait et abon­dam­ment illus­tré, mais hélas, unique­ment dans la langue de Shakes­peare. Enfin, on a une carte mémoire de 64 Mo. Du n’im­porte quoi : à peine de quoi enre­gis­trer quelques minutes en wav. C’est vrai­ment histoire de pouvoir essayer immé­dia­te­ment son appa­reil, mais il faudra tout de suite inves­tir dans des cartes de bonne capa­cité.

Quelques données tech­niques…

L’en­re­gis­tre­ment peut se faire en format non compressé wav 16 ou 24 bits, 44,1 ou 48 kHz ou direc­te­ment en mp3 de 64 à 320 kb/s. On le voit, on peut aussi bien dispo­ser d’en­re­gis­tre­ments directs compres­sés pour un usage person­nel ou non compressé en 24 bits / 48 kHz corres­pon­dant aux stan­dards de l’au­dio pro.

Commandes en facadeL'essen­tiel des fonc­tions est là !

Le R-09 enre­gistre sur cartes SD (Secure Digi­tal) jusqu’à 8 Go ce qui permet d’en­re­gis­trer 440 min en 24 bits / 48 kHz, 3160 min en mp3 320 kb/s et 74 heures en mp3 128 kb/s.

La connexion avec l’or­di­na­teur se fait en USB 2, rapide et effi­cace. Le R-09 ne néces­site pas de driver et est immé­dia­te­ment reconnu (sous Windows XP et Mac OS X). Ensuite, la copie de fichiers se gère comme pour n’im­porte quel péri­phé­rique de stockage externe. Simple.

Côté entrées, on dispose de deux micros inté­grés sur le haut de l’ap­pa­reil permet­tant un enre­gis­tre­ment en stéréo, d’une entrée ligne sur minijack et d’une entrée pour un micro externe, hélas elle aussi sur minijack. Dans la pratique, cela cantonne, pour les micros externes, à l’uti­li­sa­tion de micros à câbles fins type micros pour MD (il y en a de tout à fait corrects) ou à réali­ser un câble fin spécial XRL/mini jack. En effet, il semble incon­ce­vable de bran­cher sur le R-09 par un quel­conque adap­ta­teur un câble aussi gros et lourd que celui d’un XLR. Dommage, mais c’est le prix de la minia­tu­ri­sa­tion.

Côté sorties, on a une unique prise multi­fonc­tion. Elle permet d’y bran­cher un casque, sert de line out analo­gique et de sortie numé­rique sur prise optique ronde.

Termi­nons ce tour de présen­ta­tion avec l’as­pect géné­ral du produit dont l’es­thé­tique est assez réus­sie. En fait, le design est à la fois plus élégant, plus « grand public » que la plupart des produits du marché tout en conser­vant un aspect plus audio que bala­deur mp3. Les fini­tions sont très propres et l’as­pect légè­re­ment pailleté du modèle rouge est vrai­ment réussi sans être tape-à-l’oeil. Malgré l’om­ni­pré­sence du plas­tique, le R-09 dégage une impres­sion de soli­dité, bien que je ne me lais­se­rais pas aller à le lais­ser tomber sur du carre­lage. On peut aussi se deman­der à quoi ressem­ble­ront ces belles surfaces après quelques mois de frot­te­ment de la main et de prome­nade au fond des poches. L’écran, notam­ment, semble pouvoir se rayer assez faci­le­ment. Edirol propose une housse qui a l’air plutôt intel­li­gente puisqu’elle est munie d’un pas de vis permet­tant de fixer le R-09 sur un pied d’ap­pa­reil photo et un adap­ta­teur supplé­men­taire permet­tant la fixa­tion sur un pied de micro.

Utili­sa­tion

Haut de l'appareilLes deux micros inté­grés de part et d’autres et les entrées pour micro externe et ligne

Le R-09 est assez compact (envi­ron 10 × 6 × 3 cm). À peu près la taille d’un smart phone ou d’un paquet de ciga­rettes 100's. De plus, même avec ses deux piles 1,5 V, il est très léger (145 g). Un excellent point pour un appa­reil qu’on est censé emme­ner partout avec soi. Sa forme fait qu’il tient plutôt bien en mains et malgré ses flancs ronds et sa surface lisse, il y a peu de chances de le lais­ser tomber, les deux bandes laté­rales noires compor­tant des contrôles faisant office de grip.

