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Pucelle_Dabidjan
Charles ! I need some tea please !
Publié le 14/08/12 à 14:26Je ne connaissais pas ATC. Si, au mieux je savais qu'il s'agissait d'une marque d'enceinte qui faisait aussi des électroniques et que leurs créations étaient totalement has been au niveau du design. Mais le design, je m'en moque, c'est pourquoi ça ne m'a pas déranger de pousser la porte de l'importateur ATC.
Et, vous serez surpris. Mais j'ai trouvé le design pas mal du tout. En fait, le mélange des teintes de métal alliées à l'épaisseur de ce dernier est rassurante. Je ne me lasse jamais je jeter un petit oeil à l'intérieur (voir photo). Et je dois avouer que c'est bien pensé. Même si je dois constater que rien de sensationnel ne se trouve à l'intérieur, le prix corsé de 7'000 euros est...…
Et, vous serez surpris. Mais j'ai trouvé le design pas mal du tout. En fait, le mélange des teintes de métal alliées à l'épaisseur de ce dernier est rassurante. Je ne me lasse jamais je jeter un petit oeil à l'intérieur (voir photo). Et je dois avouer que c'est bien pensé. Même si je dois constater que rien de sensationnel ne se trouve à l'intérieur, le prix corsé de 7'000 euros est...…
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Je ne connaissais pas ATC. Si, au mieux je savais qu'il s'agissait d'une marque d'enceinte qui faisait aussi des électroniques et que leurs créations étaient totalement has been au niveau du design. Mais le design, je m'en moque, c'est pourquoi ça ne m'a pas déranger de pousser la porte de l'importateur ATC.
Et, vous serez surpris. Mais j'ai trouvé le design pas mal du tout. En fait, le mélange des teintes de métal alliées à l'épaisseur de ce dernier est rassurante. Je ne me lasse jamais je jeter un petit oeil à l'intérieur (voir photo). Et je dois avouer que c'est bien pensé. Même si je dois constater que rien de sensationnel ne se trouve à l'intérieur, le prix corsé de 7'000 euros est d'autant plus difficile à avaler. Idem pour l'ampli de puissance, qui est sympa, montre une belle construction devant assurer une belle disponibilité en courant, mais on a vu plus impressionnant. SI je me baisais sur ce qui se fait chez Luxman, Gamut, Mark levinson ou autres, dans la même catégorie de prix, on note une différence dans la complexité de la construction. C'est ici plus simple, plus minimaliste, et j'ai de la peine à penser que le prix est totalement justifié. Ceci n'enlève rien à la volonté, évidente, de faire un bon pré-ampli. Mais si on regarde le niveau d'exécution d'un pré-ampli exposure à 1'860 euros, comment peut-on argumenter les 5000 euros de différence ? Que dire aussi des monstrueuses SCM50, magnifiquement boisées, mais complètement "carrées" et coûtant pourtant la bagatelle de 10'000 euros ? Ou que dire des pieds d'enceinte, de provenance ATC, qui font plus penser à de bêtes supports de boites à chaussure ? Vous l'aurez compris, cette chaîne SCM n'est de loin pas un bon deal. N'hésitez donc pas à être extrêmement exigeants envers l'importateur.
La chaîne de ce test (car vous le savez, c'est toujours un ensemble que je teste), était composé des engins suivants :
Pré-ampli : ATC SCA2
Ampli puissance : ATC SPA2-150
Enceintes : ATC SCM 50 sl (les passives)
Lecteur CD : Cambridge 851-c -> via DAC Weiss DAC pour la conversion digitale vers analogique
Lecteur vinyle : Sota Sapphire sur Pré-ampli externe Tom Evans the groove
Câbles : van de hul
Pièce : habitation standard, pièce carrée de 35 m2 non traitée spécialement, mais peu de mobilier bien que rideau
Ecoute
-------------------
Bordel ! Je ne... sais pas comment tourner ça pour que quelqu'un me croit. Mais ce n'est presque pas imaginable ce que je suis entrain d'entendre là. Le disque d'introduction de cette écoute était le fameux Aftermath des Rolling stones. Un album "à l'ancienne" doté d'une foultitude de petits détails qui trainent dans l'enregistrement, mais doté d'une énergie monumentale. Cette combi ATC n'a aucun mal à la retranscrire dans toutes ses nuances. On est d'abord saisis par la largeur de spectre sonore. Comme pour mon écoute de référence, le son se décolle totalement des enceintes et on suit chaque mouvement/déplacement avec une netteté incroyable. Si je devais me permettre une critique, et minimale, c'est que la combi exposure/pmc sonne encore plus large, mais l'ATC n'est vraiment pas à la traine et se met à un deuxième rang mérité et méritant. C'est comme si je vous disais qu'une ferrari F360 est une voiture plus lente que la Ferrari Enzo... ok, mais ça n'en fait pas une voiture lente pour autant.
