Même si pompé sur ce film situationniste des années 60/70 où, pendant 1 heure, l'écran reste noir et il ne se passe rien, ou encore sur ça . Le côté surréaliste m'a plu, mais de toute façon, c'est beaucoup trop intelligent pour vous, et je vous emmerde .
Les ingrédients de la bonne blague bilingue :
- Un accent bien trempé pour que les mots usuels soient méconnaissables.
- Un vocabulaire soutenu pour larguer l'auditeur
- Le ressort de la blague repose sur une locution intraduisible
- Un contexte qui fait référence à une région peu connue
- Et surtout, toujours un ou deux mots bien classiques et parfaitement intelligibles qui servent de leurres : donner du remord et faire croire qu'on aura une chance de comprendre si on s'accroche bien.