Sujet de la discussionPosté le 16/01/2004 à 22:41:35? Projet d'apéro AF Bordeaux ? [dpt33]
Bonjour aux habitués d'AF de la gironde
Il y aurait-il des personnes intéressées par une première réunion apéro dans un café de Bordeaux pour échanger des infos, trucs & astuces en parallèle d'AF et en reprenant le plan du site Voilà
Cela fait 2 ans que je me connecte régulièrement sur AF. Je n'y passe pas mes journées, mais je lis plus les news AF que la presse, alors j'avoue que l'idée d'échanger nos combines lors de petits apéros me plairais.
S'il y a des motivés > un petit message suffit pour constituer un réseau.
Ne fallait-il pas sacrifier Dieu lui-même et, par cruauté vis-à-vis de soi-même, adorer la pierre, la bêtise, la lourdeur, le destin, le néant ? F. Nietzsche
Anonyme
521410
6495Posté le 20/03/2005 à 13:20:36
Bonjour Mekanik
En fait, le week-end je peux pas être à Bordeaux, et sur le site ils passent leur temps à parler de synthé
Mais je suis pas mort !
Toujours infirmier ?
Ne fallait-il pas sacrifier Dieu lui-même et, par cruauté vis-à-vis de soi-même, adorer la pierre, la bêtise, la lourdeur, le destin, le néant ? F. Nietzsche
Anonyme
521410
6497Posté le 20/03/2005 à 13:31:43
C'est pas facile...
T'as un G2 ? ça ça a l'air sympa !
Tu viens pas souvent nous dire bonjour ! Sinon tu saurais qu'il y a eut une épidémie de Claviatite aigue sur Bordeaux ! Déja 4 membres AF bordelais convertis et c'est pas sur que celà soit terminé .....
Et toi ? toujours étudiant en langues extrême-orientales ? (c'est ta copine qui doit être contente .... .....)
Ne fallait-il pas sacrifier Dieu lui-même et, par cruauté vis-à-vis de soi-même, adorer la pierre, la bêtise, la lourdeur, le destin, le néant ? F. Nietzsche
Anonyme
521410
6499Posté le 20/03/2005 à 13:39:20
Ben ouais, en licence, je vais faire sûrement ma maîtrise et après prendre un boulot à la con qui aura rien avoir avec le japonais, et finir musicien frustré
Ne fallait-il pas sacrifier Dieu lui-même et, par cruauté vis-à-vis de soi-même, adorer la pierre, la bêtise, la lourdeur, le destin, le néant ? F. Nietzsche