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Le Vietnam est sur AF

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Sujet de la discussion Le Vietnam est sur AF
Bonjour, c'est ici que vous pouvez etre recrutés pour embarquer au vietnam de la fin des 60's pour des riches partis de cache cache dans la jungle.






Allez les boys, go go go!

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Hors sujet : moi perso je comprend rien aux posts des autres, donc si ca se trouve on a pas la meme idée en tete.

a part ça, si luc besson passe sur ce thread, il en fait un film direct

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:ptdr: :ptdr:

La vie, c'est comme un train de montagne

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Hors sujet : les hors sujets seraient plus a poster dans le thread le viet nam hors sujet.
Je suis aussi d'accord pour que ce thread de Bloody ne rentre pas en compte.
Nous reprendrons avant.

Mais plus de hors sujet ce sur thread!
Un autre est là pour ça!


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"On a marché et marché à travers la jungle. Perdus car les radiocommunications ne fonctionnaient plus.
Puis on est arrivés dans un petit village Viet sans défense. On a décidé de semer la terreur.
On a commencé à brûler les maisons et massacrer deux trois types au hasard à coups de pierre.
Puis on a braqués des mecs en les obligeant à faire des trucs avec des membres de leur famille sinon on tirait.
Après on a violé sauvagement toutes les femmes et on a enfoncé sauvagement des rondins de bois à l'intérieur de mecs jusqu'à ce que ça transperce le ventre.
Une fois que le bout de bois dépassait du ventre, on a empalés les nanas violées dessus....
C'était très contemporain comme tableau..."


Je détestais les gars de la Division "1St DC" (First Death Company), ce n'était que des barbares sans cerveau. Ils liquidaient femmes et enfants sans remords, rien à voir avec les soldats des autres escadrons, ce n'étaient que des brutes sanguinaires qui aimaient raconter avec tous les détails sordides leurs exploits sanguinaires. De toute facon, c'était la dernière fois qu'ils s'amusaient à nous raconter ce genre de récit, puisque deux jours plus tard, ils tombaient dans une embuscade qui les avait décimé jusqu'au dernier, ce n'étaient qu'un juste retour des choses, il y avaient quand même un minimum de justice dans ce monde ...
Pour nous, c'étaient plutôt le bonheur, tout du moins pour un court laps de temps puisque, au retour de notre mission, nous avions hérités de 4 jours de repos bien mérité au camp. On passait notre premièrer journée à récupérer de notre petite excursion pour le nettoyage du pont et ce fût l'occasion de nous apercevoir que le soldat Tihouss n'était pas tombé au combat et se portait plutot bien d'ailleurs, il avait été affecté à notre escadron. Bref, on profitait tranquillement de ce repos bien mérité mais cela n'allait pas durer longtemps ...
Ce fût le deuxième soir que tout bascula, quand, au milieu de la nuit, le camp fût victime d'une attaque en masse des vietcongs ...
Peace, Luv, Unity & Havin'Fun ...
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C'est fou ce qu'on pouvait faire avec de l'imgination, de la technique, et juste trois hommes d'une section secréte jusqu'à leur propre nom. Les gars de la MDK s'étaient furieusement fait la main sur une compagnie de baroudeurs en vadrouille, qui pensaient plus à égorger des femmes et violer des vieillards -ou alors c'était le contraire- et ils en avaient fait les frais.

Je venais de lire un rapport par ma compagnie sur mon recepteur-texte. A juste deux heures de marche de là, les corps de ces malades qui se faisaient appeler la compagnie de la mort, avaient reçu une petite "piqure" remplie d'un explosif bio-humanoïsé. Il s'écoule dans le sang, une fois que le produit avait fait le tour du corps, ils explosaient comme des feux d'artifice.

Des malades en moins. La guerre permet aussi de se débarraser de ses ennemis internes.

En parlant d'ennemis, j'aurais 10 000 fois eu plus de chance de me retrouver en face d'un lion affamé, que dans ce putin de camp en pleine nuit, quand un bruit familier me réveilla.
J'étais déguisé en infirmier, j'avais pas beaucoup dormi, j'étais là pour retrouver mon ancien collègue VFred, spécialiste du passe-partout et des missions déguisées, et un vacarme éclata dehors. Je crois bien que l'entrée Est avait succombé sous les assauts des viets.
Le premier baraquement qu'il allaient rencontrer sera celui des nouvelles troupes, des nouveaux soldats engagés...une boucherie leur servirait de destinée.
Le deuxième baraquement était celui où la section P était logée. Intéressant de voir de près comment ils allaient s'en sortir. Je pourrais enfin filer au contact JR ce que Wanda m'avait supllier de lui donner.