Idem en profondeur, si ce n'est que la SCM50 se montre plus à l'aise pour dépeindre les derniers recoins de la scène que sur mon écoute de référence. On sait où sont placés les gens, avec exactitude, et chaque instrument est rendu avec une netteté et un réalisme qui me laisse sur le cul. La voix d'ensemble n'est jamais à la traine, mais on entend tout, du jeu de chaque instrument. Peu importe son emplacement ou son intensité d'enregistrement. C'est monstrueux.
Et là, vous vous attendez donc à une écoute stressante. Remplie de détail et d'informations de champs. Eh bien non, je vous arrête tout de suite. Le seul défaut de cette combinaison de chez ATC, est de donner un petit peu de douceur sur le dernier bout de la pointe de la cymbale. Mais, justement, sur une foultitude d'enregistrements, cela donne un résultat plus arrangeant. Et ne venez pas croire que l'aigu est mauvais. J'ai lu ça, sur divers forums, mais il est juste positivement imparfait. Sur l'album de nirvana "nevermind", cela a contribué à dé-envenimer le hihat pourri de Dave Grohl. Sur un album de Boards of Canada, les aigus d'un morceau particulier qui m'avait tranché les oreilles, sont ici tout à fait écoutables sur une longue période.
Sur l'album de Mumpford & sons "sigh no more", je perçois clairement quel TYPE DE MICRO A ETE UTILISE, reconnaissant le grain d'un tel ou d'un tel micro en fonction.
La restitution des basses et des médiums est encore meilleure que sur mon écoute de référence. Même si la combi PMC/exposure ne se montrait pas du tout stressée par des percussions profondes ou des orgues. Je perçois ici plus de nuances sur l'orgue et la frappe des toms. Encore un poil plus de naturel. Ici, j'ai un retour total de réalité. Je ferme les yeux et tout est là, devant moi, je peux toucher les artistes. Peu importe leur instrument, fusse-t'il ingrat à souhait.
Petite mention spéciale pour le travail incroyable du convertisseur Weiss, qui donne tout son potentiel et parvient a créer l'illusion d'un signal analogique total. Si les enregistrements le permettent, j'ai l'impression d'entendre un signal analogique brut. Du tout grand art. Du coup, il est sérieusement à envisager. Surtout que le "transporteur de signal" est un petit Cambridge... qui parvient pourtant, grâce à ce compagnon, à surclasser l'excellent, et très cher, accoustic arts CD Player 1. Toutes mes félicitations !
L'écoute de l'album How the West was won est un autre exemple de la maestria de cet ensemble. Le grain de tous les protagonistes, les bruits de pas, le public, les grognements de basse. Tout est sous contrôle, parfaitement retranscrit jusque dans ces moindres finesses, et, pourtant, jamais stressant. Je n'ai pas cette impression de devoir me reposer après 2 heures de musique. Je peux, JE VEUX ENCORE PLUS DE MUSIQUE. Et c'est en ça que cette ATC devient excellente. Il s'agit d'un excellent compromis entre le dernier détail, et le petit peu de musicalité qui rend l'écoute agréable. Et elle touche
Ensuite, j'ai avalé tous mes albums de tests pour lui chercher... un défaut... un truc, n'importe quoi, mais mes notes d'écoutes sont impartiales :
Boards of canada : music is math
Ni plus ni moins qu'un son de studio, avec toujours cette petite pointe qui enlève le venin, sans gommer le détail et les ambiances. J'entend des micro-effets extrêmement perchés.
Boards of canada : Gyroscope
Sans aucun sub, le son qui vient des HP est identique à des coups de canons. Ca attaque le ventre, mais sans jamais être influencé d'une quelconque manière. L'auteur a très probablement voulu atteindre exactement ce résultat.
Klaus Schulze : Dune
Le mélange d'analogie et de digital est parfaitement sensbile. On sait ce qui a été joué, et ce qui vient du sampleur. Et on apprécie, du coup, la manière dont les instruments semblent se répondre.
Nada surf : The way you wear your head
Moins d'extrêmes aigus, malgré tout, dynamique de premier plan. Pas de voile devant la musique. De nouveau, j'ai pu entendre clairement le passage du téléphone qui sonne dans la cabine du preneur de son. Imperceptible sur beaucoup d'autres écoutes.
Renaud... l'intégrale
Puissance, émotion, profondeur de la pièce. J'y croit. Pas une seule seconde je pense que j'entend un enregistrement de Renaud. Renaud est là, dans cette pièce. Mon cerveau a du mal de s'y faire.
ACDC : hells bells
Magnifique. Tous les bruits du jeu d'Angus sont là. Les glissés sont reproduits avec une fidélité qui donne le tourni. La cloche est monstrueuse. On y croit, de nouveau devrais-je dire.
