Sujet Jean michel jarre grillé/cramé/t'a les boules, t'a les glandes, t'a les crottes de nez qui pendent
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Anonyme
voila souvent sur ce forum on lit que jean michel jarre utilise des presets de ses synthé, il a recommencé...
http://fr.youtube.com/watch?v=MvkctnoQK7o
http://fr.youtube.com/watch?v=TR5CwqwjxXE&mode=related&search=
dommage de la part de qq comme jarre, il aurait dut rester dans la musique concrete (quoique...)
Anonyme
Anonyme
jmj n'apparait nul part...
fa-mex
Cross angel
Baruche
Bravo les amis d'avoir réagi.
Anonyme
Anonyme
Hors sujet : ola comment tu parle de timbaland... t'a entendu ce qu'il a fait avec missy elliot?
Vincent tim
mais le debat n'est pas là.se servir de presets d'une mc et pretendre mettre en avant son "genie createur", c'est en effet un manque d'honnetete. de tt façons le bruel a bien gagne en son temps des millions de bournoufs avec une reprise d'une baloche des annees 30..
Anonyme
je vous laisse lire ca il a quand meme pas fait que de la musique à 2 balles, il a fait de vrais etudes, et un vrai parcour...m'enfin tout est relatif...
pierre schaeffer n'a jamais joué place du trocadero...
en tous cas lisez c'est interessant:
citation de wikipedia
Citation :
Enfance et adolescence [modifier]
Jean-Michel André Jarre naît le 24 août 1948 à Lyon, quartier de la Croix Rousse, fils de Maurice Jarre (compositeur de musiques de films) et de Francette Pejot (ancienne résistante) dans une famille de musiciens. Il est influencé dès son plus jeune âge par son grand-père musicien et bricoleur, inventeur de la première table de mixage pour la radio française, et commence le piano à 5 ans, en 1953. C'est cette année là que ses parents se séparent : son père part définitivement pour les États-Unis, le laissant seul avec sa mère. Jean Michel se réconciliera avec son père à l'occasion de son mariage avec l'actrice Anne Parillaud en mai 2005.
Pendant son enfance puis son adolescence, il étudie la musique parallèlement à ses études : il entre au conservatoire de Paris sous la direction de Jeannine Rueff. Il développe ainsi de solides bases classiques, tout en s'intéressant également à la musique de son temps en apprenant la guitare électrique et en jouant au début des années 1960 dans plusieurs groupes de rock et de jazz, dont Mystère IV avec lequel il remporte le premier prix du Festival de Rues de Paris.
Ses débuts [modifier]
L'année 1968 marque le premier tournant de sa vie : d'un coté il termine sa licence de littérature comparée, de l'autre il rencontre Pierre Schaeffer et quitte le conservatoire pour le Groupement de Recherche Musicale (GRM), un organisme créé par Schaeffer regroupant des musiciens et des chercheurs étudiant les musiques contemporaines et expérimentales, tentant d'explorer de nouvelles voies dans la musique. Passionné par la musique électro-acoustique, il se révèle vite habile à la manipulation de magnétophones et de bandes magnétiques, élaborant déjà des esquisses de compositions.
En 1969 il compose ses premiers morceaux de musique électro-acoustique : d'abord une pièce électro-acoustique pour la maison de la culture de Reims : Happiness is a sad song, puis Erosmachine et La Cage. Celui-ci sort en vinyle à quelques exemplaires en 1971, alors qu'il vient de quitter le GRM l'année précédente, en désaccord avec l'esprit du groupe. C'est également en 1971 que Jean Michel Jarre crée pour la première fois de sa vie l'évènement : jouissant grâce au GRM d'une certaine notoriété de compositeur, il se voit confier la composition de la partition du ballet AOR pour l'inauguration du nouveau plafond de l'Opéra de Paris, devenant le plus jeune musicien à jouer en live dans cette salle mythique, et introduisant ainsi pour la première fois la musique électro-acoustique à l'Opéra de Paris.
Il travaille dès lors de façon indépendante. En 1972 il rencontre Francis Dreyfus et, outre la musique électronique, il compose pour le cinéma ou la chanson : il signe la bande originale du film Les Granges Brûlées de Jean Chapot, en parallèle avec la sortie de son deuxième album Deserted Palace, album très expérimental.
