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Sujet Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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Un vieillard qui vivait seul au etats unis, voulait semer ses patates au jardin, mais, c'était un travail très pénible, car, il lui fallait retourner toute la terre.
Bubba, son fils unique qui habituellement l'aidait pour cette tâche était en prison. Le vieil homme écrit donc une lettre à son fils dans laquelle il y décrit sa situation difficile :
Cher Bubba,
Je me sens très malheureux, parce qu'il me semble bien que cette année, je ne serai pas capable de planter mes patates au jardin. Je suis trop vieux pour pouvoir creuser et retourner la terre du carré de jardin. Si tu étais ici, tous mes problèmes seraient résolus. Je sais que tu creuserais et retournerais la terre du carré pour moi.
Avec amour
Papa

Quelques jours plus tard, il reçut une lettre de son fils
Cher papa,
Pour l'amour du ciel, papa, ne creuse pas dans le jardin, c'est là que j'ai enterré les CORPS.
Avec amour Bubba

À 4:00 AM, le matin suivant, une nuée d'agents du FBI et de la police locale arrivèrent et se mirent à creuser tout le carré du jardin sans trouver aucun cadavre. Dépités, ils s'excusèrent auprès du vieillard et quittèrent les lieux. Le même jour, le vieil homme reçut une autre lettre de son fils

Cher Papa
Vas-y, maintenant, tu peux planter tes patates. C'est le mieux que je puisse faire dans les circonstances.
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Après leur journée de labeur, Marcel et René, deux peintres en bâtiment, discutent sur le chemin du retour. Marcel dit à son comparse :
- " René, ça fait 5 ans que je suis des cours du soir et je vais passer mon examen le trimestre prochain... "
- L'autre: " Bah... "
- Marcel: " Tiens par exemple, tu sais qui c'est Graham Bell? "
René: " Non. "
- Marcel: " C'est celui qui a inventé le téléphone en 1876! Si tu suivais les cours du soir, tu le saurais. " Le lendemain, sur le chemin du retour, la même scène se reproduit :
- " Tu sais qui c'est Alexandre Dumas? "
- René: " Non. "
- Marcel: " C'est l'auteur des " Trois Mousquetaires ". Si tu suivais les cours du soir, tu le saurais... " Le jour d'après, une nouvelle fois, Marcel demande à son camarade :
- " Et tu sais qui c'est Jean-Jacques Rousseau ? "
- René: " Non. "
- Marcel: " C'est l'auteur des "Confessions ". Si tu suivais les cours du soir, tu le saurais... "
- Cette fois, un peu excédé, René réplique:
- " Et toi tu sais qui c'est Pierre Gaspard ? "
- Marcel: " Non. "
- René: " C'est le gars qui couche avec ta femme. Si t'arrêtais les cours du soir, tu le saurais... "
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C'est ta première fois. Pendant que tu mens en retour, tes muscles se détendent.
Tu le lâches en cherchant une excuse, mais il refuse d'être balancé et il s'approche de toi.
Il te demande si tu as peur mais tu secoues la tête bravement.
Il a eu plus d'expérience, mais c'est la première fois que son doigt trouve le bon endroit. Il découvre profondément et tu frissonnes; ton corps se tend; mais il est doux comme il l'avait promis. Il te regarde profondément dans les yeux et te dit de lui
faire confiance, il te l'a demandé plusieurs fois avant.
Son sourire te rassure et tu ouvres plus grand pour lui donner plus
de place pour une entrée facile. Tu commences à le supplier et tu le pries de se dépêcher, mais il prend son temps lentement, voulant te causer le moins de mal possible.
Pendant qu'il presse plus fort, va plus loin, tu sens l a peau s'en aller; la douleur ressort de ton corps et tu sens la mince filet de sang en même temps qu'il continue.
Il te regarde, attentionné, et te demande si ça fait trop mal.
Tes yeux sont plein de larmes mais tu secoues la tête et tu fais non en lui disant de continuer.
Il commence à rentrer et sortir avec habileté mais tu es trop engourdie pour le sentir en toi.
Après quelques moments, tu sens quelque chose sortir de toi et il se sort de toi, tu reste haletante, heureuse d'en avoir fini.
Il te regarde et te sourit chaleureusement, te dit que tu as été sa plus têtue récompense jusqu'à maintenant.


