Une histoire de Papa Kloug
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Ça c'est kloug
Ses parents étaient divorcés, et parfois je voyais bien qu'elle n'avait pas la pêche.
"Prof de gratte" ce n'est pas comme Professeur de Piano. C'est autre chose, parfois c'est une autre musique que tu enseigne, souvent c'est un autre statut que tu portes.
Quand tu aimes les autres tu apprécies leur proximité. Quand tu as quelques ados parmis tes élèves, que tu vois que ça ne va pas, et bien tu parles. Tu leurs parles. Ce n'est pas les parents qui vont le faire. Ce ne sont pas les profs du bahu.
Alors je leurs parle. Et elle, je lui parlais. Je lui parlais comme aux autres, mais un soir j'ai reçu un texto.
Léo 2003
Hors sujet :
elle ne marche toujours pas ta boîte mail !!!!! Grrrr
Mon mail :
Quand on joue, on balance une bouteille Ă la mer.
On le fait pour le plaisir que celà procure. Le plaisir de le faire. On soigne un peu plus chaque nouvelle bouteille, on réfléchit à ce que l'on va mettre dedans.
Dans notre monde de petits zikos, les bouteilles reviennent rarement.
Merci pour tes avis. Oui, ils sont chaleureux, oui ils sont positifs.
Mais surtout ils me donnent un plaisir énorme, celui de voir revenir la bouteille avec une réponse.
Et ça, je ne sais pas si tu imagines à quel point c'est moment magique !
Merci. Merci beaucoup.
Léonard alias "ça c'est kloug"
çamegratouille
Hors sujet : désolé pour la boite mais je pensais que c'aurait été arrangé
sinon je suis content que ca te fasse plaisir et saches que je n'ai pas forcé le trait, je pensais tres sincèrement ce que j'ai écrit. j'aime bien ta métaphore de la bouteille, et avec toutes celles que tu devrais recevoir c'est une cave émotionnelle que tu pourrais monter
Bonne continuation ...j'aurais sans doute d'autres avis à écrire d'ici peu. ![]()
Neya_
Apprendre à comprendre son enfance et les conséquences qu'elle implique sur nos comportements affectifs, c'est pour moi un travail quotidien en ce moment ...
Se dire qu'une histoire, mĂŞme chouette, n'est pas celle qu'il faut, je t'en parle mĂŞme pas !!
Et quand tu dis que tu ne crois pas à l'amitié entre un homme et une femme, c'est la question qui tourne dans ma tête en continu en cette période bizzare. Je me dis qu'en même temps c'est tellement chouette, une amie femme, ça permet de partager tellement d'autres choses qu'avec un homme ... Mais c'est ce "tellement" dans lequel je me perds, et qui fait que la première fois de ma vie ou j'ai connu ça, j'ai craqué devant le sentiment de proximité et ça a donné quatre ans et demi en couple, qui s'achèvent aujourd'hui, et que là j'ai l'impression de connaitre se sentiment une deuxième fois et d'être infoutu de saisir la chance que c'est, d'avoir "juste" une amie ... Je crois que je suis incapable d'ouvrir mon coeur à une fille sans l'y inviter au passage en fait
En tous cas merci pour tes histoires, qui mĂŞme si elles insupportent certains, apportent des choses Ă d'autres.
Léo 2003
Depuis, j'ai vécu une amitié de cette sorte, mais c'est une ex. Donc le rapport est vidé de connotation. L'histoire a été consommée, reconsommée, avec puis sans amour, au point où on en est devenu frère-sœur.
Aujourd'hui, je n'ai plus de règle là -dessus. Disons que c'est au cas par cas... et c'est pas facile de flairer de quoi il en retourne.
fullwood
Qu'elle soit donc presque irréalisable, du moins, qu'on invente alors des stratagèmes pour la rendre irréalisable.
A ce titre, j'ai expérimenté ce fait avec une cousine magnifique, que je ne connaissais pas bien, mais avec laquelle il y a eu un feeling assez monstrueux.
Nous avons réussi à ne pas sortir ensemble, masi elle comme moi, a éprouvé l'envie, et nos derniers gestes et rapports, tenaient plus d'un rapport de personnes qui désirent être ensemble( avec les gestes et les émotions qui naissent de ces gestes), que de celui d'un simple rapport cousin-cousine.