Dans les années 1970, Jean Michel Jarre vit une période intense de producteur, compositeur et parolier, et est à l'origine de plusieurs tubes : Les Mots Bleus puis Señorita pour Christophe, Que vas-tu faire ? pour Françoise Hardy en 1973, La Fille que j'aime ainsi que La Belle et la Bête pour Gérard Lenorman en 1975, et Où sont les femmes pour Patrick Juvet en 1977. En 1974 il rencontre Michel Geiss qui deviendra un ami et l'aidera dans la suite de sa carrière.
Sa carrière [modifier]
L'année 1976 marque le début de la carrière de Jean Michel Jarre telle qu'on la connaît aujourd'hui. En août, il se lance dans l'enregistrement d'un album concept : Oxygène. Il y développe un voyage musical d'une quarantaine de minutes, séparé en 6 mouvements. Il y utilise des synthétiseurs analogiques de l'époque avec une grande fluidité et sensibilité qui rompent radicalement avec le style froid et technique de Kraftwerk par exemple. L'album sort en novembre, et devient très vite un phénomène international tant son succès est foudroyant et exceptionnel. Dans le monde entier, le célèbre thème d’Oxygene envahit les premières places des ventes et des hit-parades. Il reste d'ailleurs à ce jour un succès sans équivalent aussi bien pour Jean-Michel Jarre que pour la production discographique française. Jean Michel reçoit à cette occasion le Grand Prix du Disque de l'Académie Charles Cros. C'est également en 1976 que naît Émilie, son premier enfant.
En 1977, il est nommé Personnalité de l'Année par le magazine américain People. Polydor achète les droits de distribution de ses œuvres dans le monde entier.
Durant l'année 1978, il épouse le 7 octobre l'actrice britannique Charlotte Rampling ; la même année naît leur fils David. Sur le plan professionnel, il entame en janvier l'enregistrement de l'album Equinoxe, composé en 18 mois et qui sort en novembre. Celui-ci confirme le succès d'Oxygène. Il ne néglige pas pour autant son travail pour le cinéma puisqu'il signe la bande originale du film La Maladie de Hambourg de Peter Fleischmann.
Si l'année 1976 a révélé Jean Michel Jarre en tant que compositeur de musique électronique, l'année 1979 le révèle en tant que showman : pour le 14 juillet, il organise son Concert gratuit place de la Concorde à Paris qui attire un million de spectateurs, sans compter les téléspectateurs puisque le concert est diffusé en Eurovision. Il entre pour l'évènement dans le Guinness Book, tout en inaugurant le concept du méga-concert qui deviendra sa signature : un spectacle total, mêlant musique, jeux de lumières, lasers et projections géantes. Il reçoit la médaille d'or de la SACEM pour sa contribution à la diffusion de la culture française dans le monde.
Ses albums et événements [modifier]
En juin 1981, il sort Les Chants Magnétiques, premier album dans lequel est utilisé le Fairlight CMI (premier synthétiseur échantillonneur digital). La même année s'achèvent deux années de négociations lui permettant d'être le premier occidental à jouer en Chine depuis la mort de Mao Zedong. Il décolle le 15 octobre de Paris pour une série de 5 méga-concerts à Pékin et Shanghai. Le public chinois est conquis, et Jean Michel Jarre devient membre honoraire du conservatoire de musique de Beijing. Il repart de Chine avec un side-car, le seul à avoir été autorisé par le gouvernement à être exporté. Son succès ne s'atténuera jamais jusqu'aujourd'hui dans ce pays.
En 1982, le double album : Les Concerts en Chine est l'écho de cette tournée.
En 1983, Jean Michel Jarre compose une musique d'ambiance pour une exposition d'art moderne sur les supermarchés, qu'il décide par la suite de vendre aux enchères : Musique pour Supermarché, un album fabriqué à un seul exemplaire (la matrice de fabrication est détruite sous contrôle d'huissier), est vendu le 6 juillet 1983 à l'Hôtel Drouot à Paris. Il entre une nouvelle fois dans le Guinness Book pour l'album le plus cher du monde : 69 000 francs, argent destiné à aider les jeunes artistes. L'idée est de créer un disque unique, de la même manière qu'une œuvre d'art, mais certains y voient aussi une attaque contre l'industrie discographique en général. En novembre de la même année, il publie une compilation intitulée The Essential.
En novembre 1984, il sort l'album : Zoolook. Il l'enregistre à New-York avec Marcus Miller, Laurie Anderson, Yogi Horton et Adrian Belew après avoir parcouru le monde pendant 18 mois pour enregistrer des voix dans de multiples langues et dialectes et en avoir fait une sorte de patchwork avec le Fairlight. Cet album est élu album instrumental de l'année aux USA. Jean Michel Jarre reçoit en outre une Victoire de la Musique en France pour le meilleur album de musique instrumentale et une nouvelle fois le Grand Prix du Disque de l'Académie Charles Cros.