Tu souris et remercie TON DENTISTE. Après tout, c'était la première fois que tu te faisais arracher une dent.
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JOURNAL INTIME DE MARIE
SAMEDI 12 MAI 2007
Cher journal,
J’ai vu Jean ce soir, et il s’est comporté de manière très étrange. J’avais fait du shopping avec des copines tout l’après-midi et j’ai donc pensé que c’était à cause de ça, surtout que je suis arrivée un petit peu en retard à notre rendez-vous.
Le bar où nous étions était bondé et très bruyant, alors je lui ai suggéré qu’on aille dans un endroit plus tranquille pour pouvoir parler. Il n’a rien dit mais il a semblé encore plus préoccupé, comme s’il avait la tête ailleurs. Je voyais bien qu’il était triste, alors je lui ai proposé d’aller dîner dans petit resto très sympa. Mais son comportement tout au long du repas m’a paru bizarre. C’était comme s’il n’était plus lui-même. Il souriait à peine, il semblait mélancolique, il ne prêtait aucune attention à moi ni à tout ce que je pouvais lui raconter. Je sentais bien que quelque chose n’allait pas.
Il m’a raccompagnée jusque chez moi et je me suis même demandée s’il allait monter ou s’il n’allait pas repartir tout de suite. Il a semblé hésiter un instant devant ma porte, puis il m’a suivie. Arrivés à mon appart’ je lui ai à nouveau demandé si quelque chose le préoccupait, si c’était lié à nous deux, s’il n’y avait vraiment rien dont il avait envie de me parler. Je lui ai dit que j’étais prête à tout entendre mais il a à peine haussé les épaules et il a allumé la télé.
Au bout de dix minutes, je lui ai dit que j’allais me coucher. Je l’ai serré très fort contre moi et je lui ai dit que je l’aimais plus que tout au monde. Il a tourné un instant la tête vers moi en souriant tristement et il m’a laissé partir toute seule dans la chambre.
Mais à ma grande surprise, il m’a rejointe un peu plus tard et nous avons fait l’amour. Mais il m’a semblé toujours aussi distant, presque absent. Je sais bien que quelque chose le tracasse. Cette fois j’en suis sure, il va me quitter. Il a même probablement déjà trouvé une autre fille. Il pourrait au moins avoir le courage de me le dire en face.
Cette nuit, je me suis endormie en pleurant.

JOURNAL INTIME DE JEAN
Samedi 12 mai 2007
Fait chier. L’OM a encore perdu…
J’ai quand même niqué.
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C'est un gars qui drague une rousse dans une boîte et tout marche comme sur des roulettes, alors, la nana lui dit : Ecoute chéri, j'aimerais bien faire l'amour avec toi, mais il faut que je te prévienne que nous, les rousses, on a une odeur corporelle très prononcée.
Le gars ne fait pas de chichis, et l'emmène chez lui. Il commence à la déshabiller, et c'est vrai que l'odeur est prenante !!!, il lui enlève son soutien-gorge, son slip, à ce moment l'odeur commence vraiment à décaper le papier peint, mais le mec prend son courage à deux mais, et commence malgré tout à lui brouter le minou...
Quand tout à coup il rencontre ... un bout de viande... Bon, SGLOUP, il le gobe, il continue... Un spaghetti, GLOUP, un légume, GLOUP, mais là c'en est trop, il se relève :
- Ecoute chérie, ton odeur, passe encore, mais c'est quoi toute cette bouffe que tu accumules dans la chatte ?
- Ah je t'avais prévenu, le mec d'avant il a pas tenu !!!
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C'est clair, j'ai même pas envie de tout lire :8O:

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

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Ah ben vous m'avez régalé là! cette fois c'est mention spéciale pour le grand pere et son carré de patates :aime:
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La dernière est vraiment horrible, pire que celle des glaires :mdr:
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La vierge...

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer