Sujet A Lire Absolument! LES MP3 SONT DANGEUREUX POUR LA SANTE
- 30 réponses
- 18 participants
- 2 493 vues
- 0 follower
Afficher le sujet de la discussion
Putain !!!
Il me semble que la réduction est quand même plus que "sensible", même en 192...
gabou gabou gabou ... je t'm bien mais on est en euro maintenant !
Yann Polar
11573
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Blue Bird
3075
Membre d’honneur
Membre depuis 22 ans
astneric
935
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
Citation : D’autres, sans s’en rendre compte, chantaient en dormant les textes des chansons qu’ils avaient écoutés dans la journée, mais à l’envers.
Putain !!!Citation : En mp3, on décide purement et simplement de les supprimer, ce qui permet une réduction très sensible de la taille des fichiers.
Il me semble que la réduction est quand même plus que "sensible", même en 192...
...mais comme je vous comprends !
Da Real Flexx
7681
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Pov Gabou
19553
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
Shamk
6586
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
Citation : les possesseurs de soundblaster et autres chaines spatiales dolby surround 87.4 à 500 francs ne bousilleraient pas plus les oreilles.
gabou gabou gabou ... je t'm bien mais on est en euro maintenant !
----------
astneric
935
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
Blue Bird
3075
Membre d’honneur
Membre depuis 22 ans
Exactement!!!!
Comme si depuis la prime enfance notre oreille serait habituée qu'à ecouter du MP3!!! C'est oublier un peu vite que le monde n'est pas que digital
Comme si depuis la prime enfance notre oreille serait habituée qu'à ecouter du MP3!!! C'est oublier un peu vite que le monde n'est pas que digital
strobo
2160
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
Assez sérieusement, ce ne serait pas complètement étonnant.
La fatigue auditive a des conséquences psychiques, ça c'est pas nouveau.
Le MP3, quel que soit le mode d'encodage, utilise la psycho acoustique, dont le but est finalement de tromper le cerveau.
c'est le même débat qui fait qu'on préfère un enregistrement sur vynil que sur CD, qu'on apprécie tant les appareils à lampes qui "réchauffent" le son . Ces sensations provoquent un bien être et une qualité d'écoute indéniable qui influent certainement sur notre comportement...
Je me souviens notamment avoir une fois écouter de la musique pendant 2h sur un système CHORD et des enceintes dont la marque m'échappe (mais entièrement faîtes mains, un peu comme des rolls). Un système sans compromis. 2 Millions de francs.
J'avais pris des CD "référence" à moi. J'en suis sorti super bien, avec un souvenir impérissable. Je n'oublierai jamais ce moment.
Je me dis que ça doit tjrs être mieux que d'écouter du mp3 mal encodé qui fatigue les oreilles et qui module sur des gamelles de PC multimédia...
La fatigue auditive a des conséquences psychiques, ça c'est pas nouveau.
Le MP3, quel que soit le mode d'encodage, utilise la psycho acoustique, dont le but est finalement de tromper le cerveau.
c'est le même débat qui fait qu'on préfère un enregistrement sur vynil que sur CD, qu'on apprécie tant les appareils à lampes qui "réchauffent" le son . Ces sensations provoquent un bien être et une qualité d'écoute indéniable qui influent certainement sur notre comportement...
Je me souviens notamment avoir une fois écouter de la musique pendant 2h sur un système CHORD et des enceintes dont la marque m'échappe (mais entièrement faîtes mains, un peu comme des rolls). Un système sans compromis. 2 Millions de francs.
J'avais pris des CD "référence" à moi. J'en suis sorti super bien, avec un souvenir impérissable. Je n'oublierai jamais ce moment.
Je me dis que ça doit tjrs être mieux que d'écouter du mp3 mal encodé qui fatigue les oreilles et qui module sur des gamelles de PC multimédia...
Ma musique : http://greentelly.bandcamp.com
Anonyme
2537
Le mp3 dangereux pour la santé mentale ?
Postée le 01/04/2003 à 08:23
C’est dans les couloirs de l’AES d’Amsterdam que nous avons appris une nouvelle qui risque de faire grand bruit. Une étude serait sur le point d’être publiée par le MIT (Massachussets Institude of Technology), sur les effets psychologiques néfastes de l’écoute de fichiers mp3.
