"Le calva est servi"
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les calvanisés
dites donc, ça
un peu sur le calva en ce moment
sur AF entiérement même
pas de compos, pas d'avis, !! enfin, jusqu'à la prochaine de doc
à l'eau a'c* des bulles et de l'écorce de quinquina!!
*expression emprunter à qui vous savez....
Pour qui/quoi tu parles ? le calva ?
Non... tous les grands ont toujours un p'tit coup de mou ... c'est connu... non ?
Long, isn't it ? Tant pis pour vous... Cicero is back ! 
les calvanisés
;) ça fait du bien de vous revoir!!!
écorce de quiquina'n orange amère it's good
alors Jordan kess keu tanpance*
6/0 ouk tan nez
Anonyme
487
les calvanisésdites donc, ça
un peu sur le calva en ce momentsur AF entiérement même
pas de compos, pas d'avis, !! enfin, jusqu'à la prochaine de doc
à l'eau a'c* des bulles et de l'écorce de quinquina!!*expression emprunter à qui vous savez....
Anonyme
2947
...le début de la fin ?
Belle route quand même hein ?
Belle route quand même hein ?
Citation : Vus 10742
vetjc
3463
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Citation : ...le début de la fin ?
Pour qui/quoi tu parles ? le calva ?
Non... tous les grands ont toujours un p'tit coup de mou ... c'est connu... non ?
« Je crois qu’il faut que vous arrêtiez d’essayer de dire des trucs » Roi Arthur ou Dr Doolittle... au choix...
Anonyme
2947
...histoire de relancer 
Cicéro
643
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 19 ans
Ho, salut mes drôles ! Ben on dirait qu’il est temps que j’r’applique, hein ?… Dites-donc, çà gribouille quand j’ai pas là ! Hé, on s’a pas lus d’puis un paquet… pasque j’tais aux gabonais absents. Pas de portab’, pas d’ordi, pas de voiture, pas de télé… THE PIED (en français : le foot) ! Comment çà "RIEN" ? Ben si : LA Vie !
Et tu veux qu’j’te dise ? Ben, fut un temps où v’m’avez pas trop manqué ! (sauf les principaux*, bi seûr…
) J’avais même oublié qu’AF existait !
Ben oui, entr’aut’, j’sus t’été vacancer un peu dans un pays où tu devrais emmener madame, pour autant qu’t’aies encore un miot d’affection pour elle. J’te jure que çà vaut vraiment le coup (Eeuuh, j’te cause du voyage, hein. Madame, je sais pas !
)
C’tait zoù ? Un patelin plein d’eau, où c’est qu’i’ causent un français bizarre plein de terminaisons z’en i, o, a, a’c accent tonique sur l’avant-dernière syllabe et où les muets sont des manchots ! Ouais, m’sieu, un patelin plein d’eau… mais pas dessus, comme chez nous ! Non, que dessous, plein, plein, partout, et à pas moins de 23° ! ‘Reusement : imagine un peu, en cas de sécheresse bingladéchienne, la g….. des rameurs a’c leur godille plantée dans la vase, le canotier de traviole, et le "soléééé-miiiio" coincé dans la gargane ? Et dans l’au-dessus, et tout autour, çà tapait le 28° à l’omb’, minimum syndical garanti, avec le mahomet qui te faire cuire les peaux (les jeunes et les vieilles) tout doucettement, sans faire de cloques… Que le soir à l’hôtel c’est enduction de pommade espéciale sur tout le corps, que, si tu vois c’que j’veux dire, çà se termine par une séance que la plus élémentaire décence m’empêche de vous décrire ici ! (Ben quoi, paraît qu’c’est la ville des zamoureux !… Je confirme : y’en a !)
Bon, ben… comment dire çà ? Sérieusement, à part ces considérations basiquement personnelles, chaque lieu est un régal pour les yeux, la tête, le cœur… mais pas pour les pieds ! Ben oui, on a beau savoir nager, le bateau a beau remplacer le bus, le taxi, le métral, le pousse-pousse, etc, les hescursions efficaces, çà s’fait plutôt pédestrement, que je sache ! Eh oui, même là !
Donc, là, partout où tu tournes le regard, ben c’est bô ! La ville est bô, le ciel est bô, l’eau est bô, le soleil est bô, la muzic est bô, la lumière est bô, le gen ** est bô … Eh oui ! Tout cà te chante dans les oreilles et dans le cœur. "Rââââhhhh, que c’est bôhoho…" Et pis, pas que tout çà est bô, hein ! Les gisquettes aussi, de 17 à 77 ans, que des canons, j’te jure. Que quand tu vois un boudin, l’est même pas du coin ! (J’en ai même vu-et-entendu un paquet, originaire de notre doulce France… que quand elles ouvraient leur boîte à chine-gomme, j’avais un chouïa honte de causer la même langue. Même plus bas. Ben si !)