Conclusion
----------------
Cette combinaison ATC est monumentale sur le plan sonore. Le compromis bien touché entre fidélité absolue et une touche de musicalité donnent, au final, une installation qu'on peut écouter des heures durant sans fatigue. Les SCM50 se prêtent bien aux pièces moyennes, même difficiles et c'est une vrai point positif qu'on doit leur laisser. Je regrette simplement, un léger manque de réalisme dans la politique de prix. Mais la stabilité mécanique évidente de l'ensemble dans le temps, et surtout, le son de fou, motiveront probablement certains à payer aussi cher.
Et, vous serez surpris. Mais j'ai trouvé le design pas mal du tout. En fait, le mélange des teintes de métal alliées à l'épaisseur de ce dernier est rassurante. Je ne me lasse jamais je jeter un petit oeil à l'intérieur (voir photo). Et je dois avouer que c'est bien pensé. Même si je dois constater que rien de sensationnel ne se trouve à l'intérieur, le prix corsé de 7'000 euros est d'autant plus difficile à avaler. Idem pour l'ampli de puissance, qui est sympa, montre une belle construction devant assurer une belle disponibilité en courant, mais on a vu plus impressionnant. SI je me baisais sur ce qui se fait chez Luxman, Gamut, Mark levinson ou autres, dans la même catégorie de prix, on note une différence dans la complexité de la construction. C'est ici plus simple, plus minimaliste, et j'ai de la peine à penser que le prix est totalement justifié. Ceci n'enlève rien à la volonté, évidente, de faire un bon pré-ampli. Mais si on regarde le niveau d'exécution d'un pré-ampli exposure à 1'860 euros, comment peut-on argumenter les 5000 euros de différence ? Que dire aussi des monstrueuses SCM50, magnifiquement boisées, mais complètement "carrées" et coûtant pourtant la bagatelle de 10'000 euros ? Ou que dire des pieds d'enceinte, de provenance ATC, qui font plus penser à de bêtes supports de boites à chaussure ? Vous l'aurez compris, cette chaîne SCM n'est de loin pas un bon deal. N'hésitez donc pas à être extrêmement exigeants envers l'importateur.
La chaîne de ce test (car vous le savez, c'est toujours un ensemble que je teste), était composé des engins suivants :
Pré-ampli : ATC SCA2
Ampli puissance : ATC SPA2-150
Enceintes : ATC SCM 50 sl (les passives)
Lecteur CD : Cambridge 851-c -> via DAC Weiss DAC pour la conversion digitale vers analogique
Lecteur vinyle : Sota Sapphire sur Pré-ampli externe Tom Evans the groove
Câbles : van de hul
Pièce : habitation standard, pièce carrée de 35 m2 non traitée spécialement, mais peu de mobilier bien que rideau
Ecoute
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Bordel ! Je ne... sais pas comment tourner ça pour que quelqu'un me croit. Mais ce n'est presque pas imaginable ce que je suis entrain d'entendre là. Le disque d'introduction de cette écoute était le fameux Aftermath des Rolling stones. Un album "à l'ancienne" doté d'une foultitude de petits détails qui trainent dans l'enregistrement, mais doté d'une énergie monumentale. Cette combi ATC n'a aucun mal à la retranscrire dans toutes ses nuances. On est d'abord saisis par la largeur de spectre sonore. Comme pour mon écoute de référence, le son se décolle totalement des enceintes et on suit chaque mouvement/déplacement avec une netteté incroyable. Si je devais me permettre une critique, et minimale, c'est que la combi exposure/pmc sonne encore plus large, mais l'ATC n'est vraiment pas à la traine et se met à un deuxième rang mérité et méritant. C'est comme si je vous disais qu'une ferrari F360 est une voiture plus lente que la Ferrari Enzo... ok, mais ça n'en fait pas une voiture lente pour autant.
Idem en profondeur, si ce n'est que la SCM50 se montre plus à l'aise pour dépeindre les derniers recoins de la scène que sur mon écoute de référence. On sait où sont placés les gens, avec exactitude, et chaque instrument est rendu avec une netteté et un réalisme qui me laisse sur le cul. La voix d'ensemble n'est jamais à la traine, mais on entend tout, du jeu de chaque instrument. Peu importe son emplacement ou son intensité d'enregistrement. C'est monstrueux.
Et là, vous vous attendez donc à une écoute stressante. Remplie de détail et d'informations de champs. Eh bien non, je vous arrête tout de suite. Le seul défaut de cette combinaison de chez ATC, est de donner un petit peu de douceur sur le dernier bout de la pointe de la cymbale. Mais, justement, sur une foultitude d'enregistrements, cela donne un résultat plus arrangeant. Et ne venez pas croire que l'aigu est mauvais. J'ai lu ça, sur divers forums, mais il est juste positivement imparfait. Sur l'album de nirvana "nevermind", cela a contribué à dé-envenimer le hihat pourri de Dave Grohl. Sur un album de Boards of Canada, les aigus d'un morceau particulier qui m'avait tranché les oreilles, sont ici tout à fait écoutables sur une longue période.
