Difficile tellement les artistes du synthé sont nombreux. Mais le déclencheur pour moi, ado à l'époque, c'est Jarre. Déjà sur la chanson de Juvet "Où sont les femmes", puis Oxygène. Ensuite, la découverte de Mike Oldfield et surtout Vangelis, le maître. Mais l'amour du son, et le modifier, le triturer, c'est un apprentissage permanent. Peter Gabriel, Depeche Mode, et d'autres passés plus inaperçu comme Didier Marouani, tous nous ont transmis cette passion synthétique. Il y a encore beaucoup à faire, à découvrir. Et ça fait plaisir de constater que je ne suis pas tout seul.
Mes premier émois musicaux ont été provoqués par J-M Jarre et Vangelis parce que mes parents avaient des cassettes originales que j'écoutais en boucle sur mon premier radio-cassette à moi.