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Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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Exact :lol:
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Hors sujet : Eh bien, les "javé" sont de sortie ces derniers jours!

Sans musique, la vie serait une erreur. (F. Nietzsche)

Matos à vendre

1554
Petite blague inside :

Qu'est ce qu'une blonde avec une meche brune ?

Une luheur d'espoir
1555
:ptdr: :ptdr: :ptdr: :bravo:
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Toujours sur les blondes :


- Comment on sais qu'une blonde a utiliser un ordinateur ?

Il y a du typex sur l'ecran


- Comment on sais qu'une blonde est passé apres ?

C'est reécris dessus !
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A propos de tatouage, une vieille, mais bon, dans ce thread...

C'est un type qui doit partir au service militaire (les jeunes, faudra chercher dans le dico).

Il a une meuf qui est super canon, dont il est fou amoureux, mais qui a la tarre d'être d'une jalousier maladive.
Dans les semaines précédant son départ, elle lui fait scène sur scène :
"Ouais ! Je sais comment ça va être ! Avec tes copains, en perm, tu vas te bourrer la gueule et te taper plein de greluches !
- Mais non, je t'assure ! Je n'aime que toi. D'autres filles, ça ne m'intéresse même pas.
- Ouais, mon oeil, tu dis ça, mais devant tes copains de régiment, tu voudras pas te dégonfler..."

Le mec en a marre. Il vas chez le tatoueur et se fait tatouer sur le sgeg le prénom de la fille : Sandrine.
Puis il lui montre :
- Tu vois ? Si avec ça t'es pas certaine de ma fidèlité...!

Il faut préciser quand même que "Sandrine" n'apparaît que quand notre type est dans de bonnes dispositions. Au repos, on ne voit que S et E.

Quelques temps plus tard, le mec est arrivé à l'armée. La phase où on chercher à se faire des potes.
Il se retrouve au pissotières à côté d'un grand black et ne peut s'empêcher de jeter un oeil plus ou moins discret pour vérifier sur la légende est vraie. Et il voit que le mec a aussi S et E sur la queue. Alors, tout content :
- Tiens ! Toi aussi elle s'appelle Sandrine ?
- Ah, non. Moi y'a marqué "Souvenir d'une soirée tendre en Afrique équatoriale"
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:ptdr: :ptdr: :pong: :ptdr: trop bonne! :bravo:
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On approche de la fin de la seconde guerre mondiale.

Les anglais, après en avoir pris plein la tronche avec les allemands, commencent à leur rendre la pareille et à multiplier les raids de bombardement sur l'Allemagne.

Une escadrille est chargée d'aller bombarder un complexe industriel de chez Messershmidt (qui faisaient des avions de guerre) et notamment une usine de roulements à billes, objectif prioritaire.

Dans le cockpit faiblement éclairé du bombardier, les hommes essayent de cacher leur tension et leur trouille sous leurs dehors de bons soldats virils. C'est qu'un raid de nuit, c'est pas du pipi de chat ! Il y le risque de la météo, de s'emplafonner une montagne, de se perdre (on est pas à l'avion d'aujourd'hui où il suffit d'appuyer sur un bouton pour arriver à destination, ou presque). Et il y a surtout le risque de se faire descendre par la flaque (la DCA) ou une escadrille ennemie.

L'escadrille arrive cependant sans encombre sur l'objectif, apparemment sans avoir été repérée. Les bombardiers lâchent leurs bombent.

Des tonnes de bombes pleuvent sur l'usine de roulements à billes. Ça explose de partout. Objectif atteind. Pile poil. Et même mieux puisque tous les bâtiments du site sont touchés, dont apparemment un dépôt de munition qui produit une terrible explosion.
Même d'en haut, les aviateurs voient qu'ils ont déclenché un énorme incendie. Tout le complexe brule dans un brasier qui s'élève à des dizaines de mètres de hauteur.

Et là, le commandant commence à pouffer. Les autres le regardent en biais. C'est pas le moment de se marrer. Et puis, il faut rentrer avec d'avoir des escadrilles au cul. Le retour est pas plus facile.

Et le commandant se met à glousser.
Le co-pilote :
- Mais qu'est-ce que t'arrive, Harry ?
Et Harry, n'y tenant, plus, part dans un fou rire énorme. Il lui faut plusieurs minutes pour se calmer et réussir à dire à ses hommes :
- je me disais qu'avec toutes les billes qui traînent par terre, il doit pas faire bon se balader en bas.
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Je pourrais dire à mes petits enfants que j'ai été sobre toute une semaine.