Sujet House/Techno vos classiques oldschool!
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faya vince
Pour ma part, voici une petite selection des mes classiques chicago early days:
-Shalor-Im In Love
-Armando-Land Of Confusion
-Jerry Mc Alister-What I Do
-Jungle Wonz-The Jungle
-Joe Smooth-Promised Land
-Franckie Knuckles & Jamie Principle-On & On
on a bien ri...
sauleside
faya vince
on a bien ri...
sauleside
Sinon, j'ai glané ça ailleurs sur le net :
Citation : 600 000 personnes, record d'affluence
LEMONDE.FR | 19.09.04
Quelque 600 000 personnes selon les organisateurs, 100 000 selon la police, encouragées par le soleil radieux qui régnait sur Paris samedi après-midi, ont suivi le défilé de la Techno Parade, qui a rallié le quartier Montparnasse à la Bastille sous un déluge de décibels.
"C'est un record!", s'est félicité Brice Mourer, président de l'association organisatrice, Technopol, qui s'est dit "surpris que la préfecture de police ait annoncé le même chiffre que l'an dernier alors que les policiers et les services des Renseignements généraux présents sur site s'accordaient à constater une très nette augmentation".
L'an passé, la Techno Parade avait rassemblé 300 000 personnes selon les organisateurs, 100 000 selon la police, ce qui constituait déjà un record. Le ministre de la culture, Renaud Donnedieu de Vabres, a assisté à partir de 17 heures et durant une demi-heure au passage du défilé, au pied de l'Institut du monde arabe.
"D'aussi près, en tant que ministre, c'est la première fois que j'assiste à la Techno Parade", a souligné M. Donnedieu de Vabres, qui a assimilé sa présence à un "soutien direct" aux musiques électroniques.
"J'aime le choc des générations, des périodes, des époques et des créations", a-t-il ajouté, en référence aux Journées du Patrimoine qui se sont ouvertes samedi et ont sans doute drainé beaucoup de monde à la Techno Parade, selon les organisateurs.
Le défilé, créé en 1998 pour promouvoir les cultures électroniques, avait été ouvert à 13 heures 30 par le maire de Paris, Bertrand Delanoë, et l'ancien ministre de la culture, Jack Lang, qui avaient pris place derrière une banderole où était inscrit : "Laissez-nous danser".
"Je comprends et j'aime la musique techno", a affirmé M. Delanoë, rappelant que "la mairie de Paris dédiera en 2006 un lieu aux cultures électroniques" dans le théâtre de la Gaîté lyrique.
Pour sa part, M. Lang, qui s'est mêlé à la foule compacte au sein du cortège et a reçu d'innombrables poignées de main de la part des jeunes dont il a croisé la route, a jugé que la Techno Parade contribuait à "sortir la techno de l'excommunication" mais qu'il restait "encore des préjugés, de la peur, de l'ignorance envers les cultures électroniques et ceux qui aiment cette musique".
Le cortège était composé de trente chars sur lesquels étaient montés des "sound systems" qui passaient différents styles de musique électronique, techno, house ou trance, et parmi lesquels on remarquait particulièrement un gros "truck" américain ou, à l'inverse, un petit triporteur.
Chaque char formait une bulle sonore dans laquelle il était quasi impossible d'entendre autre chose que la musique qui sortait des grosses enceintes.
Les engins ont traîné dans leur sillage d'innombrables "teuffeurs" aux tenues colorées qui ont dansé frénétiquement au rythme des gros sons de basse distillés par les 150 DJ, soutenus par un mur de son de 300 000 watts.
Sur les trottoirs, aux terrasses des cafés ou même sur le toit des abribus, les badauds, parmi lesquels beaucoup de familles, ont regardé passer la caravane d'un oeil amusé, dans une ambiance bon enfant et sous un beau soleil.
Le défilé a emprunté la rue de Rennes, le boulevard Saint-Germain, le pont de Sully et le boulevard Henri IV avant de rallier la Bastille où il devait se disloquer vers 20 heures 00.
La Techno Parade, point d'orgue des Rendez-vous électroniques (10-19 septembre), série d'expositions, de conférences et de soirées dédiées aux musiques électroniques, devait être suivie de plusieurs soirées officielles à travers Paris.
Un teufeur peut en cacher six autres
Combien de teufeurs ? 600 000, comme l’annoncent les organisateurs, ou seulement 100 000, si l’on croit la préfecture de police ? Au lendemain de la Techno Parade, c’est le grand écart du côté des chiffres de fréquentation. Tous les habitués du rassemblement s’accordent à dire qu’ils étaient « beaucoup plus nombreux » que les années précédentes. « Même les policiers et les services des Renseignements généraux présents sur le site avaient constaté une très nette augmentation des participants », souligne Brice Mourer, président de Technopol, association organisatrice.