On regrette un peu tout les deux de n'avoir pas été jusqu'au bout, d'ailleurs.
Heureusement qu'il y a éloignement physique, aujourd'hui
Par contre, nous sommes certains que lorsque nous nous reverrons, nous aurons en tête cet acte manqué.
Je crois que celà ne nous gênera pas, mais que le jeu recommencera, et peut être se concrétisera!
Je ne me gĂŞnerais pas!
L'amitié homme femme existe à partir du moment ou il y a un tabou social fort, ou pas d'attirance.
C'est mon humble avis!
Sur le côté destructeur d'une relation:
la psychothérapie m'a été ESSENTIELLE!
JE n'ai pas fait de psychanalyse, mais posé de nouvelles rêgles du jeu avec mon entourgae, et relevé des signesdans mon entourage, qui validaient ce qu'a pu m'apporter la psy!
Et c'est excellent.
Tu apprends Ă te connaitre, mais aussi Ă comprendre le jeu social.
çamegratouille
Anonyme
Ça c'est kloug
C'est un fait "d'hiver". Atroce et merveilleux qui commença comme ça : Â
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J'avais tchatĂ© avec une fille dont la photo Ă©tait sublime. Des long cheveux d'ange couvraient ses Ă©paules vĂŞtues d'un col roulĂ© sombre. Elle fixait l'objectif un peu Ă©blouie par le flash. Â
On s'Ă©tait dit qu'on se verrait et comme les fĂŞtes de fin d'annĂ©es nous ennuyaient rĂ©ciproquement, on avait fixĂ© le 1 janvier.Â
La veille, le 31 dĂ©cembre, je reçu un coup de fil de mon super-pote me disant que sa femme Ă©tait indisposĂ©e par sa grossesse et qu'il annulait la soirĂ©e. Je me retrouvait le bec dans l'eau. Plan n°2 = ma super-potesse a 40 de fièvre, donc je me connecte sur le net...Â
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Il est 20h00 ou 21h00 et elle est lĂ , Ă l'autre bout de la souris. On parle et c'est sympa. Elle me dit qu'elle veut apprendre la guitare, qu'elle aime je ne sais quelle variĂ©tĂ© de merde et je lui dit que ce n'est pas inintĂ©ressant. Et puis comme on est deux idiots (entendez par lĂ deux âmes solitaire) on se tĂ©lĂ©phone et finalement, on dĂ©cide d'avancer notre rendez-vous Ă ... tout de suite !Â
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20 mn de voiture environ. Je merdoie Ă l'interphone... Elle viens m'ouvrir la porte. Elle se tient lĂ avec ses grands yeux clairs et mobiles mais curieusement avec une pupille très dilattĂ©e Ă l'un d'eux. Elle est fine, presque maigre, Ă©lancĂ©e. Les cheveux blonds clairs et lisses et son teint blanc contraste avec une tenue entièrement noire. Elle avait insistĂ© pour que je vienne avec ma guitare.Â
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C'Ă©tait fou, adorable, merveilleux. Papa NoĂ«l m'offrait la plus jolie fille du monde avec une semaine de retard. Enfin, en tout bien tout honneur : La soirĂ©e resta courtoise. Mais ça me faisait dĂ©lirer de jouer pour une aussi jolie fille un 31 dĂ©cembre en tĂŞte Ă tĂŞte. J'avais un mĂ©lange de honte et de bonheur Ă avoir aussi belle groupie dans un soir aussi particulier.Â
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On avait aussi parlĂ© longuement de nos histoires passĂ©es. Elle, elle n'avait jamais aimĂ© et approchait les 30 ans. Moi, j'en avais 36. (rĂ©veillon 2003-2004)Â
...On dĂ©cida de se revoir.Â
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Pour ceux qui se souviennent, il avait neigĂ© sur la rĂ©gon parisienne le 1er janvier 2004.Â
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Donc le lendemain midi, je me lĂŞve (chez moi) et je vois que tout est blanc : le rĂŞve continue. Je suis Ă la limite de croire Ă la prĂ©monition. Tout-est-ab-so-lue-ment-par-fait !Â
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On allait se revoir dans la semaine.