Je me lève, prends mes cartouches spéciales remplies de produits...spéciaux, et je me dirige vers la sortie de mon batiment. Ca commence à bouger la -bas. A 300 mêtres, le premier baraquement venait de céder.

La vie, c'est comme un train de montagne

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Je fut soigné par le medecin du camp. J'avais du mal à me rapeller ce qui c'était réelement passé. Mes halucinations se mélaient à mes reves et à la realité.Autant dire que mes derneirs souvenirs restaient asse flous . Apparement nous avions marché durant plusieurs jours dans la jungle, et foutu par la meme occasion une petite rouste à un général...Alors pourquoi n'étions nous pas face à un tribunal militaire à cette heure ci?
Cette histoire semblait se refermer sur nous comme une plante carnivore sur une mouche. Nous serions bientot avalé par un grand monstre politico-militaire qui nous depassait.

Je restais dans mon lit de camps, à me reposer. Mes pieds étaient bandés et me faisaient affreusement soufrir. Pour me calmer, un boys m'avait ramené un peu d'opium bon marché que l'on trouvai dans les villages environants. J'avais le temps de repenser à tout ce qui c'était passer au Vietnam. J'avais le temps de me rapeller pourquoi j'étais parti. Wanda, c'était elle. Son visage roux semblait flotter au desus de mon lit. Je demansais à voir un pretre, pour me confier. Cela pris environ deux heures, et je me senti bien plus leger. Je dormais. Je revais encore de heldon cette fois ci, il était king kong me broyant dans ses mains geantes, se jouant de moi comme un enfant avec une fourmie. Voila. Nous n'étions plus que des fourmis dans une putain de fourmilliere ,face à des geants. Nous etions promis à une mort certaine.
Je me revaillais en sueur, les draps trempés comme jamais. Je laissait choir sur mon lit toute la masse de mon vieux corps usé, lorsque Sp6men et Basix entrèrent dans ma chambrée. Il tiraient un peu la gueule: en effet, ils étaient avec un petit bonhomme d'environ 17 ans, tout gringalet, au visage un peu perdu. Un bleu. Mais de la vrai bleusaille, fraichemnt débarqué, qui transpirait de grosse goutes semblant toutes se demander ce qu'elles fichaient là. Mes boys n'eurent rien besoin de me dire. Les huiles cherchaient à nous mettre des batons dans les roues avec ce garconnet nommé Tihouss.
C'est à ce moment qu'une enorme explosion se fit entendre: nous regardammes par la fenettre, et nous virent une vieille renault francaise dans la cour, en feu. Elle avait servi de belier pour penetre la base. Dans son sillage étaient vomi des dizaines et des dizaines de viets. La voiture explosa dans un grand fracas. Il fallait me lever et reprendre les armes.

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Nous étions passer voir Jr quand tout commenca, une énorme explosion, quelques cris, le bruit caractéristiques des kalash, les viets nous attaquaient ...
Je courus avec basix à notre baraquement pour récupérer tout ce que nous pouvions en munitions. En chemin, je croisais un infirmier avec une arme bizarre, un espèce de fusil de précision mais un modèle que je n'avais jamais vu, mais je n'avais pas le temps de me poser de question, on arrivait au baraquement. On était accompagné du jeune bleu rescapé Tihouss, pour son retour, il allait pas être décu, je lui expliquai de prendre toutes le munitions qu'il pouvait et de bien rester avec basix et moi. Basix me fit passer un sac de grenades et un de chargeur. lorsque nous sommes ressorti, on s'est aperçu que les viets avait déjà bien avancé dans le camp, les deux premiers baraquement, ceux des bleus, étaient tombés, ca avait dû être une vraie boucherie là-dedans, pauvres gars ... on se déplaça jusqu'à une corniche qui surplombé le camp, Jr nous y attendait, de facon à avoir une vue dégagée sur tout le périmètre. Et la fête pouvait commencer, je vîs du coin de l'oeil, ce fameux infirmier, planqué à l'opposé de notre position, juste en face et qui était déjà en train d'allumer les vietcongs. Jr me fît signe de commencer à faire de même, un dernier regard à mon pote Basix et à Tihouss qui était vraiment à la limite de tomber dans les pommes et je me mis à tirer mes premieres cartouches ...
Peace, Luv, Unity & Havin'Fun ...
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J'était en train d'allumer les viets en bas, sp6mn faisait pareil pendant que tihouss se chiant dessus tellement qu'il avait peur ( c'est son premier vrai bapteme du feu) et je vois Jr parler à l'hélico. il sort ensuite un fumigène, qu'il balance au milieu des viets. l'hélico arrive et allume, j'espère qu'il y avait pas trop de gars à nous dans le coin. j'avais aussi repéré un infirmier avec un fusil de snipe :?!: qui tirait sur tout ce qui bouge.
nous assistions à un carnage de viets. ils couraient partout, hurlant des insultes dans un obscur dialecte local. soudain je vois arriver des GI's des autres baraquement plus loin, pas trop tot...
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Fallait faire très très vite !
Quand j'ai vu arriver les G.I au loin, j'ai reconnu l'emblème sur leur brassard. Encore une des ces foutues sections qui vient pour nettoyer tout le périmètre quand ça va pas.