Créé en 1997, l’événement avait battu un premier record d’affluence l’an dernier avec 300 000 participants selon Technopol, et 100 000 selon la préfecture. En annonçant le même chiffre cette année, cette dernière provoque la colère des fans de techno et le scepticisme quant au sérieux de son comptage.
Lancé à Montparnasse par Bertrand Delanoë et Jack Lang, le cortège et sa trentaine de chars, sur lesquels officiaient 150 DJ, ont rallié la place de la Bastille, entraînant dans leur sillage, derrière une banderole proclamant « laissez-nous danser », jeunes teufeur » amateurs du genre, mais aussi badauds de tous les âges attrapés sur le trottoir ou aux terrasses de cafés. Les organisateurs estiment également qu’une partie de la foule drainée par les Journées du patrimoine a elle aussi fini par trouver place dans le cortège.
« Il faut sortir la techno de son excommunication, a insisté Jack Lang. Il reste encore des préjugés, de la peur, de l’ignorance envers les cultures électroniques et ceux qui aiment cette musique. »
20minutes - 20/09/04
Lux
y avait quand même Rolando et Tom Parris.... ca m'aurait suffit pour distiller du gin tonic on the dancefloor!!
programme :
ROLANDO (Underground Resistance, Los Hermanos, Detroit)
Rolando alias Aztec, est membre d’Underground Resistance, le mythique label de Détroit (fondé par Mad Mike et Jeff Mills). Son titre « Jaguar » restera comme l’un des rares titres techno symbole de la résistance de l’underground face aux majors. Une habileté totale en funky house, electro vibrante, la meilleure techno old school…lui procure une notoriété de tout le milieu électro. Il crée en 2002 son propre label « Los Hermanos », dont nombre de productions sont acclamées par tous, et a prouvé qu’il était l’un des meilleurs producteurs et djs de Detroit.
EAST COAST BOOGIEMEN
Djs et producteurs, Ken Christensen et Juan Zapata alias East Coast Boogiemen, originaires de Washington, forment un duo aussi puissant qu’original. Mixant avec six platines et deux tables de mixage, ilsjoue à travers et seront pour la première fois à Paris, pour un show exceptionnel. Des titres sur des labels comme Moonshine, Astralwerks ou le français Brique Rouge font de ce duo prolifique et hors du commun un catalyseur de buzz.
AGORIA (Pias, Lyon)
Influencé par le jazz comme par la musique électronique de Detroit, Agoria s’est fait remarquer par son éthique musicale pointilleuse et une recherche constante des sonorités et atmosphères de demain. Globe trotter, il promène son talent de Dj à travers le monde, du « Movement Festival » à Detroit au « I Love Techno » en passant par le « Sonar » barcelonais. Encensé par la critique et Laurent Garnier ou DJ Hell à la sortie de son maxi « la 11eme marche », son 1er LP « blossom » l’a définitivement propulsé sur le devant de la scène...
ALEXKID (F Com, Paris)
Compositeur, programmateur, remixeur et dj, Alexkid est devenu l’une des icônes du label F.communication. De Cuba à Glasgow, de la Jamaïque à Amsterdam, de Los Angeles à Paris, ses talents d’ingénieur et de musicien lui ont permis de jouer dans les clubs du monde entier et de travailler avec et pour les plus grands (l’incontournable trompettiste U.S Jon Hassell, Muriel Moreno, George Michael, Llorca…). Mint, son deuxième album (2003) impose Alexkid comme un incontournable de la scène électronique française.
TOM PARRIS (Magic Garden, Indecks, Londres)
Avec une carrière de plus de 15 ans, Tom Parris est l’un des Djs les plus respectés de la scène tech-house underground internationale. Ses collaborations avec Mr C sur Plink Plonk records, End Recording et le producteur Laurent Mauvais, sous le nom Alpha-Male, ainsi que son style de mix très personnel et « so british » lui ont permis d’être associé aux clubs et évènements les plus prestigieux, du "Tresor" de Berlin au "The End" de Londres en passant par le Space à Ibiza et… les Magic Garden.
faya vince
http://www.starballsessions.com/
on a bien ri...
sauleside
Lux....bah....hé merde, c'est ptêtr de +en+ vrai en fait...pourtant j'suis en banlieu...c encore pire
Lux
Lux
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