Les paroles les plus snifs
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Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 13/09/2005 à 16:01:51Les paroles les plus snifs
Le petit cheval dans le mauvais temps,
Qu'il avait donc du courage!
C'était un petit cheval blanc,
Tous derrière et lui devant.
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage,
Il n'y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni devant.
Mais toujours il était content,
Menant les gars du village,
A travers la pluie noire des champs,
Tous derrière et lui devant.
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage.
C'est alors qu'il était content,
Eux derrière et lui devant.
Mais un jour, dans le mauvais temps,
Un jour qu'il était si sage,
Il est mort par un éclair blanc,
Tous derrière et lui devant.
Il est mort sans voir le beau temps,
Qu'il avait donc du courage!
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant.
Paul FORT
Qu'il avait donc du courage!
C'était un petit cheval blanc,
Tous derrière et lui devant.
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage,
Il n'y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni devant.
Mais toujours il était content,
Menant les gars du village,
A travers la pluie noire des champs,
Tous derrière et lui devant.
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage.
C'est alors qu'il était content,
Eux derrière et lui devant.
Mais un jour, dans le mauvais temps,
Un jour qu'il était si sage,
Il est mort par un éclair blanc,
Tous derrière et lui devant.
Il est mort sans voir le beau temps,
Qu'il avait donc du courage!
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant.
Paul FORT
Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
2 Posté le 13/09/2005 à 16:03:29
Il s'appelait Stewball
C'était un cheval blanc
Il était mon idole
Et moi j'avais dix ans
Notre pauvre père
Pour acheter ce pur sang
Avait mis dans l'affaire
Jusqu'à son dernier franc
Il avait dans la tête
D'en faire un grand champion
Pour liquider nos dettes
Et payer la maison
Et croyait à sa chance
Il engagea Stewball
Par un beau dimanche
Au grand prix de St-Paul
"Je sais, dit mon père,
Que Stewball va gagner"
Mais après la rivière
Stewball est tombé
Quand le vétérinaire
D'un seul coup l'acheva
J'ai vu pleurer mon père
pour la première fois
Il s'appelait Stewball
C'était un cheval blanc
Il était mon idole
Et moi j'avais dix ans
H.Auffray
C'était un cheval blanc
Il était mon idole
Et moi j'avais dix ans
Notre pauvre père
Pour acheter ce pur sang
Avait mis dans l'affaire
Jusqu'à son dernier franc
Il avait dans la tête
D'en faire un grand champion
Pour liquider nos dettes
Et payer la maison
Et croyait à sa chance
Il engagea Stewball
Par un beau dimanche
Au grand prix de St-Paul
"Je sais, dit mon père,
Que Stewball va gagner"
Mais après la rivière
Stewball est tombé
Quand le vétérinaire
D'un seul coup l'acheva
J'ai vu pleurer mon père
pour la première fois
Il s'appelait Stewball
C'était un cheval blanc
Il était mon idole
Et moi j'avais dix ans
H.Auffray
Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
3 Posté le 13/09/2005 à 16:04:01
Notez cet acharnement sur les cheveaux.