En 1986, Jean Michel Jarre poursuit ses méga-concerts avec Rendez-Vous Houston. Il a été choisi pour participer à la célébration des 150 ans du Texas et les 25 ans de la NASA.
À cette occasion il compose avec Ronald E. McNair, astronaute américain et saxophoniste amateur, un morceau - baptisé VIIeme Rendez-vous - qui devra devenir le premier morceau joué en apesanteur, à bord de la Navette spatiale Challenger. L'explosion en vol de la navette le 28 janvier 1986 tuera malheureusement les 7 astronautes. En sa mémoire, Jean-Michel Jarre rebaptisera cette partition Pour Ron.
Il donne donc le 5 avril un son et lumières spectaculaire en plein centre de Houston devant près d'un million et demi de texans. Jean Michel Jarre reçoit pour ce concert la Victoire de la Musique du meilleur spectacle musical, tandis que le Guinness Book officialise les 1.3 millions de spectateurs. Le 5 octobre de la même année, Jean Michel Jarre revient dans sa ville natale et organise son Rendez-Vous Lyon : Concert pour le Pape, un concert en l'honneur de la venue de Jean-Paul II qui se déroule sur la colline de Fourvière, attirant 800 000 spectateurs.
Son nouvel album : Rendez-vous, est enregistré en 2 mois, et reflète le gigantisme des concerts, récompensé par une Victoire de la Musique.
En 1987, il sort l'album Houston-Lyon/villes en concert qui retrace ces deux concerts. Pour ses 10 ans de carrière, [Polygram] sort une discographie complète : 10ème Anniversaire. Une biographie est publiée par Jean Rémilleux, et Jean Michel Jarre est élu Citoyen d'Honneur de la ville de Lyon.
En 1988, Jean Michel Jarre sort Révolutions, un album ethnique rappelant Zoolook, qui mêle voix (issues principalement de la culture musulmane) et sons électroniques. Les 8 et 9 octobre, il donne un concert sur les docks de Londres : Destination Docklands dans des conditions météorologiques désastreuses, mais tire partie des circonstances en donnant aux 1 million de spectateurs (dont la princesse de Galles) deux concerts mémorables.
En 1989 sort une compilation des morceaux joués lors du premier concert à Londres : Jarre Live.
Un projet lié au bicentenaire de la Révolution française n'aboutit pas.
Il joue London Kid pour le centenaire de la tour Eiffel.
Dreyfus sort une discographie complète : Jean Michel Jarre - Les Années Laser. Le coffret n'est disponible qu'en France.
En 1990 sort un album en l'honneur du commandant Cousteau: En attendant Cousteau, enregistré à Trinidad et utilisant les steel drums.
Onze ans après son premier méga-concert, Jean Michel Jarre revient à Paris le 14 juillet 90 pour un concert gigantesque : Concert à la Défense. Le Guinness Book officialise 2,5 millions de spectateurs, un record inégalé.
La même année, un astéroïde est baptisé « 4422 Jarre », en son honneur. [1]
En 1991, Images est une compilation dans laquelle on retrouve des morceaux joués uniquement en concert, ou très peu connus, tels Moon Machine ou Globe Trotter. Il reçoit un Video Award pour les vidéos de tous ses concerts.
En 1992, il organise d'abord une partie de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques d'hiver à Albertville. Puis il est chargé d'organiser Swatch the World, un son et lumières à Zermatt (Suisse) à l'occasion de la vente de la cent millionième montre Swatch. Le spectacle se déroule au pied des monts Matterhorn. Il part pour l'Afrique du Sud où il organise trois spectacles : Legend of the Lost City, à l'occasion de l'ouverture du complexe hôtelier La Cité Perdue. Entre temps, il essaie d'organiser un spectacle au Palais des Congrès pour aider les enfants défavorisés mais celui-ci est annulé.
En 1993, lassé par le MIDI et les synthétiseurs digitaux, il réutilise de manière notable les synthétiseurs analogiques qui firent la gloire d'Oxygène et d'Equinoxe dans son nouvel album Chronologie. Entre juillet et octobre, une tournée européenne menée dans 15 villes (de Bruxelles au Mont Saint-Michel) attire 600 000 spectateurs, le succès n'étant terni que par les embouteillages créés par les concerts. En mai de la même année, il est nommé Ambassadeur de Bonne Volonté à l'UNESCO, pour son talent à rassembler des foules de toutes cultures par la musique, et une série de concerts dans le monde entier est planifiée pour 1995 (déclarée année de la tolérance), tandis que sa musique Eldorado devient hymne de l'UNESCO.
