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Tama Superstar Hyper-Drive
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Test de la Superstar Hyper-Drive de Tama

Batterie complète/Kit de la marque Tama appartenant à la série Superstar

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Noir c'est noir

Fier du succès de sa série Superstar, Tama y ajoute désormais une nouvelle configuration baptisée Hyper-Drive, qui propose des toms très courts, destinés à trancher dans le vif des rythmiques les plus consistantes.

Fier du succès de sa série Super­star, qui a su convaincre, grâce à son rapport qualité/prix, non seule­ment les nouveaux batteurs, mais aussi de nombreux pros soucieux de possé­der un kit tout-terrain, Tama y ajoute désor­mais une nouvelle confi­gu­ra­tion bapti­sée Hyper-Drive, qui propose des toms très courts, desti­nés à tran­cher dans le vif des ryth­miques les plus consis­tantes, mais aussi à bien vous faire voir sur scène ! Alors, prêts à brûler les planches dans votre plus beau costume de lumière ?

 

Mécano

Set

Toute histoire d’amour avec une batte­rie commence non pas par un désha­billage, comme on pour­rait s’y attendre logique­ment, mais par un habillage minu­tieux. Et c’est bien sûr l’un des meilleurs souve­nirs de toute l’his­toire. Quoi de plus émou­vant, en effet, que de monter les peaux sur les fûts, de déplier les acces­soires et de les adap­ter au kit, et de donner de langou­reux coup de clefs pour obte­nir le soupir harmo­nique le plus pur qui soit ? C’est en tout cas par ce rituel sublime que nous inau­gu­rons cette rencontre avec la Super­star Hyper-Drive, dotée de ses 5 magni­fiques fûts en fini­tion Brushed Metal­lic Black.

 

Dres­sed to kill !

Avec son rhodoïd où se miroitent les ténèbres les plus profondes et son accas­tillage en chrome noir, l’Hy­per-Drive affiche cette sorte d’élé­gance où l’aus­té­rité ne semble en défi­ni­tive qu’un pétillant contre­chant à la vita­lité la plus exacer­bée. Accro­chant chaque photon à sa parure nocturne, le kit ne trahit néan­moins aucun défaut de look : métaux impec­cables, couche de fini­tion homo­gène et parfai­te­ment ajus­tée, dont la join­ture est discrè­te­ment cachée par les magni­fiques coquilles doubles qui équipent tous les fûts, chan­freins irré­pro­chables, acces­soires massifs, mais très desi­gn… Un vrai régal esthé­tique, auquel s’ajoute la pincée d’ori­gi­na­lité qui fait tout le piment de ce nouveau set : la confi­gu­ra­tion de la taille des fûts.

 

Confi­gu­ra­tion

Coquille Tom Basse

En effet, le kit a l’es­sai comprend 2 toms medium très courts (10’’ x 6.5’’ et 12’’ x 7’’), un tom basse court égale­ment (14’’) mais assez jouf­flu (16’’ de diamètre), une grosse caisse atomique dont la longueur contraste avec l’en­semble (22’’ x 20’’) et une caisse claire de petit diamètre (13’’) et de large profon­deur (6’’). Un mélange très contrasté donc, peu répandu, et suscep­tible de produire en même temps des hautes fréquences agres­sives et des basses envoû­tantes. Il s’agira donc de voir si cette oppo­si­tion des genres arri­vera à trou­ver son équi­libre sans priver le set d’une indis­pen­sable poly­va­len­ce…

Construc­tion

Mais nous n’en sommes pas encore là, et lais­sons nous le temps et le plai­sir de détailler d’un peu plus près l’objet de nos convoi­tises. Rappe­lons tout d’abord que les fûts de la série Super­star sont fabriqués en 6 plis pour une épais­seur de 6mm, sauf pour les grosses caisses à qui l’on rajoute un pli et donc 1mm. Le bois utilisé est prin­ci­pa­le­ment le bouleau, connu pour ses quali­tés de clarté et de dyna­misme. Mais on retrouve égale­ment en pli inté­rieur une feuille de bass­wood, utilisé pour sa veinure onctueuse et sa soli­dité. Ce dernier est protégé par un vernis inco­lore et extrê­me­ment léger, qui laisse sentir sous les doigts la fine texture du bois.