Un point noir tout de même, la trappe de batte­ries dont le système d’ou­ver­ture bien curieux ressemble à une fausse bonne idée. En fait, elle s’ouvre en deux temps. En la faisant coulis­ser, on accède d’abord à la carte mémoire et à la prise USB. Pour accé­der aux batte­ries, il faut pous­ser sur une petite targette qui libère la trappe pour une ouver­ture complète. On peut alors la faire tota­le­ment glis­ser, puis bascu­ler pour accé­der aux batte­ries. L’en­semble, pas super commode à mani­pu­ler, semble assez fragile. Il faudra prendre garde lors des mani­pu­la­tions, surtout en urgence, quand on voudra chan­ger les piles rapi­de­ment pour un enre­gis­tre­ment à la volée.

Puisqu’on parle de piles, le R-09 accepte des piles rechar­geables. On peut lui signa­ler quel type de piles on utilise afin que l’ap­pa­reil affiche correc­te­ment la charge dispo­nible. L’aver­tis­se­ment « battery low » arrive tout de même un peu tard : quand il s’af­fiche (très clai­re­ment à l’écran), il reste que quelques courtes minutes de fonc­tion­ne­ment. D’ailleurs, le R-09 ne donne avec des piles alca­lines que 4 heures d’uti­li­sa­tion en enre­gis­tre­ment et 5 heures et demie en lecture, ce qui n’est pas énorme. D’au­tant qu’il n’est pas alimenté par l’USB. Il vaut donc mieux le bran­cher sur secteur lorsqu’on réalise des trans­ferts pour épar­gner les batte­ries et pour éviter toute coupure intem­pes­tive qui pour­rait corrompre des fichiers.

Commandes

Ouverture de la trappe

Cette trappe fragile invite à la prudence. Pas de préci­pi­ta­tion

Les commandes sont bien dispo­sées et tombent bien sous les doigts. On retrouve sur l’ar­rière les switchs de réglages liés à l’en­re­gis­tre­ment (AGC, type de micro externe, coupe bas et low/hi gain). Sur la façade sont dispo­sés les boutons de navi­ga­tion et de trans­port ainsi que l’ac­cès aux menus et sur les côtés les réglages de gain d’en­trée des micros et le volume du casque.

Tout ceci est très fonc­tion­nel et vrai­ment agréable à utili­ser. De plus, la partie logi­cielle interne est vrai­ment bien faite et la navi­ga­tion est un vrai plai­sir. En navi­ga­tion, les touches de trans­port (play, stop, avance et retour) servent de touches de direc­tion et la touche centrale REC devient la touche entrée.

Un bouton unique ouvre le « Finder  » ou gestion­naire de fichiers et, par appui long, le menu de para­mé­trage. On peut faci­le­ment navi­guer d’un dossier à l’autre, copier des fichiers, les renom­mer, les proté­ger, etc. Très complet. On dispose même d’une fonc­tion « repair » qui permet de répa­rer un fichier corrompu, par exemple par l’éjec­tion de la carte mémoire en plein enre­gis­tre­ment.

Les para­mé­trages sont peu nombreux et sont parfai­te­ment compré­hen­sibles. En fait, le R-09 est un des rares appa­reils que j’ai croisé qui est utili­sable en quelques minutes sans ouvrir la docu­men­ta­tion. Chose que je ne conseille pas, les docu­men­ta­tions rece­lant souvent des astuces ou fonc­tions bien pratiques.

Et ergo­no­mie

Par contre, il est dommage que l’ap­pa­reil ne conserve pas le dernier dossier utilisé lorsqu’on le coupe : à l’al­lu­mage, on est systé­ma­tique­ment ramené à la racine. Ainsi, si l’on effec­tue un repor­tage pendant lequel on est amené à fréquem­ment couper et rallu­mer le R-09, il faudra penser à resé­lec­tion­ner le bon dossier où stocker ses fichiers à chaque allu­mage. Pas long à faire, mais agaçant à la longue. Peut-être dans une future mise à jour du firm­ware ?

Commandes au dos de l'appareilLes réglages pour l’en­re­gis­tre­ment

On peut aussi regret­ter que, alors qu’il est si facile de renom­mer un fichier ou un dossier, on ne puisse person­na­li­ser la racine servant de base pour les noms auto­ma­tiques de fichiers.

L’écran est assez petit, mais suffi­sant. Les indi­ca­tions y sont clai­re­ment lisibles. On peut régler la lumi­no­sité jusqu’à une inten­sité permet­tant la lecture en plein soleil. En préen­re­gis­tre­ment, il affiche un vumètre bien lisible permet­tant de contrô­ler le niveau d’en­trée des micros par rapport au son. De plus, on dispose d’une led rouge Peak qui s’al­lume dès qu’on atteint la satu­ra­tion.