En gros, ce document en décrirait les effets secondaires, effets pervers puisque difficiles à déceler, mais pourtant bien réels. Les chercheurs ont étudié le comportement quotidien de clients assidus des services Peer to Peer, genre Kazaa, qui n’écoutaient que de la musique téléchargée, et les ont soumis régulièrement à des batteries de tests. Ceux-ci étaient destinés à évaluer point par point tout changement dans la vie d’un individu, après écoute régulière de ces fichiers.
En parallèle, un autre échantillon de population identique n’écoutant que de la musique sur CD subissait les mêmes tests. Ce que ces chercheurs ont constaté est stupéfiant : ils ont trouvé très clairement que l’écoute des fichiers mp3 entraînait une modification du comportement, ce que bien sûr personne n’aurait pu imaginer.
Les effets constatés sont divers, mais réels. D’une part, le plaisir de l’écoute d’une chanson est diminué par l’encodage mp3, et on ressent une légère fatigue. D’autre part, sans s’en rendre compte, notre vision de la vie aurait tendance à être légèrement déformée lors de ces écoutes, avec une tendance à une certaine déprime.
De plus, notre faculté naturelle d’intuition, qui nous fait percevoir instantanément certaines informations essentielles, serait elle-même franchement abaissée par ces écoutes.
Autre problème, notre jugement artistique subirait aussi des modifications subtiles : il semblerait que certaines chansons qu’on rejetterait rapidement en les écoutant sur CD ou même à la radio, soient mieux acceptées en mp3. Surprenant…
Enfin, on a remarqué des changements de comportement assez étranges chez les accros du mp3 : certains qui avaient horreur du poisson en avaient soudain envie. D’autres, sans s’en rendre compte, chantaient en dormant les textes des chansons qu’ils avaient écoutés dans la journée, mais à l’envers.
Les chercheurs du MIT ont tenté de trouver une explication à ce phénomène assez inquiétant. L’une des hypothèses la plus crédible serait la suivante. Sachant que l’encodage en mp3 repose, comme chacun le sait, sur un traitement psycho-acoustique, du coup, il était devenu nécessaire de se pencher à nouveau sur son principe. Celui-ci consiste à considérer que dans un signal audio, certaines parties ne sont pas audibles, puisque masquées par d’autres. En mp3, on décide purement et simplement de les supprimer, ce qui permet une réduction très sensible de la taille des fichiers.
Mais la nouvelle étude soulève un doute : le fait de supprimer ces éléments serait-il à l’origine des troubles du comportement constatés ? Il semble bien que ce soit le cas. Une supposition : ces éléments enlevés par l’encodage mp3 seraient nécessaires à notre équilibre mental. Ou du moins, en étant absents, ils mettent en route un processus inconscient de recherche infructueuse, mécanisme générateur de déséquilibres.
Alors, comme pour chaque maladie découverte, des équipes ont multiplié les expériences pour tenter de trouver un traitement efficace. Bizarrement, pour le moment, ce qui semble fonctionner le mieux, c’est après avoir écouté une chanson en mp3, de la ré-écouter une dizaine de fois, mais à l’envers. Pas très agréable, mais si ça permet de retrouver un équilibre psychologique perturbé, pourquoi pas…
Petit problème technique, tout auditeur n’a pas nécessairement à portée de la main les outils logiciels pour créer ce fichier inversé. C’est pourquoi chaque encodeur de mp3 devra bientôt créer automatiquement un double fichier : un à l’endroit et le même à l’envers. Le mp3 qui était censé s’envoyer facilement sur Internet, va maintenant doubler de volume ! On aura donc à sa disposition les deux versions de la chanson. Libre à l’auditeur de n’écouter que la version à l’endroit, mais à ses risques et périls. D’ailleurs, comme les marquages obligatoires ”Dangereux pour la santé” sur les paquets de cigarettes, on envisage d’imposer l’affichage sur les lecteurs de mp3 la mention : ”Dangereux pour votre équilibre. N’oubliez pas d’écouter la version inversée”.
