Sujet A bas le commercial ! quesqu'il vous branche la dedans ?
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Agentcarotte
25217
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
Toilb> tu ne m'as pas vexé. Je parlais à Dixjoncte, en effet.
Le genre de réflexions qu'il fait est purement puéril.
Il croit s'ecarter des phenomenes de modes etc alors qu'il ne fait que participer à un autre.
On aime une musique ou on aime pas. Le côté péjoratif du mot commercial est lié
au fait qu'un morceau sera créé pour plaire, (ce qui est... normal) au détriment des goûts personnels de son initiateur.(là par contre... faut voir) Et même si le but est purement cynique, si cela nous parle, quel est le probleme?
C'est de la coui**e ses raisonnements.
Surtout lorsque l'on mélange succes public et qualité. Il n'existe absolument aucun rapport entre ses deux notions autre que celui que l'on veut voir.
Définir la qualité d'un morceau tient déjà de l'impossible. Sauf pour des notions techniques qui n'auront pas pour autant un impact obligatoire sur affect.
Quand à l'argument de la redondance des rythmiques de chaque style, c'est doublement con.
D'une part, le rythme ne fait pas le morceau, ce n'est qu'un element.
D'autre part, la musique fetiche de ce cher dixjoncté est soumise aux mêmes principes. A moins qu'il ait trouvé une musique electronique qui ne se repete jamais plus que sur deux mesures. Qui passe du binaire au ternaire etc...
Son argument des paroles est completement débile vu que c'est une fois de plus un ingredient, un instrument, que l'on ecoute pour son signifiant ou juste comme atout mélodique. Bref, on y prend ce que l'on veut.
Si avoir des paroles est un signe de redondance et de compromis, choisir de ne pas en mettre est egalement la même chose. C'est choisir de s'enfermer egalement.
J'aime les gens qui croient avoir fait les bons choix, que se croient marginaux. Et surtout, qui croient que leurs choix excluent la satisfaction de leur ego et la considération exterieure.
Le genre de réflexions qu'il fait est purement puéril.
Il croit s'ecarter des phenomenes de modes etc alors qu'il ne fait que participer à un autre.
On aime une musique ou on aime pas. Le côté péjoratif du mot commercial est lié
au fait qu'un morceau sera créé pour plaire, (ce qui est... normal) au détriment des goûts personnels de son initiateur.(là par contre... faut voir) Et même si le but est purement cynique, si cela nous parle, quel est le probleme?
C'est de la coui**e ses raisonnements.
Surtout lorsque l'on mélange succes public et qualité. Il n'existe absolument aucun rapport entre ses deux notions autre que celui que l'on veut voir.
Définir la qualité d'un morceau tient déjà de l'impossible. Sauf pour des notions techniques qui n'auront pas pour autant un impact obligatoire sur affect.
Quand à l'argument de la redondance des rythmiques de chaque style, c'est doublement con.
D'une part, le rythme ne fait pas le morceau, ce n'est qu'un element.
D'autre part, la musique fetiche de ce cher dixjoncté est soumise aux mêmes principes. A moins qu'il ait trouvé une musique electronique qui ne se repete jamais plus que sur deux mesures. Qui passe du binaire au ternaire etc...
Son argument des paroles est completement débile vu que c'est une fois de plus un ingredient, un instrument, que l'on ecoute pour son signifiant ou juste comme atout mélodique. Bref, on y prend ce que l'on veut.
Si avoir des paroles est un signe de redondance et de compromis, choisir de ne pas en mettre est egalement la même chose. C'est choisir de s'enfermer egalement.
J'aime les gens qui croient avoir fait les bons choix, que se croient marginaux. Et surtout, qui croient que leurs choix excluent la satisfaction de leur ego et la considération exterieure.
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