Sur l'album de Mumpford & sons "sigh no more", je perçois clairement quel TYPE DE MICRO A ETE UTILISE, reconnaissant le grain d'un tel ou d'un tel micro en fonction.
La restitution des basses et des médiums est encore meilleure que sur mon écoute de référence. Même si la combi PMC/exposure ne se montrait pas du tout stressée par des percussions profondes ou des orgues. Je perçois ici plus de nuances sur l'orgue et la frappe des toms. Encore un poil plus de naturel. Ici, j'ai un retour total de réalité. Je ferme les yeux et tout est là, devant moi, je peux toucher les artistes. Peu importe leur instrument, fusse-t'il ingrat à souhait.
Petite mention spéciale pour le travail incroyable du convertisseur Weiss, qui donne tout son potentiel et parvient a créer l'illusion d'un signal analogique total. Si les enregistrements le permettent, j'ai l'impression d'entendre un signal analogique brut. Du tout grand art. Du coup, il est sérieusement à envisager. Surtout que le "transporteur de signal" est un petit Cambridge... qui parvient pourtant, grâce à ce compagnon, à surclasser l'excellent, et très cher, accoustic arts CD Player 1. Toutes mes félicitations !
L'écoute de l'album How the West was won est un autre exemple de la maestria de cet ensemble. Le grain de tous les protagonistes, les bruits de pas, le public, les grognements de basse. Tout est sous contrôle, parfaitement retranscrit jusque dans ces moindres finesses, et, pourtant, jamais stressant. Je n'ai pas cette impression de devoir me reposer après 2 heures de musique. Je peux, JE VEUX ENCORE PLUS DE MUSIQUE. Et c'est en ça que cette ATC devient excellente. Il s'agit d'un excellent compromis entre le dernier détail, et le petit peu de musicalité qui rend l'écoute agréable. Et elle touche
Ensuite, j'ai avalé tous mes albums de tests pour lui chercher... un défaut... un truc, n'importe quoi, mais mes notes d'écoutes sont impartiales :
Boards of canada : music is math
Ni plus ni moins qu'un son de studio, avec toujours cette petite pointe qui enlève le venin, sans gommer le détail et les ambiances. J'entend des micro-effets extrêmement perchés.
Boards of canada : Gyroscope
Sans aucun sub, le son qui vient des HP est identique à des coups de canons. Ca attaque le ventre, mais sans jamais être influencé d'une quelconque manière. L'auteur a très probablement voulu atteindre exactement ce résultat.
Klaus Schulze : Dune
Le mélange d'analogie et de digital est parfaitement sensbile. On sait ce qui a été joué, et ce qui vient du sampleur. Et on apprécie, du coup, la manière dont les instruments semblent se répondre.
Nada surf : The way you wear your head
Moins d'extrêmes aigus, malgré tout, dynamique de premier plan. Pas de voile devant la musique. De nouveau, j'ai pu entendre clairement le passage du téléphone qui sonne dans la cabine du preneur de son. Imperceptible sur beaucoup d'autres écoutes.
Renaud... l'intégrale
Puissance, émotion, profondeur de la pièce. J'y croit. Pas une seule seconde je pense que j'entend un enregistrement de Renaud. Renaud est là, dans cette pièce. Mon cerveau a du mal de s'y faire.
ACDC : hells bells
Magnifique. Tous les bruits du jeu d'Angus sont là. Les glissés sont reproduits avec une fidélité qui donne le tourni. La cloche est monstrueuse. On y croit, de nouveau devrais-je dire.
Conclusion
----------------
Cette combinaison ATC est monumentale sur le plan sonore. Le compromis bien touché entre fidélité absolue et une touche de musicalité donnent, au final, une installation qu'on peut écouter des heures durant sans fatigue. Les SCM50 se prêtent bien aux pièces moyennes, même difficiles et c'est une vrai point positif qu'on doit leur laisser. Je regrette simplement, un léger manque de réalisme dans la politique de prix. Mais la stabilité mécanique évidente de l'ensemble dans le temps, et surtout, le son de fou, motiveront probablement certains à payer aussi cher.
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Fiche technique
- Fabricant : ATC
- Modèle : SCA2
- Catégorie : Amplificateurs Hi-Fi
- Fiche créée le : 14/08/2012
Nous n'avons pas de fiche technique sur ce produit
mais votre aide est la bienvenue
Distribué par Funky Junk France
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Autres dénominations : sca 2