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réactions au dossier Distribution numérique ou la grande nébuleuse

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Sujet de la discussion Distribution numérique ou la grande nébuleuse
Pour vendre du digital, il faut justifier d’une légitimité sur le terrain ! Voilà ce que déclare Vincent Villuis, co-dirigeant du label Ultimae, qui a décroché plusieurs tops au classement des ventes de musiques électroniques sur iTunes, eMusic et bien sûr beatport. Label, c’est une chose, mais comment un petit auto-producteur peut-il espérer se faire connaître et gagner une rémunération sur ses enregistrements via l’exposition Internet ? Et bien, tout simplement en s’adressant à des acteurs dont le cœur de métier vise essentiellement les 99% d’artistes qui se voient refoulés par les majors. Si les offres sont pléthoriques et multiplient les belles promesses, le succès n’est pas à la portée de tous, ce qui nous laisse penser que le digital n’est que le reflet du monde physique. Pour la plupart des artistes, la réalité sera au moins de récupérer les frais qu’ils ont avancés lorsqu’ils désirent vendre leurs œuvres sur les plateformes, processus qui se fait généralement après avoir signé avec un distributeur numérique.

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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
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31

Le papier est intéressant, mais à plusieurs reprises, il est question de la SACEM comme si c'était le passage obligé. Pourtant, en France, le passage par la case SACEM n'est pas une fatalité obligation.

Peut-on avoir des précisions sur ce cas de figure?

 

Pour la pédagogie virtuelle, contre l'assistanat numérique... ;-)

-Espace-Cubase.org

[ Dernière édition du message le 17/12/2011 à 16:28:19 ]

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Le passage Sacem n'est pas obligatoire pour l'auteur qui ne veut pas y adhérer mais il est obligatoire pour le diffuseur qui paye des droits. Le pire , et ça m'a valu des prises de tête avec mon diffuseur Internet, c'est qu'il lui faut payer même pour des auteurs qui ne sont pas à la Sacem .
D'après ce que j'ai compris il y a une sorte de forfait Sacem basé sur le nombre d'écoutes et le nombre de ventes. Trop compliqué d'extraire ceux qui ne sont pas à la Sacem quand il y a plusieurs milliers de titres dans le catalogue.
Résultats : je ne suis pas à la Sacem mais les deux sites où je vends, Itunes et 121musicstore, payent la Sacem qui encaisse et ne reverse pas.
Ca doit être ça la jungle numérique.....
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"ALAC (format non-propriétaire et équivalent à l’AAC)" !!

L'ALAC, ou "Apple Loosless Audio Codec" n'a rien à voir avec l'AAC. Un morceau converti en ALAC n'a subi aucune compression. La qualité sonore est donc comparable à celle du FLAC, mais pas à l'AAC !

Ça fait un peu tâche dans un article traitant de la distribution numérique...
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La seule vraie question est: "Peut-on vendre sa musique lorsque l'on n'a pas d'agent artistique pour en faire la promo?"
Tout le monde n'a pas les moyens de se payer un "Besnéard"... Donc, internet, tout comme le réseau plus classique, impose d'avoir une stratégie marketing. Le seul moyen de vraiment percevoir (Souvent bien difficilement...) des revenus avec son œuvre est la scène...
Autrefois, le support audio était un outil de promotion scénique et depuis les années 50, l'utilisation du disque a été détournée pour générer des dividendes... D'un point de vue "philosophique", doit-on réellement chercher à vendre un support audio d'une œuvre ou, au contraire, doit-on promouvoir ladite œuvre au moyen d'un support audio?
Je pense que le problème réside dans l'objectif de départ...

http://www.sylvainsaid.info

35
Citation :
Ça fait un peu tâche dans un article traitant de la distribution numérique...


Qu'est ce que c'est usant de ce genre de petite phrase insidieuse, nulle et qui n'apporte aucune eau au moulin :roll:

ALAC étant la version sans perte ni compression d'AAC, on peut imaginer que c'est de la "vulgarisation" non ?

One Breath III : WBBTMR - One Breath III

"Bunt Magnet strums the strings of nostalgia and sarcasm with equal flair.". Bah quoi ? Y a pas mort d'homme hein...

36
Citation :
ALAC étant la version sans perte ni compression d'AAC, on peut imaginer que c'est de la "vulgarisation" non ?


Sans vouloir en rajouter, l'Alac n'a rien à voir avec l'AAC.
L'Alac est un format propriétaire de compression sans pertes développé par Apple.
À noter qu'il a été rendu accessible à tous (Open Source) sous licence Apache depuis le mois d'octobre 2011.
L'AAC est un format de compression avec pertes développé par Fraunhofer, et choisi par Apple pour iTunes (et qui est au cœur de son "eco-système" audio).

Et "vulgarisation" ne veut pas dire "imprécision" ou "raccourci erroné", c'est même tout le contraire.

[ Dernière édition du message le 19/12/2011 à 00:37:13 ]

37

Flag

Sans musique, la vie serait une erreur. (F. Nietzsche)

Matos à vendre

38


Bis


 

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la vente physique des CD permet un meilleur controle sur le business du musicien auto-producteur que la vente numérique ( même à petite quantité c'est mieux je trouve )

le digital c'est la foire à la saucisse tout le monde bouffe sur ta gueule et t'a le controle de rien du tout . et la sacem ah ah ah ah ah ah laisse moi rire il te reverse rien:mdr:

le système traditionnel est reste à mon avis la meilleur solution et ce même sur des quantité ridicule du genre 500 ou 1000 ex , au moins tu sais à qui te deale tes sons et t'a un controle sur le pognon que tu fait dessus
40
bonjour

pouvez vous m expliquer

peut on rejoindre tous ces distributeurs numerique en meme temps ou doit on choisir entre l un ou l autre a cause de x droit de la plateforme sur l oeuvre déposée ?
et a t on le droit en parallèle de continuer a ce diffuser sur notre site perso et sur des sites de podcast tel souncloud et youtube de manières gratuite et indépendante ?

merci de m éclairer sur ce point

garde la pèche banane !