Ajou­tons que déclen­cher l’en­re­gis­tre­ment sur le R-09 est simple et rapide. Un premier appui sur la touche REC passe en préen­re­gis­tre­ment, ce qui permet de contrô­ler et régler le niveau avec les vumètres et d’en­tendre sur la sortie casque le son pris par les micros (si on a bran­ché la sortie sur des enceintes, l’écoute peut être débrayée pour éviter des larsens). Pour déclen­cher l’en­re­gis­tre­ment effec­tif, on appuie soit sur play, soit de nouveau sur REC. En résumé, deux appuis sur REC suffisent à déclen­cher un enre­gis­tre­ment immé­diat. Rapide.

En préen­re­gis­tre­ment, la diode entou­rant la touche REC clignote vive­ment, ce qui est du plus bel effet. En enre­gis­tre­ment, elle reste fixe­ment allu­mée. Ceci est très joli et bien visible voire même trop. Avec cette grosse diode rouge vif, il est plus diffi­cile d’en­re­gis­trer discrè­te­ment. D’au­tant que, placée au milieu des commandes, elle est impos­sible à cacher avec un petit morceau de gaffeur.

Cepen­dant, malgré quelques critiques, le R-09 est donc un véri­table plai­sir à utili­ser et s’avère du point de vue ergo­no­mie, une petite merveille.

Enre­gis­tre­ment

Compa­ra­tif ?

L’idée au départ était de faire un pano­rama compa­ra­tif des diffé­rents enre­gis­treurs numé­riques portables du marché. Hélas, certains fabri­cants ou impor­ta­teurs n’ont visi­ble­ment pas voulu soute­nir ce projet. Soit ils n’ont pas répondu, soit ils ont promis d’en­voyer un appa­reil de test que nous n’avons jamais vu venir. Je tiens donc à remer­cier parti­cu­liè­re­ment Edirol et Nagra qui ont d’em­blée accepté de jouer le jeu. M-Audio avait égale­ment donné son accord pour la nouvelle version de son Micro­track qui devait sortir en septembre, mais à l’heure du bouclage, M-Audio France n’au­rait appa­rem­ment toujours pas reçu les premiers exem­plaires. Un simple face à face entre le R-09 à moins de 400 € et l’Ares-M II à près de 1 200 € n’au­rait pas eu grand sens. Voici donc quelques infor­ma­tions sur la version II de l’Ares-M (pour plus de rensei­gne­ments, lisez le test de la version I) : mémoire interne de 2 go, connexion USB 2, conver­sion A/D D/A 24 bits Sigma-Delta, amélio­ra­tion de la carcasse, notam­ment au niveau des prises. Plus de problèmes de contact avec certains jacks de casques et augmen­ta­tion de la taille du compar­ti­ment à pile permet­tant d’ac­cep­ter désor­mais des piles rechar­geables plus grosses que les alca­lines. Par ailleurs, il y a eu de nombreuses mises à jour inté­res­santes du firm­ware pour les version I et II. Pour ceux qui, ayant les moyens, s’in­ter­ro­ge­raient entre l’Ares-M et le R-09, le R-09 a pour lui outre son prix très large­ment infé­rieur une faci­lité et un confort d’uti­li­sa­tion sans commune mesure. L’Ares-M a pour lui une qualité audio très supé­rieure (même si l’on n’est pas au niveau des gros enre­gis­treurs Nagra) et beau­coup de fonc­tions comme des templates person­na­li­sables pour l’uti­li­sa­tion de diffé­rents micros ou encore le déclen­che­ment de l’en­re­gis­tre­ment au son. Par ailleurs, le Nagra est livré avec de nombreux acces­soires, dont un câble de qualité pro avec prise XLR femelle (câble stéréo double XLR en option). Et Nagra propose un choix de trois capsules de micro : stan­dard stéréo (Pana­so­nic), haute qualité stéréo et haute qualité mono (LEM). Bref, en dehors de la ques­tion du prix, le R-09 est le choix de la simpli­cité et l’Ares-M celui de la qualité sonore et des fonc­tions.

 

 

Disons le tout net : le R-09 n’est pas fait pour les chas­seurs de sons. Si ses capa­ci­tés d’en­re­gis­tre­ment sont tout à fait correctes, elles sont insuf­fi­santes avec les micros inté­grés pour du son exploi­table en studio, en sound design ou en broad­cast. Le son manque en effet cruel­le­ment d’ai­gus. Pas qu’il soit sourd, mais la défi­ni­tion n’est pas là et il y a un évident manque d’air. Le son a un petit côté coton­neux et les basses restent égale­ment assez sages.

Par contre, on gagne l’in­té­rêt d’avoir bien moins l’acous­tique des pièces, géné­ra­le­ment très audible sur les enre­gis­tre­ments d’am­biance. Sur des sons faibles, avec le gain poussé, on récu­père du souffle, mais rien d’in­co­hé­rent avec ce genre de tout petit appa­reil.