D’autres thérapies ont été envisagées, mais semblent un peu plus aléatoires. Par exemple, chez les grands consommateurs de mp3, on a constaté une baisse de la concentration en ions phosphore dans les neurones du cerveau (peut-être dûe à une activité plus intense d’analyse des messages encodés). On a donc conseillé une consommation abondante de poisson, riche en phosphore (mais certains fromages comme le gruyère devraient aussi donner de bons résultats), ce qui a donné des résultats encourageants. Ceci expliquerait peut-être les envies subites de poisson de ceux qui d’habitude le fuyaient. Déjà se dessine la situation idéale d’écoute des fichiers mp3 : devant son PC ou avec son lecteur portable, avec un sandwich aux rollmops, ou une boîte de sardines. Peut-être pas très élégant, mais rassurant, et plus pratique que la lotte à l’armoricaine, ou le bar grillé au fenouil !
Autre technique bien plus complexe pour ceux vraiment réfractaires aux animaux à arrêtes : on peut aussi écouter attentivement et avec une grande concentration tout fichier mp3, pour essayer de deviner ce qui lui manque. En créant cette image mentale substitutrice, on ferait entrer dans notre sphère consciente le processus d’analyse et on peut par ce moyen éviter les conséquences néfastes de cette écoute.
C’est donc la consternation qui risque de s’abattre sur les consommateurs de musique en mp3, alors que tout semblait si simple et si facile. Désormais, à chaque problème que nous aurons dans notre vie professionnelle ou privée, on devra penser aux derniers mp3 qu’on aura entendu précédemment. Ou bien, au lieu d’aller acheter des aliments riches en phosphore, on pourra choisir de faire un détour par le rayon disques, puisque le seul inconvénient constaté chez les consommateurs de musique sur CD, a été de chanter automatiquement les chansons en toutes circonstances, ou d’entendre l’enregistrement tourner en boucle dans sa tête.
Source www.musicrun.com
Les Bouless
Postée le 01/04/2003 à 08:23
C’est dans les couloirs de l’AES d’Amsterdam que nous avons appris une nouvelle qui risque de faire grand bruit. Une étude serait sur le point d’être publiée par le MIT (Massachussets Institude of Technology), sur les effets psychologiques néfastes de l’écoute de fichiers mp3.
En gros, ce document en décrirait les effets secondaires, effets pervers puisque difficiles à déceler, mais pourtant bien réels. Les chercheurs ont étudié le comportement quotidien de clients assidus des services Peer to Peer, genre Kazaa, qui n’écoutaient que de la musique téléchargée, et les ont soumis régulièrement à des batteries de tests. Ceux-ci étaient destinés à évaluer point par point tout changement dans la vie d’un individu, après écoute régulière de ces fichiers.
En parallèle, un autre échantillon de population identique n’écoutant que de la musique sur CD subissait les mêmes tests. Ce que ces chercheurs ont constaté est stupéfiant : ils ont trouvé très clairement que l’écoute des fichiers mp3 entraînait une modification du comportement, ce que bien sûr personne n’aurait pu imaginer.
Les effets constatés sont divers, mais réels. D’une part, le plaisir de l’écoute d’une chanson est diminué par l’encodage mp3, et on ressent une légère fatigue. D’autre part, sans s’en rendre compte, notre vision de la vie aurait tendance à être légèrement déformée lors de ces écoutes, avec une tendance à une certaine déprime.
De plus, notre faculté naturelle d’intuition, qui nous fait percevoir instantanément certaines informations essentielles, serait elle-même franchement abaissée par ces écoutes.
Autre problème, notre jugement artistique subirait aussi des modifications subtiles : il semblerait que certaines chansons qu’on rejetterait rapidement en les écoutant sur CD ou même à la radio, soient mieux acceptées en mp3. Surprenant…
Enfin, on a remarqué des changements de comportement assez étranges chez les accros du mp3 : certains qui avaient horreur du poisson en avaient soudain envie. D’autres, sans s’en rendre compte, chantaient en dormant les textes des chansons qu’ils avaient écoutés dans la journée, mais à l’envers.
