Jean michel jarre grillé/cramé/t'a les boules, t'a les glandes, t'a les crottes de nez qui pendent

Ceux qui n'aiment pas passent leur chemin

et évitent de raconter des choses qu'ils ne connaissent pas

JMJ a eu la chance de pouvoir avoir en main des synthés plusieurs mois avant leur sortie

mon Dieu, la harpe laser utilise un preset de base du Syntex, on va tous mourir !!

Donc à tous les ados prépubères qui ne trouvent pas Jarre à leur goût [...]

Alors, ce serait un stage de deux ans, selon Wikipédia... Et, de 68 à 72 au moins, ça fait quand même 5 ans de musique concrète et électroacoustique...

Citation de Wikipedia :

Ses débuts

L'année 1968 marque le premier tournant de sa vie : d'un côté il termine sa licence de littérature comparée, de l'autre il rencontre Pierre Schaeffer et quitte le conservatoire pour le Groupe de recherches musicales (GRM), un organisme créé par Schaeffer regroupant des musiciens et des chercheurs étudiant les musiques contemporaines et expérimentales, tentant d'explorer de nouvelles voies dans la musique. Passionné par la musique électro-acoustique, il se révèle vite habile à la manipulation de magnétophones et de bandes magnétiques, élaborant déjà des esquisses de compositions.

En 1969 il compose ses premiers morceaux de musique électro-acoustique : d'abord une pièce électro-acoustique pour la maison de la culture de Reims : Happiness is a sad song, puis Erosmachine et La Cage. Celui-ci sort en vinyle à quelques exemplaires en 1971, alors qu'il vient de quitter le GRM l'année précédente, en désaccord avec l'esprit du groupe.
C'est également en 1971 que Jean Michel Jarre crée pour la première fois de sa vie l'évènement : jouissant grâce au GRM d'une certaine notoriété de compositeur, il se voit confier la composition de la partition du ballet AOR pour l'inauguration du nouveau plafond de l'Opéra de Paris, devenant le plus jeune musicien à jouer en live dans cette salle mythique, et introduisant ainsi pour la première fois la musique électro-acoustique à l'Opéra de Paris.

Il travaille dès lors de façon indépendante. En 1972 il rencontre Francis Dreyfus et, outre la musique électronique, il compose pour le cinéma ou la chanson : il signe la bande originale du film Les Granges brûlées de Jean Chapot, en parallèle avec la sortie de son deuxième album Deserted Palace, album très expérimental.

Alors, ce serait un stage de deux ans, selon Wikipédia

Par exemple, Jean-Michel Jarre, qui a suivi (partiellement) le stage du GRM, et se réclame de Schaeffer, présente ou laisse présenter comme "électroacoustique" un album au succès mondial comme "Oxygène". Chez lui, et d'autres, ce mot ne fait référence qu'à la source des sons et à leur timbre (le synthétiseur), pas à l'esthétique (sa musique est essentiellement tonale et traditionnelle, fondamentalement instrumentale).

C'est fou ce qu'on peut penser de quelqu'un quand on ne connaît pas finement son histoire

Je pensais qu'étant au grm il était tout à fait dans l'orthodoxie concrète...

[en 69-70, les gens du GRM tenaient les clés des studios et ne voulaient absolument pas que les galopins de mon espèce y pénètrenet. Je me souviens que nous avions fait faire des doubles des clés de studios pour venir travailler sur nos musiques, la nuit pendant qu'ils allaient dormir] ... ce qui le rend plutôt sympathique, non ?

sur ina.fr, il y a d'excellentes pages interactives qui détaillent des oeuvres en relation avec ces livres "portraits polychromes", elles étaient toujours difficiles à dénicher, mais là, je ne trouve vraiment plus...

Je ne dis pas que c'est bien ou mal hein, mais Oxygène, Rendez-vous, c'est plus proche de l'easy listening donc hyper tonal, que de l'atonalité ou de la musique bruitiste.

Merci de bien vouloir signaler le nouveau lien ...

Elektron: You have quite some musical background. Back in the days you studied for Pierre Schaeffer, a man that is regarded as the founding father of Musique Concrète. What impact did his teachings have on you?

JMJ: He changed my both my life and my perception of music. I studied three years for him as a part of Groupe de Recherche Musicale, or GRM. He taught me that music is not only made by notes or chords, but out of sounds. The difference between noise and a musical sound lies only in the hand or gesture of the artist or musician.

Elektron: You also studied for another legendary musician – Karl-Heinz Stockhausen. How was that?

JMJ: From Stockhausen I learned, in a modern way, about the idea of relation between time and space within music. He also passed on his knowledge about the subtleties of mixing frequencies, how to combine very raw frequencies with complex textures. You could say he told me about composition concepts. In many regards Schaeffer and Stockhausen were the opposites of each other so the combination of their teachings was invaluable.