Comment ? T’vois pas ousque j’étais ? Allez j’te souffle encore un peu : y’a un festival qui s’y déroule là, main’nant, ‘ach’ment connu dans le monde mondial du kinos : t’aurais qu’à voir les yôôtes qui z’arrivaient pas loin des gondoles ! (Damned, j’l’ai dit !) J’sus même t’été z’au Lido… mais j’ai pas vu les danseuses ! Même le lion a’c ses ailes, j’ai pas pu l’voir tant qu’i’ y’avait du trèpe en ville ! Just' sa statue... C’est dire ! Par cont’ j’y ai rencontré des super zicos (qu’on verra p’têt’ un jour par cheu nous… ? Mais chûûût…)
Alors, çà y est : t’as trouvé ? Eh oui, Venise (toujours en Italie, s’pas, Mr Reggiani ) T’vois quand t veux ! Et quand j’pense que j’suis rev’nu rien que pour toi ! Meeuuuh nan, j’déconne : j’suis là pasque, la vie d’ici, elle est pas mal non plus… et que j’ai rapporté un peu du soleil de là-bas aussi. (Tu pourrais dire merci, quand même !)
Bon, c’est pas tout çà : 'core près d’un millier de photos qu’i’ va falloir trier ! A 8 Még la bestiole, çà fait de la surface à couvrir, mes gueux ! Mais je m’demande si j’vais pas tout virer : les plus belles sont là, dans la caboche, bien à l’abri dans le tiroir de gauche, là où c’est qu’on range tout ce qu’on veut (et peut) pas oublier. En plus, dans c’te case, çà a plutôt tendance à embellir… avec le temps…
Bon, j’y r’tourne, tiens…
Allez… zibous à tous zétoutes et a’c des bulles et sans zhââlkhol (… comme j'dis ! Timanto… )
* c’est qui, "les principaux" ? Devine… (Hé, j’vais pas fout’ encore la chienlit su’ l’Calva, nan ?… )
** gen : nom masculin singulier, plus connu par son pluriel "les gens" (NDT : ne pas confondre avec son faux ami : la gent (et non "l’agent", ni surtout "la gente", et encore moins "la jante" ) Bon, là, j’ai écrit le gen, par, comment qu’on dit ? licence poétique. Oui, c’est çà. (Ch’uis très licencieux, par moments. Tiens, m’est même arrivé d’êt’ licencié… La fac laisse des traces.
)
NB : géne : femelle du précédent, qui ne fait pas de pluriel (Donc à ne pas confondre avec "les gènes", où il y a du de plaisir, ni avec "la gêne", où il n’y en a pas ! )
Et tu veux qu’j’te dise ? Ben, fut un temps où v’m’avez pas trop manqué ! (sauf les principaux*, bi seûr…
) J’avais même oublié qu’AF existait ! Ben oui, entr’aut’, j’sus t’été vacancer un peu dans un pays où tu devrais emmener madame, pour autant qu’t’aies encore un miot d’affection pour elle. J’te jure que çà vaut vraiment le coup (Eeuuh, j’te cause du voyage, hein. Madame, je sais pas !
)C’tait zoù ? Un patelin plein d’eau, où c’est qu’i’ causent un français bizarre plein de terminaisons z’en i, o, a, a’c accent tonique sur l’avant-dernière syllabe et où les muets sont des manchots ! Ouais, m’sieu, un patelin plein d’eau… mais pas dessus, comme chez nous ! Non, que dessous, plein, plein, partout, et à pas moins de 23° ! ‘Reusement : imagine un peu, en cas de sécheresse bingladéchienne, la g….. des rameurs a’c leur godille plantée dans la vase, le canotier de traviole, et le "soléééé-miiiio" coincé dans la gargane ? Et dans l’au-dessus, et tout autour, çà tapait le 28° à l’omb’, minimum syndical garanti, avec le mahomet qui te faire cuire les peaux (les jeunes et les vieilles) tout doucettement, sans faire de cloques… Que le soir à l’hôtel c’est enduction de pommade espéciale sur tout le corps, que, si tu vois c’que j’veux dire, çà se termine par une séance que la plus élémentaire décence m’empêche de vous décrire ici ! (Ben quoi, paraît qu’c’est la ville des zamoureux !… Je confirme : y’en a !)
Bon, ben… comment dire çà ? Sérieusement, à part ces considérations basiquement personnelles, chaque lieu est un régal pour les yeux, la tête, le cœur… mais pas pour les pieds ! Ben oui, on a beau savoir nager, le bateau a beau remplacer le bus, le taxi, le métral, le pousse-pousse, etc, les hescursions efficaces, çà s’fait plutôt pédestrement, que je sache ! Eh oui, même là !