Le pli exté­rieur, c’est bien sûr notre couche de rhodoïd, qui est accas­tillée pour tous les fûts par des coquilles doubles, isolées de celle-ci par des joints en caou­tchouc noir. Elles parcourent donc toute la profon­deur du fût avec élégance, grâce à leur design effilé et réussi. Notons que ces coquilles sont consti­tuées d’une seule pièce, et non pas de 2 coquilles simples main­te­nant une arma­ture centrale. Cette qualité offre l’avan­tage de permettre de décol­ler cette arma­ture d’un petit milli­mètre de la luthe­rie, pour lui éviter ainsi d’être en contact direct avec le fût et d’en frei­ner les réson­nances, mais aussi réduit la tension exer­cée direc­te­ment sur le bois, en agis­sant comme une sorte de char­pente métal­lique.

Côté cercle, Tama n’a pas lésiné, puisque nous béné­fi­cions ici des modèles moulés en zinc, utili­sés sur la pres­ti­gieuse série Star­Clas­sic. Ceux-ci sont massifs et offrent à la fois un accor­dage simple, homo­gène, et une assise idéale pour tous les accros du rimshot : projec­tion assu­rée !

 

Les toms médium

ttache Tom

Ce sont donc 2 petits toms très courts qui sont livrés avec le kit. Ils béné­fi­cient du même système d’at­tache que les séries Star­Clas­sic, baptisé Star-Cast. Il est conçu avec un demi-cercle en acier noir, qui prend ses 3 attaches sur le cercle du fût. Mais ici, contrai­re­ment à la plupart des modèles, les 3 écrous de l’at­tache se fixent sur des anneaux direc­te­ment moulés dans le cercle du fût. Cette méthode permet d’évi­ter de faire porter le poids du tom sur les tirants de tension, les soula­geant ainsi d’une contrainte qui non seule­ment peut les dété­rio­rer à la longue, mais qui peut aussi rendre l’ac­cor­dage moins souple. De plus, il suffit de dévis­ser les 3 boulons doublés en caou­tchouc pour déga­ger le fût qui, libre alors de toute attache, pourra se ranger plus faci­le­ment dans un flight.

Enfin, notons que la grosse caisse n’étant pas percée, les ancres de montage se fixent sur les 2 pieds de cymbales four­nis avec le kit, grâce à des clamps four­nis avec l’at­tache. Cela permet ainsi de réali­ser des confi­gu­ra­tions de sets beau­coup plus souples, puisque l’on peut posi­tion­ner les toms un peu n’im­porte où, d’au­tant que la rotule à olive agis­sant sur l’in­cli­nai­son permet des réglages très poly­va­lents, et au milli­mètre près . Le seul incon­vé­nient de ce système, c’est que le posi­tion­ne­ment des cymbales est lié à celui des toms, ce qui n’est pas très grave si l’on est sûr de ses réglages, mais qui peut s’avé­rer moins pratique si l’on a envie de bouger légè­re­ment sa crash au cours d’un gig. Heureu­se­ment, dans le cas du pied perche (un seul des 2 modèles), on conserve une certaine liberté de posi­tion­ne­ment.

Quoi qu’il en soit, cet arri­mage offre une très grande souplesse, et les toms flottent litté­ra­le­ment sur leur attache. Si ce concept peut dérou­ter légè­re­ment ceux qui ont l’ha­bi­tude du toucher offert par des types de fixa­tions plus rigides (lorsque l’on frappe ici les toms, ils peuvent avoir un mouve­ment d’une ampli­tude de plus d’un centi­mètre), il permet cepen­dant de préser­ver le plus possible les harmo­niques des fûts et de leur offrir un sustain plus consé­quent.

 

La grosse caisse

Stabilisation de la grosse caisse

Lors du montage des peaux de grosse caisse, on appré­cie tout d’abord les crochets de tension élégants, massifs, et doublés d’une protec­tion caou­tchouc effi­cace pour le cercle : une très bonne idée ! Ils sont équi­pés d’écrous dont la tension se règle avec une clé de batte­rie tradi­tion­nelle, jugés désor­mais plus pratiques pour le range­ment dans les flights que les petits papillons de serrage inté­grés. Mais que les amateurs de ce système vintage se rassurent, même si l’on ne dispose pas ici de nos chères ailettes, l’er­go­no­mie des coquilles est excel­lente, et assure un démon­tage facile, l’écrou se trou­vant bien stabi­lisé dans un guide-clé acces­sible et pratique.

Par ailleurs, le cercle large et épais est en bois, possé­dant la même fini­tion rhodoïd que le kit. Il assure ainsi un bon serrage de la pince de la pédale grosse caisse, et un main­tien homo­gène et solide de la peau, même si l’on ne dispose que 8 tirants, sauf pour le modèle de 24’’, qui en possède 10.

Les piques de stabi­li­sa­tions, qui, pour une fois, ne sont pas téles­co­piques, sont conçues avec un système de clamp rota­tif où coulisse la tige du pied. On règle ainsi la hauteur avec une clé de batte­rie d’une part, et l’orien­ta­tion avec un papillon inté­gré d’autre part. La tige est suffi­sam­ment longue pour pouvoir faire décol­ler le bord exté­rieur de la grosse caisse de quelques centi­mètres, pour ceux qui ne peuvent se passer du look bombarde, qui pourra être ici exploité à son maxi­mum sans inci­dence sur l’in­cli­nai­son des toms, ceux-ci étant indé­pen­dants du fût. L’ex­tré­mité de la tige est équi­pée d’un large bloc anti­glisse en caou­tchouc, parti­cu­liè­re­ment effi­cace, et qui peut s’es­ca­mo­ter par vissage sur la tige (un papillon a été prévu), pour lais­ser la place à une pique en acier spécial moquette ! Bref, un main­tien sans faille est large­ment assuré, et l’on peut sans hési­ter sortir la double sans être obligé de pour­suivre son kick sur toute la scène !

 

Le tom basse

Timbre Caisse Claire

Très clas­sique, il est équipé de 3 coquilles permet­tant de fixer les pieds. Bien qu’as­sez légères, elles offrent un réglage consis­tant et stable. Dommage que nous n’ayons pas une petite bague mémoire pour retrou­ver instan­ta­né­ment nos réglages, mais il ne faut pas non plus trop en deman­der, et l’on peut toujours se repé­rer par rapport aux 3 crans cise­lés sur chaque pied.

La caisse claire

Ce modèle de 13’’ est équipé d’un déclen­cheur à action perpen­di­cu­laire au fût, dont la poignée, en posi­tion « sans timbre », ressort donc de 5 bons centi­mètres, ce qui peut s’avé­rer moins pratique pour caser son genou qu’une poignée tangen­tielle qui restera toujours près du fût : une habi­tude à prendre, d’au­tant que le système offre une action très souple et effi­cace, aidée par un méca­nisme de levier, qui démul­ti­plie la force à exer­cer sur la poignée au moment de la tension. Une molette en caou­tchouc suffi­sam­ment confor­table permet de régler la tension du timbre à 20 brins, assujetti par 2 rubans. Atten­tion toute­fois, la molette étant caché par la poignée en posi­tion enclen­chée, on ne pourra pas effec­tuer de réglage dans ce mode. Il faudra donc déclen­cher, visser, et enclen­cher le timbre pour consta­ter le résul­tat.

Les acces­soires

La répu­ta­tion de monsieur Tama en matière d’ac­ces­soires n’est plus à établir, et l’on béné­fi­cie ici d’une solide collec­tion d’ac­ces­soires à double embase qui sont aussi pratiques à instal­ler qu’agréable à utili­ser. Stabi­lité excep­tion­nelle, souplesse et poly­va­lence des réglages, soli­dité adap­tée à des démon­tages constants… autant de quali­tés qui n’ont qu’une contre­par­tie : le poids consé­quent de l’en­semble qui néces­si­tera un bon roadie pour tous les fragiles du dos…

 

La pédale de grosse caisse

Pédale grosse caisse

C’est le modèle HP200 dont nous héri­tons tout d’abord. De concep­tion très simple, cette pédale offre les réglages de base : angle de la batte et tension du ressort. Ce dernier se tend grâce à une molette équi­pée d’un système origi­nal pour éviter le desser­rage. Celle-ci possède en effet sur sa partie supé­rieure une forme de boulon trian­gu­laire qui vient s’en­cas­trer dans la bague de tenue du ressort fixée au montant de la pédale. Il lui est ainsi impos­sible de se dévis­ser. Ce système est excellent, et assure un main­tien réel du réglage.