Le 11 mars 1994, il revient en Chine pour organiser le Concert d'Inauguration du Grand Stade de Hong-Kong, pour lequel il est a été préféré à Michael Jackson ou Madonna. Il y rejoue plusieurs morceaux de ses concerts de 1981 à la demande des autorités, en offrant au public un spectacle proche de ceux de sa tournée européenne. Le 25 mai, il est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur. Il sort le 14 novembre son album Hong-Kong qui reprend des extraits de ses concerts à Hong-Kong et en Europe.
L'année 1995 est l'année de sa tournée de Concerts pour la Tolérance. Celle-ci démarre le 14 juillet à Paris sous la Tour Eiffel, lors d'un concert qui célèbre le cinquantenaire de l'UNESCO et attire 1.5 million de spectateurs, en rassemblant instruments et musiciens de culture différente. Il sort la même année l'album Jarremix qui regroupe des remixes de morceaux antérieurs.
En 1996, Jean Michel Jarre ouvre un site web en collaboration avec le ministère de la culture : Un Espace pour la Tolérance. Plusieurs projets de concerts n'aboutissent pas. En juin, il termine dans son propre studio de la région parisienne un nouvel album, mais sa sortie est reportée car il a d'autres projets de concerts. C'est cette année-là qu'il se sépare de Charlotte Rampling.
Le 18 février 1997 sort l'album : Oxygène 7-13. Il est dédié à Pierre Schaeffer, et rend hommage aux premiers synthétiseurs. Jean Michel Jarre le considère comme une suite de son premier succès, en utilisant 20 ans après les mêmes instruments que pour Oxygène. Puis il se lance dans une tournée européenne en salle : le 3 mai, Oxygène Tour débute à Toulon, avant de partir en Europe du Nord jusqu’à fin juin. Puis il revient au méga-concert en organisant le spectacle Moscou, en route vers le XXIe siècle pour célébrer les 850 ans de la ville. 500 000 personnes assistent à ce concert au pied de l'université de Moscou, mais plus de 3 millions de personnes peuvent le voir ou l'entendre des environs. Puis il reprend sa tournée en France en octobre, notamment au Zénith à Paris, mais les concerts prévus dans le reste du monde sont annulés les uns après les autres. En novembre sort la compilation The Complete Oxygene.
En avril 1998, intéressé par les nouvelles technologies et notamment le multimédia, il sort l'album : Odyssey Through 02 qui a la particularité d'être un CD-ROM. La partie audio n'est qu'un remix d’Oxygene, mais la partie multimédia est très travaillée, en collaboration avec une entreprise belge et une école multimédia française. En juillet, il organise un spectacle pour la fin de la Coupe du Monde de Football, qui attire 600 000 personnes. En fait, il s'agit d'un concert techno où ses tubes sont remixés par des DJs renommés.
Une partie de l'année 1999 est consacrée à préparer le passage à l'an 2000. Le site de Gizeh, Égypte est choisi. Le spectacle, intitulé Les 12 Rêves du Soleil, se déroule donc dans la nuit du 31 décembre 1999 au 1er janvier 2000, devant 115 000 spectateurs (dont le président égyptien Hosni Moubarak) malgré un brouillard notable.
Début 2000, il sort l'album : Metamorphoses, dont presque chaque musique est (inhabituellement) accompagnée de paroles (avec les voix de Natacha Atlas ou de Laurie Anderson par exemple). Il utilise aussi sa propre voix déformée à l'aide de synthèse vocale comme sur le morceau Gagarin. Cet album s'oppose au discours habituel du musicien qui jusqu'alors n'incluait pas de paroles à ses musiques : La musique est très subjective, elle est faite pour créer des visions et des images dans votre tête. Dès que vous commencez à définir les choses visuellement ou par des paroles, vous vous limitez presque à une image plus banale disait-il à propos de son best-of Images sorti en 1991 et choisissait ne pas mettre sa photo en couverture : Je préfère ne pas avoir ma photo sur la pochette de mes disques.
En juin 2001, il organise trois méga-concerts à Athènes sur le site de l'Acropole : Hymn to Akropolis, à l'occasion des olympiades culturelles grecques. Les profits sont reversés à une association s'occupant des enfants atteints du cancer.
