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Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)

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Sujet de la discussion Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
:8) j'ai surfer un peu ce matin sur le net pour me renseigner sur l'actualité du disque en france
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu

LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements


plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur <img src=(" />
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1491
Salut!

En imaginant qu'a moyen ou long terme, on ne vive plus du tout de la vente de disque,
que le disque soit devenu un "flyer publicitaire que l'on distribu gratuitement à la sortie des lieux publics:

Pensez-vous sincèrement que l'on pourra "vivre" correctement des concerts?

J'entends par vivre : payer son loyer, sa voiture, renouveler son matos, un ptit peu de loisir extra-musicaux (cine, resto...).... vivre normalement mais sans excés quoi!
Ou bien obliger de vivre comme un "punk-sdf" dans un bus avec ses copains zicos qui sentent la transpiration a la fin du set?

Hein?
1492

Citation : qui sentent la transpiration a la fin du set?



et la pisse au début :ptdr:
1493
Alerte travellers :mrg:
Uniformite culturelle = manipulation des masses
1494
:mdr:

Non mais sans plaisanter, je suis assez septique!
1495
Wouaf wouaf !... C'est la cas de le dire ! (c'est septique + un "c" qui veut dire dubitatif: ça s'écrit alors sceptique. Excuse, je ne me résouds pas à croire que tu l'aies fait exprès, because tu précèdes ton mot de : "sans plaisanter").
Enfin bref, ça m'aura permi... de le faire !

Non, on ne vivra plus de la vente des disques comme tu dis... Mais c'est même pas triste: qui de nous en vit correctement (comme tu dis toujours) sur AF ?
Ca peut être même une bonne nouvelle: "ils" ont enterré le métier; eh bien d'autres naitront, car la musique est un BESOIN du public.... Et là, je ne suis pas... sceptique !

A excellent entendeur; S'lut.
1496
Grace a vos reflexions on vas perdres de la libertee et ca ne saurait tarder, et je ne parle pas de pirater des mp3 mais de libertee reel sur le reseau internet :


Les chasseurs de pirates du Net se tirent dans les pattes

Deux sociétés devaient traquer les téléchargements illégaux de musique et de jeux vidéo en France... Mais l'une accuse l'autre de contrefaçon.

Par Florent LATRIVE

jeudi 15 septembre 2005 (Liberation - 06:00)




ela devait être la phase II de la traque aux copieurs de musique gratuite via les services d'échange peer-to-peer (P2P). D'ici à quelques jours, les producteurs de musique et la Sacem devaient automatiser le repérage des «pirates» de l'Internet grâce à des prestataires techniques spécialisés. Et ainsi multiplier les procès et les messages d'avertissement pour endiguer l'usage du P2P accusé de torpiller les ventes. Espoir déçu car l'affaire tourne à la farce, avec des poursuites judiciaires entre prestataires, les données personnelles de pirates présumés traitées au Canada pour échapper à la loi française. Et beaucoup de gêne du côté des producteurs...

Fichiers. Tout commence avec la volonté de la filière musicale de s'attaquer aux fans du P2P en 2004. Très vite, ils butent sur la loi informatique et libertés, qui interdit de surveiller automatiquement les réseaux, ce qui implique la constitution de fichiers d'infractions avec des données nominatives. Les producteurs déposent tout de même quelques dizaines de plaintes durant l'été 2004, mais en sont réduits à collecter les preuves à la main. Longuet et peu efficace.

Compréhensif, le gouvernement toilette la loi en août 2004. Deux firmes françaises se présentent pour automatiser la chasse, CoPeerRight Agency et AdVestigo. Le premier à se lancer est le secteur du jeu vidéo, via son syndicat professionnel, le Sell, qui signe avec CoPeerRight et obtient le nécessaire aval de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) en avril dernier. Des milliers de messages d'avertissement sont expédiés à travers les services P2P aux usagers pris en flag' de téléchargement de jeux vidéo. De leur côté, la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP) et la Sacem s'engagent avec AdVestigo et constituent un dossier pour la Cnil, dont le feu vert était attendu pour les jours à venir. Objectif : expédier des messages d'avertissement, mais aussi accumuler des preuves pour multiplier les procès contre les internautes.