Ça c'est kloug
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Je ne sais plus lequel avait appelĂ© l'autre. De toutes façons, j'en avais dĂ©cidĂ© d'arrĂŞter avec ses chichi "je n'appelle pas parce que la dernière fois c'est moi qui a appelĂ©" "je vais attendre un peu pour faire dĂ©sirer" ... j'avais envie de vivre un truc sincère.Â
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On s'est retrouvĂ© Ă mi-chemin entre chez elle et chez moi. Elle Ă©tait venue dans un petit cabriolet noir, elle Ă©tait encore habillĂ©e de noir. Je n'ai rien, ni pour les couleurs sombres, ni les bagnoles, mais lĂ c'Ă©tait du grand style. Peut-ĂŞtre trop pour moi aime garder le tĂŞte froide et jouer de bonne humeur.Â
On a fait un dĂ®ner dans un resto carrĂ©ment nullissime car je m'Ă©tais trompĂ© dans les adresses. Après, on a fait une ballade en voiture. On a choisit la sienne parce que franchement, la vieille fiesta, c'Ă©tait pas le kif du moment. C'Ă©tait agrĂ©able, on parlait de nous, nos envies, nos erreurs. On se disait que la prochaine histoire qu'on vivrait, il faudrait la rĂ©ussir. Et pour celĂ , on prendrait son temps pour connaĂ®tre l'autre.Â
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Et on a pris notre temps.Â
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Et on s'est revu le dimanche
Ça c'est kloug
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On s'est donnĂ© rendez-vous chez moi. On s'appele pour qu'elle trouve bien le chemin et je l'attends au carrefour pour lui Ă©viter les dĂ©tails des sens interdits de 50 derniers mètres.Â
le petit bolide arrive et s'arrĂŞte Ă mon niveau. Je glisse mes 1,87m dans l'habitacle. Elle est au tĂ©lĂ©phone avec une copine, j'essaye de faire le gentleman et fait mine de ne pas Ă©couter. Oui c'est ce soir... oui... Ă©coute je suis arrivĂ©e... oui, mais je te laisse... promis, je lui dirais ce soir... mais, ne t'en fais pas... allez, bisouÂ
Je la regarde, et c'est wwwoooOOOAAAAAOOOooouuuuu ! Elle a fait un broshing qui faisait de sa chevelure nacrĂ© un volume dingue sur son petit visage au traits si parfaitement fins. Je lui explique oĂą se garer et la regarde fixer la route. Quelle allure. MĂŞme si ça s'arrĂŞte lĂ , ça me suffit dĂ©jĂ . C'est trop parfait.Â
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On avait optĂ© pour un cinĂ© et hormis le resto, nous ne mangions pas ensemble. Le nouvel an comme cette fois lĂ , nous avions mangĂ© avant. Elle se disait difficile pour le choix des repas et prĂ©fèrait ainsi. Moi, je suis plutĂ´t cuisine du Sud-Ouest et je ne me voyais pas imposer la cuisine Ă la graisse de canard flambĂ©e Ă l'armagnac Ă elle si raffinĂ©e, et d'un gabarit si frĂŞle.Â
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Sur le chemin du cinĂ©, j'avais profitĂ© de ce qu'elle disait pour rebondir et lui faire des avances. Elle me rĂ©pond qu'elle ne sait pas si elle n'a pas bien compris ou si elle a mal entendu. J'ai l'air d'un con et je fait une pirouette Ă deux francs.Â
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Après le cinĂ©, on va chez moi. Je lui fais Ă©couter mes dĂ©mos comme tout Afien le ferait. Elle parle de ses Ă©checs, ses dĂ©ceptions : elle a eu beaucoup de mecs totalement barges, pleins de reproches, qui la critiquaient sans cesse et lui disait qu'elle savait très bien ce qui dĂ©connait chez elle.Â
Je me suis levĂ©, je lui ai pris les mains, l'invitant Ă se lever. Je lui ai dis que ce serait diffĂ©rent entre nous. Je l'ai approchĂ©e contre moi, et nous nous sommes embrassĂ©.Â
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On s'était dit qu'on prendrait du temps pour se découvrir mais il était tard et on s'est allongé...