En 2002, il est l'invité du Festival du Printemps de Bourges. Le 7 septembre, il donne un concert à Aalborg au Danemark dans un champ d'éoliennes. AERO est un hommage au vent. À cette occasion, ses succès sont remixés et préfigurent un nouveau style. En novembre sort l'album Sessions 2000, au style Jazz-électro.
En 2003, sortie de l'album Geometry of love, conçu pour le VIP Room, au style lounge.
En 2004, il sort Aero. Dans cet album disponible en CD+DVD, il réexplore les morceaux qui ont fait son succès (Oxygène 4, Equinoxe 4) en son digital 5.1 et enregistre également quelques inédits : Aero, Aerology… Le 10 octobre, il ouvre l'année de la France en Chine avec un concert dans la Cité interdite
Après avoir défrayé la chronique sur sa rupture avec l'actrice Isabelle Adjani, il épouse Anne Parillaud le 14 mai 2005. Le 26 août, il donne un concert à l'occasion des 25 ans de Solidarnosc, dans les chantiers navals de Gdansk, Pologne.
En 2006, le 16 décembre, il se produit à Merzouga, Maroc. Ce spectacle, intitulé Water for Life, parrainé par l'UNESCO est un cri d'alarme contre la désertification et le manque d'eau sur la planète.
Le 26 mars 2007 est sorti son album Téo & Téa qui compte 13 titres et surprend son public grâce à des sons dus à de nouveaux synthétiseurs. Il dit à propos de cet album : J'ai voulu explorer l'univers de la rencontre car l'homme a de plus en plus de solutions pour parler mais est de plus en plus seul. L'album contient un CD et un DVD 5.1., contenant le clip Téo & Téa et d'autres bonus.
Particularités [modifier]
Contexte musical [modifier]
En 1976, l'album Oxygene marque l'histoire de la reconnaissance de la musique électronique et des synthétiseurs par le grand public. La voie avait déjà été tracée par des productions comme la musique du film Orange mécanique (1972) par Walter Carlos, Tubular bells (1973) de Mike Oldfield, Albedo 0.39 (1976) de Vangelis, les recherches de Brian Eno ; mais Jean Michel Jarre obtient le succès en créant une œuvre électronique d'un accès facile, systématisant l'usage des synthétiseurs, tranchant avec les musiques industrielles de l'époque comme celle de Kraftwerk. Son succès populaire est indéniable, mais il est dénigré par les amateurs plus pointus de musique techno.
Pour ses compositions, en plus des synthétiseurs, il utilise des instruments originaux et peu utilisés comme la harpe laser (utilisée principalement pour son côté spectaculaire en concert), le Theremin, les steel drums, l'orgue de Barbarie, ou encore certains appareils fabriqués spécialement pour lui par son collaborateur et ami Michel Geiss (comme sur l'album Equinoxe).
En 2004, avec Aero, Jean Michel Jarre sort le premier album composé et réalisé en son 5.1 (Dolby Digital et DTS), développant ainsi une musique qui immerge totalement l'auditeur.
Spectacles [modifier]
Jean Michel Jarre a popularisé le concept de méga-concert, qu'il a développé en l'appelant aussi Ville en concert : un spectacle mêlant sa musique électronique avec des jeux de lumières et des effets pyrotechniques. Le site du concert tient également une grande place dans le spectacle. Jean Michel Jarre, fasciné dans son enfance par les cirques qui savaient tirer parti au mieux du site sur lequel ils s'installaient pour monter leur chapiteau, s'en inspire en « piratant » le lieu du concert. Il met en valeur les monuments par des jeux de lumière, projette des images gigantesques sur les façades des immeubles, utilise les toits des bâtiments comme base de lancement de feux d'artifices, etc. De plus, la gratuité de certains de ses concerts lui permet d'attirer des foules de plusieurs millions de personnes (il décroche trois fois le record du monde et en est l'actuel détenteur).
Sa volonté de fédérer les cultures au travers de la musique le pousse généralement à faire venir sur scène des artistes locaux, et à utiliser la plupart du temps l'orchestre symphonique local ou national pour jouer ses morceaux.
Inaugurant son concept de Ville en concert en 1979 place de la Concorde à Paris, qui attire plus d'un million de personnes, il illumine ensuite les plus grandes villes du monde : Houston, Moscou, Le Caire, Athènes, etc.
Cette idée que l'artiste doit offrir au public plus qu'un simple concert musical a été précédemment développée par les Pink Floyd dès la fin des années 60. D'autres groupes reprendront ensuite le concept de méga-concert, comme les Rolling Stones, U2 et Vangelis.
Anonyme
https://www.rolandus.com/go/mc-808/?pid=coar
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