C'est là que tout dérape. Avant l'été, le délégué général du Sell, Jean-Claude Larue, et le directeur général de CoPeerRight, Stéphane Michenaud, s'empaillent violemment. Le contrat est rompu et la surveillance des réseaux s'arrête. Et début juillet, CoPeerRight intente un procès à AdVestigo, à la SCPP et à la Sacem pour contrefaçon de sa technologie de chasse aux pirates : «Nous possédons un brevet sur ce qui touche à la recherche et à l'identification sur les réseaux P2P depuis 2003», justifie la responsable juridique de CoPeerRight, Deborah Signori. Qui accuse donc AdVestigo et l'industrie du disque d'avoir piraté sa technologie antipirates. AdVestigo nie, bien sûr, jugeant «peu crédibles» ces accusations.

Audit. Déjà cocasse, la situation a encore pris une tournure plus absurde ces derniers jours : tous les adhérents du Sell ont reçu un e-mail de relance commerciale de la part de CoPeerRight, avec un audit des réseaux P2P réalisé fin août, donc bien après la rupture du contrat. Objectif ? Démontrer que, depuis l'arrêt des envois de messages d'avertissement, les téléchargements gratuits de jeux vidéo seraient repartis à la hausse. Audit réalisé, précise le courrier, «via notre filiale canadienne pour nous conformer aux législations nationales». Logique : n'étant plus sous contrat avec le Sell, CoPeerRight n'a plus le droit de faire des traitements en France et a préféré le Canada, plus laxiste avec la vie privée. Est-ce à dire que la firme garderait des fichiers de pirates présumés ? «Nous n'avons gardé aucune trace et tout est rendu anonyme, affirme Deborah Signori, mais le seul fait d'explorer les réseaux nous est interdit par la loi française.»

Les producteurs de disques, qui attendaient le feu vert de la Cnil pour les jours à venir, se seraient bien passés de ces embrouilles. «Ça nous ennuie terriblement, on est pris en sandwich dans un conflit dans lequel nous n'avons aucune responsabilité, dit Marc Guez, le directeur général de la SCPP. On a l'impression que CoPeerRight est en train de s'écrouler et fait tout pour garder ses clients.» La SCPP attend les conseils d'experts juridiques pour décider de l'attitude à adopter. Les usagers du P2P ont encore gagné un sursis.




A force de casser le p2p c'est votre vie qui serat pirater maintenant c'est drole non ?
Amsterdam Vibrations
1497
Nab>'tain... t'es serieux, toi... :((( :(((

Citation : Non, on ne vivra plus de la vente des disques comme tu dis... Mais c'est même pas triste: qui de nous en vit correctement (comme tu dis toujours) sur AF ?
Ca peut être même une bonne nouvelle: "ils" ont enterré le métier; eh bien d'autres naitront, car la musique est un BESOIN du public.... Et là, je ne suis pas... sceptique



bien vu...

___________________________
https://soundcloud.com/slymooremusic

1498

Citation : Vivendi universal a triplé son benefice semestriel
le groupe de medias et de telecom releve son objectif de benefice net a plus de 1.8 milliards d'euro pour 2005
sur six mois tout les meiters ameliorent leurs resultat suaf canal + qui investit dans le recrutement d'abonnées




deja ça bon une entreprise qui marche c'est bien

mais

Citation : la branche music 52 millions d'euros pour 2004 et 142 en 2005 + 178 % de chiffre d'affaire



source la tribune de mercredi

et ils cassent les contrats des artistes et te foutent des proces au cul pour les mp3 alors qu'ils retrouvent une activité similaire a 1997 ????

alors.......ça ça m'agace qu'ils se plaignent et se retrouve avec une activité en tres nette reprise.............
Uniformite culturelle = manipulation des masses
1499

Citation : Total vient de publier ses résultats au titre du deuxième trimestre, avec un bénéfice net ajusté de 2,91 milliards d'euros




pour ça et le prix bien trop haut et ses licenciements, breton exige une baisse du prix du carburant

pour

Citation : Le groupe a dégagé entre janvier et juin un bénéfice de 1,16 milliard d'euros contre 344 millions l'an dernier (+238%), une performance qui l'amène à relever ses perspectives pour cette année.



breton fera t il baisser le prix des disques et dvd ????
Uniformite culturelle = manipulation des masses
1500