Rela­ti­vi­sons tout de même beau­coup les propos concer­nant le son. Celui du R-09 est tout à fait correct. Simple­ment, il n’est pas de niveau pro. Il reste cepen­dant valable pour bien des usages : repor­tages pour les petites radios et les webra­dios, enre­gis­tre­ment de répé­ti­tions, enre­gis­tre­ments de travail, bloc-note audio, etc.

Concer­nant l’en­re­gis­tre­ment de samples (notam­ment bruits ambiants et autres) desti­nés à être inté­grés dans de la musique, tout dépend du niveau de qualité souhaité. Après tout, on voit des gens faire de très bons morceaux avec des samples en MP3 de qualité médiocre péchés sur le net.

Signa­lons que le coupe bas fonc­tionne bien et malgré l’ab­sence de bonnette, on peut faire de la prise de son en exté­rieur sans avoir le bruit du vent dans les micros. À condi­tion évidem­ment de ne pas avoir une tempête. Dans ce cas, la confor­ma­tion du R-09 inter­di­sant l’adjonc­tion d’une bonnette, il faudra sans doute en passer par un micro exté­rieur qui puisse en être équipé.

Ecoute

Côté droitDe ce côté, la prise casque et son volume de sortie

Un enre­gis­treur numé­rique, ça peut aussi faire bala­deur mp3. On ne va tout de même pas se colti­ner plusieurs appa­reils ! De ce côté, le R-09 n’est pas une merveille sonore abso­lue. On a notam­ment un peu de souffle sur la sortie. On n’a, ni les tags mp3, ni une impor­tante capa­cité mémoire. Le R-09 fait donc un bala­deur mp3 plus que potable, s’il ne remplace évidem­ment pas un modèle à disque dur.

En revanche, le R-09 offre aux musi­ciens deux fonc­tions pratiques et inté­res­santes. La première est une réverbe sur l’écoute (qui n’est pas rajou­tée aux fichiers). On a le choix entre 4 réverbes, de la « hall » à la « plate ». Gadget me direz-vous ? Pas tant que ça. Lorsqu’on enre­gistre quelque chose, parti­cu­liè­re­ment en proxi­mité, le son est forcé­ment un peu sec. Si on veut écou­ter ou faire écou­ter l’en­re­gis­tre­ment, l’ajout d’un peu de réverbe embel­lit le son et rend l’écoute beau­coup plus agréable. On enclenche et choi­sit direc­te­ment la réverbe par un unique bouton.

La seconde fonc­tion est le bouclage. Un autre bouton dédié permet de posi­tion­ner deux marqueurs de bouclage. Une première pres­sion place le premier marqueur, une seconde le deuxième et le bouclage s’en­clenche immé­dia­te­ment. Une troi­sième pres­sion supprime le bouclage et pour­suit la lecture. On voit tout de suite l’in­té­rêt pour travailler un morceau. On enre­gistre un accom­pa­gne­ment à la volée, on met en boucle la lecture et on peut travailler un solo dessus. Et c’est dans ce genre de cas que la réverbe en écoute apporte un plus vrai­ment agréable. Pratique aussi pour la trans­crip­tion d’un morceau ou encore lorsqu’on doit retrans­crire un enre­gis­tre­ment vocal peu compré­hen­sible.

Conclu­sion

trois quart gaucheSur ce côté, le bouton power et les réglages de gain

Le R-09 a de quoi séduire. Plutôt mignon, il béné­fi­cie d’une ergo­no­mie excel­lente qui en rend l’usage simple et agréable. Pour le prix, il apporte un son correct, même si on n’at­teint clai­re­ment pas le niveau pro. Par contre, au niveau ergo­no­mie, il laisse loin derrière les Nagra et autres Marantz (qui feraient bien de s’en inspi­rer un peu). Au point qu’on peut faci­le­ment le confier à un utili­sa­teur occa­sion­nel pour effec­tuer un enre­gis­tre­ment sans que cela néces­site le moindre appren­tis­sage.

Par ailleurs, sa compa­cité en fait un appa­reil qu’on peut avoir toujours dans la poche ou un sac à main. Pratique pour écou­ter de la musique et être prêt à tout enre­gis­trer, partout, tout le temps.
Un bon choix pour qui privi­lé­gie la simpli­cité et le plai­sir d’uti­li­sa­tion tout en ayant un mini­mum d’exi­gence de qualité.

Points forts
  • Taille compact
  • Légèreté
  • Ergonomie
  • Look agréable
  • Accessoires disponibles
Points faibles
  • Entrée micro mini-jack
  • La trappe à pile peu commode et fragile
  • Souffle
  • Son pas de niveau pro (mais à ce prix... )
  • Autonomie un peu juste.
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