Même les pros font couac !
- 661 réponses
- 102 participants
- 51 670 vues
- 123 followers
Anonyme
J'ai cherché dans les dix premières pages des forums du Pub, mais je n'ai pas trouvé de thread similaire à çui que je voulais, alors je le crée. L'idée est de rassembler ici les grands moments de solitude vécus par nos idoles en live.
Non pas pour se moquer, mais pour rigoler, comme dirait l'autre. Et parce que ça les rend plus humains, serais-je tenté d'ajouter...
Je commence avec le concert des Guns n Roses à Paris, hippodrome de Vincennes, en 1992, et l'intro de "Sweet child o' mine" où le bassiste Duff Mac Kagan (mais bon ils étaient tous faits comme des rats) loupe totalement son entrée (précisément à 2:02) : https://www.dailymotion.com/relevance/search/guns%2Broses%2Bparis%2Bsweet/video/x4br1m_sweet-child-of-mine-intro_music
Je poste aussi un crash d'ordinateur arrivé à Laurent Garnier et posté par vincx dans le thread "Les plus beaux plantages Windows en live" du Pub des Gentlemen: http://fr.youtube.com/watch?v=99zt4uOxW60
A vous !
Jay f.
Personnellement, je ne connaissait pas l'épisode des Who. J'adore l'humour très british du début.
Sinon, on remarquera avec quel brio Keith Richards reprend son riff de guitare où il l'avait laissé. Imparable.
We're born naked, wet and hungry. Then things get worse.
http://soundcloud.com/jay-f-2
Anonyme
Oui l'histoire de l'explosion des who, on l'a déjà vue, peut-être même ici sur the thread.
Je crois que le batteur avait triplé la dose de pétard dans la batterie, sans en avertir ses potes.
Tsaddeous
Tsaddeous
Anonyme
Les Who, le groupe le plus dangereux
Le Nouvel Observateur. – Les Who avaient la réputation d'être le groupe le plus dangereux...
Roger Daltrey. – Et c'était justifié. On foutait la trouille aux gens particulièrement sur scène. Je me souviens d’Abbie Hoffman. A Woodstock, il est monté sur scène pendant qu'on jouait pour balancer son petit couplet militant. Pete [Townshend] lui a fichu un coup de guitare sur la tête et l'a étendu raide. Il faut dire qu'on marchait au speed. Nous étions complètement paranos et incroyablement jaloux les uns des autres. On n'arrêtait pas de se battre entre nous. Mais attention: si un type de l'extérieur venait nous chercher, alors là, que Dieu lui vienne en aide! On lui faisait la peau. En fait, les Who prospéraient sur la paranoïa et la jalousie. C'étaient les deux composantes de notre agressivité. L'époque était terriblement frustrante pour notre génération. La seule façon de laisser éclater notre frustration, c'était la musique; le meilleur endroit, la scène.
Casser du matériel sur scène est vite devenu la marque de fabrique des Who. Aviez-vous vraiment besoin de tout détruire chaque soir?
R. Daltrey. – Au début, oui. C'était essentiel. Ce geste est vraiment né de la frustration que nous ressentions de jouer dans des endroits minables. Un jour, on jouait dans une cave dont le plafond était très bas. Pete cognait sans arrêt le manche de sa guitare contre le plafond. A un moment, il en eu marre et il a pété sa guitare. Après, ça n'a plus arrêté. Un jour, un ampli a explosé et il y a eu un début d'incendie. Les cheveux de Pete ont commencé à brûler. Tout casser, c'était comme un orgasme à la fin d'une bonne baise. Vous savez, pour nous, il n'y avait jamais assez de violence sur scène. Nous étions toujours déçus par nos concerts. Nous avions le sentiment d'être un cran au-dessous de ce qu'on pouvait donner. Pour un artiste, c'est le combat qui est important. Casser le matériel sur scène, ça faisait partie de ce combat. A la fin, oui, c'était devenu un show. Les gens étaient frustrés si on ne cassait pas au moins une guitare. Keith Moon, notre batteur, ne pouvait pas terminer un concert sans tout foutre en l'air.
Anonyme
Citation :
Parmi les frasques de Keith Moon, on compte également l'ingurgitation d'un somnifère pour cheval lors d'un concert de la tournée Quadrophenia le 20 novembre 1973 au Cow Palace de Daly City en Californie, un fan du groupe lui ayant présenté une « nouvelle drogue » géniale quand un demi-cachet est consommé avec du cognac, ce à quoi Moon répondit : « Attends, tu sais qui je suis ? Je suis Keith Moon ! Je prends pas un demi-cachet, j'en prends un entier, moi ! » avant de s'exécuter. Le concert a été filmé. On peut voir Keith Moon s'écrouler sur sa caisse claire en plein milieu de Won't Get Fooled Again : K.O. La « nouvelle drogue » était en fait un somnifère pour chevaux : Keith Moon, hors d'état de jouer, fut remplacé par un spectateur de la foule, Scot Halpin. Le batteur mit deux jours à s'en remettre, durant lesquels, transporté en chaise roulante et incapable de parler, il dut subir les sarcasmes de Pete Townshend.4
https://www.dailymotion.com/video/x248m3_the-who-wont-get-fooled-again-1973_music
[ Dernière édition du message le 24/08/2010 à 18:15:59 ]
Anonyme
J'avais entendu parler du coup du somnifère pour cheval
Klargus
La dernière prestation en date d'un spécialiste en la matière :
Feline disrespect from behind.
[ Dernière édition du message le 24/08/2010 à 18:58:40 ]
za-goAt
c'est clair, ça c'est de l'entrée même si ça vaut pas celle des béru au zénith (vers 1'40).
La musique adoucit les meurtres...
- < Liste des sujets
- Charte