Les chercheurs du MIT ont tenté de trouver une explication à ce phénomène assez inquiétant. L’une des hypothèses la plus crédible serait la suivante. Sachant que l’encodage en mp3 repose, comme chacun le sait, sur un traitement psycho-acoustique, du coup, il était devenu nécessaire de se pencher à nouveau sur son principe. Celui-ci consiste à considérer que dans un signal audio, certaines parties ne sont pas audibles, puisque masquées par d’autres. En mp3, on décide purement et simplement de les supprimer, ce qui permet une réduction très sensible de la taille des fichiers.
Mais la nouvelle étude soulève un doute : le fait de supprimer ces éléments serait-il à l’origine des troubles du comportement constatés ? Il semble bien que ce soit le cas. Une supposition : ces éléments enlevés par l’encodage mp3 seraient nécessaires à notre équilibre mental. Ou du moins, en étant absents, ils mettent en route un processus inconscient de recherche infructueuse, mécanisme générateur de déséquilibres.
Alors, comme pour chaque maladie découverte, des équipes ont multiplié les expériences pour tenter de trouver un traitement efficace. Bizarrement, pour le moment, ce qui semble fonctionner le mieux, c’est après avoir écouté une chanson en mp3, de la ré-écouter une dizaine de fois, mais à l’envers. Pas très agréable, mais si ça permet de retrouver un équilibre psychologique perturbé, pourquoi pas…
Petit problème technique, tout auditeur n’a pas nécessairement à portée de la main les outils logiciels pour créer ce fichier inversé. C’est pourquoi chaque encodeur de mp3 devra bientôt créer automatiquement un double fichier : un à l’endroit et le même à l’envers. Le mp3 qui était censé s’envoyer facilement sur Internet, va maintenant doubler de volume ! On aura donc à sa disposition les deux versions de la chanson. Libre à l’auditeur de n’écouter que la version à l’endroit, mais à ses risques et périls. D’ailleurs, comme les marquages obligatoires ”Dangereux pour la santé” sur les paquets de cigarettes, on envisage d’imposer l’affichage sur les lecteurs de mp3 la mention : ”Dangereux pour votre équilibre. N’oubliez pas d’écouter la version inversée”.
D’autres thérapies ont été envisagées, mais semblent un peu plus aléatoires. Par exemple, chez les grands consommateurs de mp3, on a constaté une baisse de la concentration en ions phosphore dans les neurones du cerveau (peut-être dûe à une activité plus intense d’analyse des messages encodés). On a donc conseillé une consommation abondante de poisson, riche en phosphore (mais certains fromages comme le gruyère devraient aussi donner de bons résultats), ce qui a donné des résultats encourageants. Ceci expliquerait peut-être les envies subites de poisson de ceux qui d’habitude le fuyaient. Déjà se dessine la situation idéale d’écoute des fichiers mp3 : devant son PC ou avec son lecteur portable, avec un sandwich aux rollmops, ou une boîte de sardines. Peut-être pas très élégant, mais rassurant, et plus pratique que la lotte à l’armoricaine, ou le bar grillé au fenouil !
Autre technique bien plus complexe pour ceux vraiment réfractaires aux animaux à arrêtes : on peut aussi écouter attentivement et avec une grande concentration tout fichier mp3, pour essayer de deviner ce qui lui manque. En créant cette image mentale substitutrice, on ferait entrer dans notre sphère consciente le processus d’analyse et on peut par ce moyen éviter les conséquences néfastes de cette écoute.
C’est donc la consternation qui risque de s’abattre sur les consommateurs de musique en mp3, alors que tout semblait si simple et si facile. Désormais, à chaque problème que nous aurons dans notre vie professionnelle ou privée, on devra penser aux derniers mp3 qu’on aura entendu précédemment. Ou bien, au lieu d’aller acheter des aliments riches en phosphore, on pourra choisir de faire un détour par le rayon disques, puisque le seul inconvénient constaté chez les consommateurs de musique sur CD, a été de chanter automatiquement les chansons en toutes circonstances, ou d’entendre l’enregistrement tourner en boucle dans sa tête.
Source www.musicrun.com
Les Bouless
- < Liste des sujets
- Charte