Ça c'est kloug
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C'Ă©tait un corps parfait. Je n'avais pas les yeux du voyeur mais celui de l'enfant qui dĂ©couvre un cadeau. Je visitais sa nuque, ses jambes, chacun de ses doigts fins, mais quoi que je fasse, quelque furent mes mouvements, tous convergeaient vers son corps. Invariablement sa nuque m'amenait aux bretelles de son soutien-gorge tandis que ses jambes m'amenaient Ă effleurer sa culotte. Chaque geste amenait le suivant dans une suite logique. Et je garde encore cet instant en moi avec la plupart de ses dĂ©tails. Â
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La texture douce de sa peau, très fine et parfaitement glissante. Ses seins aux courbes parfaitement rondes Ă©taient l'Ĺ“uvre d'un sculpteur. Ses hanches recevaient mes mains exactement. Ses jambes fines et lĂ©gères prennaient les poses d'un modèle quelque soient leur position ; elles Ă©taient l'Ĺ“uvre d'un peintre, c'est sĂ»r.Â
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Bon, on avait dĂ©cidĂ© de prendre du temps mais lĂ , on en Ă©tait arrivĂ© Ă un point oĂą lorsque l'on est tous les deux nus, les perspectives du futur immĂ©diat ne sont pas multiples.Â
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J'ai un peu apprĂ©hendĂ© parce que j'Ă©tais Ă©mu. J'Ă©tais plus dans la contemplation que dans le dĂ©sir. Mais, ouf ça s'est bien passĂ©. J'ai commencĂ© doucement pour prolonger cet instant de tendresse. Elle, elle s'est masturbĂ©e en me fixant dans les yeux et au bout d'une minute environ, elle m'a dit "viens". Ce dont je me suis acquittĂ©.Â
Aujourd'hui je me demande comment j'ai pu le faire tant ce rapport fut mĂ©canique et dĂ©nuĂ© de sentiment.Â
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Elle s'est levĂ©, et est allĂ©e Ă la salle de bain. Moi je suis restĂ© dans le lit avec ma sueur et j'ai pris une guitare. Quand elle est sortie de la salle de bains, elle s'est mise Ă mes pieds et a posĂ© sa tĂŞte sur mon genou de libre. Certes, ce n'Ă©tait pas une partie de sexe merveilleuse, mais j'Ă©tais l'idole d'une fille dont la plastique me subjuguait. Alors, je garderais bien encore ce rĂ´le.Â
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Le mardi je l'ai appelĂ©. Elle m'a fait :Â
"c'est vrai, tu veux bien me revoir quand mĂŞme ???"Â
Elle Ă©tait Ă©tonnĂ©e. Bon, j'avais Ă©tĂ© choquĂ© par cet aspect expĂ©ditif de l'amour, mais je commençais Ă ne penser qu'Ă elle tout le lundi et tout le mardi. Et on allait se revoir enfin.Â
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Ça allait être notre ultime rencard : le mercredi soir
Ça c'est kloug
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On avait eu du mal Ă convenir de qui irait chez qui. Je suis allĂ© chez elle.Â
Comme les autres fois, elle Ă©tait en noir. Toute sa garde robe Ă©tait noire. Chemisier, pull, robe, jean, mitaines et... voiture toujours.Â
J'y Ă©tais allĂ© sans guitare car je devais me lever tĂ´t. Â
Ce fut le premier reproche. "Pourquoi tu es venu sans ta guitare ?"Â
"Ben, je te l'ai dit, demain j'ai des trucs Ă faire, et je ne peux pas me ballader avec ma gratte"Â
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Je l'ai regardĂ© jouer avec son chien toute la soirĂ©e. Un espèce de petit truc avec une gueule horrible. Elle arrĂŞtait pas de le faire chier, il Ă©tait tentĂ© de lui foutre un coup de crocs mais elle le rappelait Ă l'ordre. Puis elle lui soufflait Ă nouveau dans ses horribles narines bĂ©antes. Â
Moi je la tirais doucement vers moi pour de la tendresse. Elle se laissait faire cinq secondes, puis se relevait avec une mine que je ne saurais dĂ©crire et retournait faire chier son chien.Â
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Elle avait fait de moi le king de la petite ville de banlieue, et voilĂ que je perdais mon aurĂ©ole pour un cabot con et moche. La groupie qui posait sa tĂŞte sur mes genoux s'emmerdait Ă mes cĂ´tĂ©s.Â
