Sujet Niveaux analogiques / numeriques, quelle est la meilleure solution?
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Berberber
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rroland
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kaos2323
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Un peu de theorie pour etayer les dires de rroland:
Un signal numerique 16 bits dispose d'une dynamique theorique de...96db (theorique!).
Un signal numerique de 24 bits dispose d'une dynamique theorique de...144db.
Donc on en deduit que pour un bit de quantification on a une variation possible de...6db.
Donc si j'enregistre en 16 bits avec un niveau de -12dbfs je quantifie sur?... 14Bits! Aie je me rapproche de la qualité sonore d'un S950 Akai de 1984!
En analogique on a tendance a essayer d'augmenter la qualité en travaillant sur les capacitées a 'encaisser' des signaux elevés ('hautes' tensions electriques). Pour ceci on essaie de faire en sorte d'avoir des machines dont les etages d'entrée sont capable de supporter des niveaux elevés: dans certains cas et pour des machines de mastering par exemple jusqu'a 32dbu!
Car un analogique le 'plafond' qu'on ne peut depasser est determiné par le niveau de bruit de fond (de la bande magnetique ou 'le bruit de johnson' pour les autres machines analogiques - c'est le bruit qui resulte du frottement des electrons entre eux lors de leurs deplacements au sein d'un circuit).
En numerique le plafond qu'on ne peut depasser est inverse: c'est le 0dbfs le maximum admissible par le convertisseur (la tension electrique la plus elevée que le convertisseur est capable de coder).
Donc a va essayer d'augmenter la capacité dynamique a l'inverse: en augmentant le nombre de palliers pour coder les nuances de 'faible' niveau.
Donc le fait de passer en 24 bits nous permet d'avoir des palliers de codages plus 'fins' (precis) lorsque l'on travaille sur des signaux faibles.
Ayants beaucoups plus de palliers de codages en 24bits (en 16bits environ 65000 possibilité de pallier; en 24 bits plus de 2millions de palliers...) on peut alors se permettre de moduler un petit peu moins fort en entrant sur le convertisseur car on ne perdra pas (trop) de qualité au passage et par la meme occasion on gagne un peu de 'marge de securité' (headroom) au cas ou un peak viendrai a apparaitre risquant de saturer l'entrée du convertisseur...
Perso je trouve que la normalisation est une saloperie (sauf pour les ingés de mastering, mais la c'est une autre histoire...) a eviter: si on a a l'utiliser c'est que les gains (en analogiques) étaient mal fait lors de la prise.
Un signal numerique 16 bits dispose d'une dynamique theorique de...96db (theorique!).
Un signal numerique de 24 bits dispose d'une dynamique theorique de...144db.
Donc on en deduit que pour un bit de quantification on a une variation possible de...6db.
Donc si j'enregistre en 16 bits avec un niveau de -12dbfs je quantifie sur?... 14Bits! Aie je me rapproche de la qualité sonore d'un S950 Akai de 1984!
En analogique on a tendance a essayer d'augmenter la qualité en travaillant sur les capacitées a 'encaisser' des signaux elevés ('hautes' tensions electriques). Pour ceci on essaie de faire en sorte d'avoir des machines dont les etages d'entrée sont capable de supporter des niveaux elevés: dans certains cas et pour des machines de mastering par exemple jusqu'a 32dbu!
Car un analogique le 'plafond' qu'on ne peut depasser est determiné par le niveau de bruit de fond (de la bande magnetique ou 'le bruit de johnson' pour les autres machines analogiques - c'est le bruit qui resulte du frottement des electrons entre eux lors de leurs deplacements au sein d'un circuit).
En numerique le plafond qu'on ne peut depasser est inverse: c'est le 0dbfs le maximum admissible par le convertisseur (la tension electrique la plus elevée que le convertisseur est capable de coder).
Donc a va essayer d'augmenter la capacité dynamique a l'inverse: en augmentant le nombre de palliers pour coder les nuances de 'faible' niveau.
Donc le fait de passer en 24 bits nous permet d'avoir des palliers de codages plus 'fins' (precis) lorsque l'on travaille sur des signaux faibles.
Ayants beaucoups plus de palliers de codages en 24bits (en 16bits environ 65000 possibilité de pallier; en 24 bits plus de 2millions de palliers...) on peut alors se permettre de moduler un petit peu moins fort en entrant sur le convertisseur car on ne perdra pas (trop) de qualité au passage et par la meme occasion on gagne un peu de 'marge de securité' (headroom) au cas ou un peak viendrai a apparaitre risquant de saturer l'entrée du convertisseur...
Perso je trouve que la normalisation est une saloperie (sauf pour les ingés de mastering, mais la c'est une autre histoire...) a eviter: si on a a l'utiliser c'est que les gains (en analogiques) étaient mal fait lors de la prise.
Berberber
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rroland
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Citation : Perso je trouve que la normalisation est une saloperie
Nous sommes deux alors !Rroland www.studiolair.be
kaos2323
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