Mais il s’avère cepen­dant un peu moins facile à régler qu’un modèle tradi­tion­nel. En effet, il faut sortir le boulon de main­tien de sa sécu­rité pour pouvoir visser l’écrou de tension. Il faut donc donner du jeu à celui-ci en tendant le ressort, établir un nouveau réglage, et véri­fier le résul­tat. Rien de bien drama­tique, car on prend vite le coup, mais moins intui­tif tout de même qu’un réglage plus progres­sif où il suffit de visser et d’es­sayer au fur à mesure. Enfin, on n’a rien sans rien, et c’est telle­ment pénible d’être obligé de retendre le ressort 3 fois par concert qu’on est fina­le­ment ravi de ce petit acces­soire fort utile.

Bonne stabi­lité géné­rale égale­ment, grâce à un socle large muni de blocs de caou­tchouc anti­glisse, et à une pince de cercle donc la dent supé­rieure est arti­cu­lée, pour éviter de faire décol­ler la pédale lorsque l’on serre à fond, et pour assu­rer une prise solide sur n’im­porte quel type de cercle, et en l’oc­cur­rence, sur celui plutôt massif de notre grosse caisse. Côté jeu, confort et plas­ti­cité assu­rée grâce au même concept de came que celui mis en œuvre pour la célèbre série Iron Cobra. Baptisé Power Glide, il a l’avan­tage de four­nir un couple de force consé­quent grâce à son design en 1/3 de cercle, qui rend la pédale parti­cu­liè­re­ment adap­tée à un jeu puis­sant, mais tout de même souple. La semelle longue et massive couronne le tout d’une bonne prise de pied, assu­rant un effet de consis­tance très appré­ciable pour le jeu en pointe.

 

La pédale de charlé

Pédale Charley

 

Simple mais pratique, la pédale de charlé est équi­pée d’un système de tension à chaîne. Le degré de tension s’ef­fec­tue au moyen d’un petit levier très pratique qui se posi­tionne sur une molette possé­dant 5 crans offrant un éven­tail de tensions agréa­ble­ment large, du plus souple au plus dur. La tubu­lure coulis­sante est munie d’une bague mémoire qui agit aussi comme un renfort appré­ciable pour éviter toute descente de la cymbale infé­rieure pendant l’ac­tion. Comme le tilter offre égale­ment une très bonne prise sur la tige desti­née au jeu de la cymbale supé­rieure, on peut donc y aller fran­che­ment sur la semelle (notons au passage que celle-ci peut être désaxée par rapport au trépied grâce à un écrou, afin de pouvoir instal­ler une double pédale de grosse caisse) sans avoir besoin de réta­blir l’am­pli­tude exacte du mouve­ment à tout bout de champ : un régal.

Le stand de caisse claire

Parti­cu­liè­re­ment massif, il offre une excel­lente stabi­lité et un bon confort de réglage : on fixe la tension du panier au moyen d’une grosse molette en plas­tique tout à fait confor­table, et l’in­cli­nai­son de la caisse claire grâce à une rotule non cran­tée, pour un réglage plus « analo­gique » et précis. Une tubu­lure coulis­sante consé­quente ravira enfin tous les batteurs qui aiment jouer en posi­tion haute.

 

Ça sonne !

Système anti-desserage

La batte­rie est livrée avec un set de peau en mylar Dupont (le même film que celui utilisé par Remo) baptisé « Power­Craft » . Trans­pa­rentes (sauf pour la caisse claire, qui est sablée en blanc) et assez légères, elles offrent une clarté excep­tion­nelle. Couplée aux toms courts, on obtient donc une sono­rité très pure, très boisée, avec beau­coup d’har­mo­niques haut medium, et une attaque vrai­ment impres­sion­nante. Ainsi, même avec des phra­sés complexes, on garde toujours une très grande préci­sion ryth­mique, déta­chant bien le carac­tère de chaque tom.