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On est allĂ© se coucher, et on a Ă©teind la lumière.Â
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Je me suis mis contre elle. Je me souviens qu'elle faisait un truc que j'adorais, c'est que plutĂ´t que de prendre ma salive et de la porter Ă son sexe, elle faisait le contraire : elle portait la main Ă son sexe et me le faisait goĂ»ter. Ça reviens presqu'au mĂŞme dans la gestuelle, mais ça prend tout un autre sens, et j'aime ça. J'ai donc lĂ©gitimement gagnĂ© une Ă©tape en caressant de ma langue l'endroit d'oĂą naissait son dĂ©sir. (je fais gaffe Ă la modĂ©ration lĂ ... ne vous marrez pas)Â
Puis je lui ai dit qu'on allait faire ça progressivement cette fois pour profiter du plaisir, si ça ne la dĂ©rangeait pas.Â
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Au bout d'une minute environ ça l'a gavĂ© et elle s'est levĂ©. Je l'ai rejoint sur le canapĂ© et elle m'a dit :Â
"avec les autres filles, ça ne se passe pas comme ça ?"Â
Je lui ai dis que gĂ©nĂ©ralement, on prennait notre temps.Â
Elle m'a rĂ©pondu quelque chose comme : Â
"Tu m'as bien fait comprendre que je n'Ă©tais pas normale"Â
"Mais non, normal, ça n'existe pas dans ces histoires"Â
"Si"Â
"Mais non, viens, allez.."Â
"Maintenant c'est trop tard" me dit-elleÂ
Â
Fichtre. Je me suis couchĂ©, elle est venue plus tard. Je me suis rapprochĂ© d'elle, tout contre pour ĂŞtre tendre. Elle m'a engueulĂ© et dit que maintenant, Ă cause de moi, elle n'arriverait plus Ă dormir.Â
Â
Je n'ai pas dormi non plus. Je n'osais plus bouger.Â
Ă€ un moment elle a sursautĂ© hors du lit, je ne sais pas pourquoi. Il faisait noir, totalement noir dans cette pièce parfaitement calfeutrĂ©e par les volets et les doubles rideaux... et elle a criĂ© comme une folle :Â
"Et arrĂŞte de me regarder comme une bĂŞte curieuse !!!".Â
Â
Qu'aurais-je pu voir dans cette obscuritĂ© ? Au bout d'un moment, je me suis levĂ© et je suis rentrĂ© chez moi en lui laissant un mot. "Rappele-moi, ça serait sympa de discuter. Je suis rentrĂ© te laisser dormir"Â
Ça c'est kloug
Â
Je ne pense pas pouvoir sortir avec une aussi jolie fille un jour, ni avec quelqu'un d'aussi incompatible. Je me souvenais Ă prĂ©sent des reproches que ces ex lui disaient, d'après ce qu'elle mĂŞme m'en rapportait et je ne pouvais m'empecher de penser que notre histoire, elle la refaisait Ă chaque fois. Â
Â
On s'est eu au tĂ©lĂ©phone pour que ce soit l'autre qui prenne la dĂ©cision de la rupture. Elle m'a dit "fallait pas partir". Je ne voulais pas rompre, alors elle a dĂ©versĂ© un flot d'injure ininterrompu.Â
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Au bout d'un moment, j'ai raccrochĂ©. Â
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La neige n'avait pas tenu plus de 24 heures cette année. Cette histoire, elle, moins de 10 jours. Mais si vous saviez, ce qu'elle était belle.
çamegratouille
G²
Belle histoire mais bien triste fin comme à l'accoutumé. Encore certains passage dans lesquel je me retrouve, à admirer les femmes de bas en haut, en large et en travers apres l'amour. Le shéma est identique au tient "mains...poitrine... puis jambes".
C'est étrange mais ton récis m'a subitement donner envie de travailler ma gratte que je viens tout juste d'achetter sans même en avoir une fois joué ...
Merci de nous faire partager ton histoire ; ne change pas
G² aka Gérard Germain, Gaspard Groseille, Gaston Garnier, Günther Gestapo
Vends ampli sono haute puissance ici.
Â
Â
Ça c'est kloug
G²
G² aka Gérard Germain, Gaspard Groseille, Gaston Garnier, Günther Gestapo
Vends ampli sono haute puissance ici.
Â
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fullwood
çamegratouille
[jj]
on ressent toujours énormement de choses en lisant tes histoires kloug. merci en tout cas.
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