w0gO
4362
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
4 Posté le 13/09/2005 à 16:05:30
C'était un gamin, un gosse de Paris,
Pour famille il n'avait qu' sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d'acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :
"C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aime tant
Va quand je serai grand, j'achèterai au marchand
Toutes ses roses blanches, pour toi jolie maman"
Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l'hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d'avril parmi les promeneurs
N'ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant le pauvre mioche,
Furtivement vola des fleurs
La marchande l'ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :
"C'est aujourd'hui dimanche et j'allais voir maman
J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m'attend
J'ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman"
La marchande émue, doucement lui dit,
"Emporte-les je te les donne"
Elle l'embrassa et l'enfant partit,
Tout rayonnant qu'on le pardonne
Puis à l'hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit "Tu n'as plus de maman"
Et le gamin s'agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :
"C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t'en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras"
allez : "c'est aujourd'huiiii diiimaaaaanncheuuuu"
Pour famille il n'avait qu' sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d'acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :
"C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aime tant
Va quand je serai grand, j'achèterai au marchand
Toutes ses roses blanches, pour toi jolie maman"
Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l'hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d'avril parmi les promeneurs
N'ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant le pauvre mioche,
Furtivement vola des fleurs
La marchande l'ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :
"C'est aujourd'hui dimanche et j'allais voir maman
J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m'attend
J'ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman"
La marchande émue, doucement lui dit,
"Emporte-les je te les donne"
Elle l'embrassa et l'enfant partit,
Tout rayonnant qu'on le pardonne
Puis à l'hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit "Tu n'as plus de maman"
Et le gamin s'agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :
"C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t'en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras"
allez : "c'est aujourd'huiiii diiimaaaaanncheuuuu"
Anonyme
3431
6 Posté le 13/09/2005 à 16:06:35
Thread interdit à ceux qui utilisent celui des dépressifs.....
Dom, ça va de mieux en mieux......c'est la rentrée qui te met dans cet état?
Dom, ça va de mieux en mieux......c'est la rentrée qui te met dans cet état?
Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
7 Posté le 13/09/2005 à 16:06:37
Citation : C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t'en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras"
Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
8 Posté le 13/09/2005 à 16:07:52
Je m’souviens ma mère disait - Et je suis aux
galères - Je m’souviens ma mère disait - Mais je
n’ai pas cru ma mère - Ne traîne pas dans les
ruisseaux T’bats pas comm’un sauvage - T’amuses
pas comme les oiseaux - Elle me disait d’être sage.
J’ai pas tué j’ai pas volé - J’voulais courir ma chance
J’ai pas tué j’ai pas volé - J’voulais qu’chaque jour
soit dimanche Je m’souviens ma mère pleurait.
Dès que j’passais la porte, Je m’souviens comme
elle pleurait Elle voulait pas que je sorte.
Toujours toujours elle disait. T’en vas pas chez les
filles - Fais donc pas toujours c’qui t’plaît - Dans les
prisons y’a des grilles - J’ai pas tué j’ai pas volé.
Mais j’ai cru Madeleine. J’ai pas tué j’ai pas volé.
J’voulais pas lui fair’ de peine.
Je m’souviens ma mère disait. Suis pas les
Bohémiennes. Je m’souviens comme elle disait - On
ramasse les gens qui traînent - Un jour les soldats
du roi t’emmèn’ront aux galères - Tu t’en iras trois
pas trois Comm’ils ont emm’né ton père.
galères - Je m’souviens ma mère disait - Mais je
n’ai pas cru ma mère - Ne traîne pas dans les
ruisseaux T’bats pas comm’un sauvage - T’amuses
pas comme les oiseaux - Elle me disait d’être sage.
J’ai pas tué j’ai pas volé - J’voulais courir ma chance
J’ai pas tué j’ai pas volé - J’voulais qu’chaque jour
soit dimanche Je m’souviens ma mère pleurait.
Dès que j’passais la porte, Je m’souviens comme
elle pleurait Elle voulait pas que je sorte.
Toujours toujours elle disait. T’en vas pas chez les
filles - Fais donc pas toujours c’qui t’plaît - Dans les
prisons y’a des grilles - J’ai pas tué j’ai pas volé.
Mais j’ai cru Madeleine. J’ai pas tué j’ai pas volé.
J’voulais pas lui fair’ de peine.
Je m’souviens ma mère disait. Suis pas les
Bohémiennes. Je m’souviens comme elle disait - On
ramasse les gens qui traînent - Un jour les soldats
du roi t’emmèn’ront aux galères - Tu t’en iras trois
pas trois Comm’ils ont emm’né ton père.
w0gO
4362
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
9 Posté le 13/09/2005 à 16:09:02
Je connais pas cette chanson
Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
10 Posté le 13/09/2005 à 16:09:30
C'est les compagnons de la chanson man
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