Et ça n'allait pas.

Je changeais de cible. Plutôt les descendre eux, s'ils étaient là, c'était surement pas pour nous faire de cadeaux. Donc j'allais pas en faire non plus, il fallait bien que tout cet entrainement que j'avais reçu serve à quelque chose si je voulais une bonne retraite !

Je charge mon fusil à seringue d'un mélange particulier qu'on avait utilisé au cours des premières semaines de la guerre. A fort dosage, cela permettait de remplir d'explosifs liquides des murs en béton, et de les faire sauter exactement là où on le voulait. L'avantage : pas de bruit, pas de traces, pas de dégagement de chaleur trop important...que du bonheur.

J'attendais qu'ils soient près de l'Hélico, tant pis pour le pilote, y'avait urgence...encore une cinquantaine de mêtres, et il pouvait commencer à espérer que la reïncarnation ça soit pas une légende...Et tant pis pour les gars de cette équipe P qui n'arrêtait pas de me regarder entre deux salves..l'un d'entre eux m'avait regardé curieusement tout à l'heure. Ils se demanderaient pourquoi je tire sur l'Hélico, fallait espérer qu'ils ripostent pas de suite.

Parmi eux, je vois une jeune recrue qui tremble, il a l'air de pleurer en ce moment...Je crois qu'il a reconnu Barnee aux commandes de cet escadron de nettoyeur. Il semblait l'avoir déjà vu...c'était louche tout ça, je m'en occuperais après.

La vie, c'est comme un train de montagne

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Bordel de merde, les renforts semblaient bizarre...
Je vis Heldon, il semblait paniqué. Cette fois ci, si on voulait s'en sortit, il vallait mieux travailler main dans la main. Je couru vers en respirant une grande bouffée de fumignene qui me brula la gorge. Mes yeux me piquaient mais je continuait de courir. Mes pieds me refaisaient soufrir en meme temps que les vapeurs d'opium se dissipaient sous l'effet de l'exitation.
Arrivé à ses cotés, je lui demandais ce qui se passait. Il me regarda avec un regard mefiant avant de m'expliquer. Il fallait dézinguer nos gars en plus des viets. C'étaient nous ou eux. Je fis un signe aux deux snipers de mon équipe. Il ne semblaient pas me croire. Au bout de deux fois, il comprirent enfin et commencere à tirer tout azimut.
Les G.I. avancaient à grand pas. On devaient se replier pour pas se faire prendre.
Je parti chercher mes boys alors qu'Heldon me couvrait. Je ne pouvais m'empcher d'avoir de l'apprehension, je ne lui faisait pas confiance mais j'étais obligé. Je vis Sp6men et basix mitrailler en marchant a l'envers pour venir vers moi. L'autre bleu nous suivit, reussisant comme par miracle à eviter les balles enemis. Deux ou trois autres marines que j'appreciais nous rejoinrent, ne semblant pas croire que les GI n'étaient pas là pour nous aider, bien au contraire. Nous nous enfonçames dans la jungle, en prenant soin de rester groupés. Il faisait nuit, et meme la pleine lune avait du mal à nous éclairer. Nous devions nous enfoncer plus profond pour nous cacher ,puis traverser la riviere. Si nous le faisions, nous aurions plus de mal à etre repérés.