Le tom basse, grâce à son diamètre de 16’’, offre de très bon « sub », tout en procu­rant égale­ment une attaque précise. On peut ainsi, tout en gardant une impres­sion d’ho­mo­gé­néité rela­tive, obte­nir des contrastes plus ou moins impor­tants lors de l’ac­cor­dage des 3 fûts. Avec de telles dimen­sions, il n’est pas éton­nant que la grosse caisse déclenche un vrai tonnerre au moindre coup de batte. Une véri­table réus­site, ce fût est impres­sion­nant de rondeur, mais aussi de préci­sion, grâce à un kick défini, enve­loppé de ce déli­cieux « deep end » qui fait le velouté des grooves. De plus, les peaux de frappe et de timbre étant équi­pées d’un auto-muffle, on peut sans problème se passer du tradi­tion­nel cous­sin si l’on veut garder une couleur natu­relle et boisée au fût.

La caisse claire enfin, avec sa bonne profon­deur, mais son diamètre picolo, s’avère être un bon compro­mis entre l’aci­dité des toms dont elle béné­fi­cie elle aussi, et la rondeur de la grosse caisse. Très nerveuse et tran­chante, en restant tout de même suffi­sam­ment chaleu­reuse, elle est sans aucun doute la cerise sur le gâteau de ce set très contrasté. Certes, si la taille des toms offre une projec­tion impla­cable et une préci­sion excep­tion­nelle, elle ne permet cepen­dant pas de réali­ser des phra­sés de coor­di­na­tion très homo­gènes et ronflants avec la grosse caisse, beau­coup plus téné­breuse. Mais l’on pourra compen­ser légè­re­ment cette oppo­si­tion de style en adap­tant sur les toms des peaux plus mattes, comme les Pin Stripe Remo, qui sonnent parti­cu­liè­re­ment bien sur le 10’’ et le 12’’.

 

Conclu­sion

Confi­gu­ra­tions

La confi­gu­ra­tion testée répond au doux patro­nyme de SK52-HXZ-BNS. Son prix TTC est de 769€.

Tama propose 2 autres confi­gu­ra­tions :

-La SK52 HZ BNS, compre­nant un tom basse supplé­men­taire de 14’’ x 12’’. La grosse caisse passe en 22’’ x 18’’ et la caisse claire en 14’’ x 5.5’’ : 889€

-La SK44 HZ BNS est un kit 4 fûts : 12’’ x 7’’, 24’’ x 18’’, 16’’ x 14’’ et 14’’ x 6.5’’ : 689€

Pour le kit d’ac­ces­soires, il faudra rajou­ter 265€. Côté fini­tions, on pourra choi­sir entre Métal Noir Brossé (le kit à l’es­sai), Bordeaux Métal Brossé, Blanc Nacre, Noir, Rouge et Cuivre Métal. Notons enfin que Tama propose des fûts au détail (voir la liste ici), avec un délai de 5 mois pour la livrai­son.

En choi­sis­sant une confi­gu­ra­tion hors normes, avec des toms agres­sifs et une grosse caisse tellu­rique, Tama nous propose ici un set aux sono­ri­tés très origi­nales, pouvant couvrir tout le spectre des fréquences, du plus aigu au plus sombre. Et malgré une oppo­si­tion indé­niable entre les toms medium d’une part et le tom basse et la grosse caisse de l’autre, qui pourra surprendre lors de la prise en main du set, on est rapi­de­ment séduit par les innom­brables possi­bi­li­tés d’ac­cor­dages qui donnent sans aucun doute à cette batte­rie un carac­tère très tran­ché, sans pour autant le priver de la poly­va­lence indis­pen­sable pour s’adap­ter à plusieurs styles musi­caux.

Si l’on ajoute à cela une esthé­tique réus­sie et des acces­soires pratiques et fiables, on ne peut s’em­pê­cher d’ima­gi­ner qu’elle saura séduire des batteurs venus d’ho­ri­zons diffé­rents, heureux de trou­ver une confi­gu­ra­tion inha­bi­tuelle qui leur assu­rera un look et un jeu sur mesure. Et puis quel plai­sir de monter sur scène sans être complè­te­ment caché par un mur de toms…

 

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