Oui mais en même temps, je pense que l'hégémonie américaine sur l'industrie du disque s'essoufle lentement, ceci étant dû aux pressions des odalisques qui composent le payasage audiovisuel français et qui lobotomisent les cerveaux de la jeunesse faible à coup de décolletés et de chants orgasmiques sous fond d'ambiance hollywoodienne mal dépeinte, en bref, vive la bonne musique, vive Opeth.