Donc, là, partout où tu tournes le regard, ben c’est bô ! La ville est bô, le ciel est bô, l’eau est bô, le soleil est bô, la muzic est bô, la lumière est bô, le gen ** est bô … Eh oui ! Tout cà te chante dans les oreilles et dans le cœur. "Rââââhhhh, que c’est bôhoho…" Et pis, pas que tout çà est bô, hein ! Les gisquettes aussi, de 17 à 77 ans, que des canons, j’te jure. Que quand tu vois un boudin, l’est même pas du coin ! (J’en ai même vu-et-entendu un paquet, originaire de notre doulce France… que quand elles ouvraient leur boîte à chine-gomme, j’avais un chouïa honte de causer la même langue. Même plus bas. Ben si !)
Comment ? T’vois pas ousque j’étais ? Allez j’te souffle encore un peu : y’a un festival qui s’y déroule là, main’nant, ‘ach’ment connu dans le monde mondial du kinos : t’aurais qu’à voir les yôôtes qui z’arrivaient pas loin des gondoles ! (Damned, j’l’ai dit !) J’sus même t’été z’au Lido… mais j’ai pas vu les danseuses ! Même le lion a’c ses ailes, j’ai pas pu l’voir tant qu’i’ y’avait du trèpe en ville ! Just' sa statue... C’est dire ! Par cont’ j’y ai rencontré des super zicos (qu’on verra p’têt’ un jour par cheu nous… ? Mais chûûût…)
Alors, çà y est : t’as trouvé ? Eh oui, Venise (toujours en Italie, s’pas, Mr Reggiani
) T’vois quand t veux ! Et quand j’pense que j’suis rev’nu rien que pour toi ! Meeuuuh nan, j’déconne : j’suis là pasque, la vie d’ici, elle est pas mal non plus… et que j’ai rapporté un peu du soleil de là-bas aussi. (Tu pourrais dire merci, quand même !)Bon, c’est pas tout çà : 'core près d’un millier de photos qu’i’ va falloir trier ! A 8 Még la bestiole, çà fait de la surface à couvrir, mes gueux ! Mais je m’demande si j’vais pas tout virer : les plus belles sont là, dans la caboche, bien à l’abri dans le tiroir de gauche, là où c’est qu’on range tout ce qu’on veut (et peut) pas oublier. En plus, dans c’te case, çà a plutôt tendance à embellir… avec le temps…
Bon, j’y r’tourne, tiens…
Allez… zibous à tous zétoutes et
a’c des bulles et sans zhââlkhol (… comme j'dis ! Timanto… )* c’est qui, "les principaux" ? Devine… (Hé, j’vais pas fout’ encore la chienlit su’ l’Calva, nan ?… )
** gen : nom masculin singulier, plus connu par son pluriel "les gens" (NDT : ne pas confondre avec son faux ami : la gent (et non "l’agent", ni surtout "la gente", et encore moins "la jante" ) Bon, là, j’ai écrit le gen, par, comment qu’on dit ? licence poétique. Oui, c’est çà. (Ch’uis très licencieux, par moments. Tiens, m’est même arrivé d’êt’ licencié… La fac laisse des traces.
) NB : géne : femelle du précédent, qui ne fait pas de pluriel (Donc à ne pas confondre avec "les gènes", où il y a du de plaisir, ni avec "la gêne", où il n’y en a pas ! )
Hors sujet : J’promets rien, mais j’essaierais bien de me faire payer un coup de Dom Pérignon (ou assis milier), su’ la foire de camp (quand ? Caen…) au même moment que Jordan et Sax’… ? J’cré bi que mââme aimerait visiter la x’position…
Cicero dixit : Nascuntur poeta, fuit oratore... Et toc !
Cicéro
643
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 19 ans
Long, isn't it ? Tant pis pour vous... Cicero is back ! Cicero dixit : Nascuntur poeta, fuit oratore... Et toc !
Anonyme
2947
C'est le grand retour alors !
vetjc
3463
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Pour le don périlleux, repasser tu feras... mais pour une Veuve cliquot ponsardin... venir tu tenteras... Le mardi soir je propose pour celà...
voilà kiss prend pour Yoda m't'nant...
voilà kiss prend pour Yoda m't'nant...
« Je crois qu’il faut que vous arrêtiez d’essayer de dire des trucs » Roi Arthur ou Dr Doolittle... au choix...
Anonyme
487
les calvanisés;) ça fait du bien de vous revoir!!!
écorce de quiquina'n orange amère it's goodsaxobar
1826
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Citation : Pour le don périlleux, repasser tu feras... mais pour une Veuve cliquot ponsardin... venir tu tenteras... Le mardi soir je propose pour celà...
alors Jordan kess keu tanpance
*6/0 ouk tan nez
Sex'aphone
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