Le Vietnam est sur AF
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Jr0001
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Sujet de la discussion Posté le 19/04/2006 à 21:37:38Le Vietnam est sur AF
Anonyme
521397
2 Posté le 19/04/2006 à 21:42:41
On fait une histoire courte...
Pow Pow...
Pow Pow...
Pow Pow... Aaaaaah je suis touché...
Fin
Marie...
Pow Pow...
Pow Pow...
Pow Pow... Aaaaaah je suis touché...
Fin
Marie...
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multiform
15310
Drogué·e à l’AFéine
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4 Posté le 19/04/2006 à 22:17:42
De toutes façons moi je viens à la fin pour libérer les prisoniers et reboiter les boiteux
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Sp6mn ats
988
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
5 Posté le 19/04/2006 à 22:23:31
Présent mon Capitaine !!! 
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Peace, Luv, Unity & Havin'Fun ...
Jr0001
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6 Posté le 19/04/2006 à 22:25:55
Anonyme
3325
7 Posté le 19/04/2006 à 22:39:58
Au rapport chef !! il parait que l'on a aperçu le terrible chef des mangeurs de riz, un dénommé uncle bens, près du marais infesté de crocodiles tueurs dans la base-super-bien-caché-mais-que-j'ai-infiltré-tout-seul-tellement-que-chuis-fort.
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Jr0001
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8 Posté le 19/04/2006 à 22:50:01
Anonyme
3325
9 Posté le 19/04/2006 à 23:03:23
A vos ordres !
(la colonne de troupes d'élite s'ébranle sans un bruit dans la jungle hostile. je marche en tete, mon garand braqué au moindre bruissement suspect.je me retourne,le captain est derrière, aux aguets tout en communiquant a Sp6men les coordonnées de la basse ennemie, qui va transmettre au QG, au cas ou la mission serait un échec. A un contre 17, nous allons au massacre, je lève les yeux au ciel en priant pour revoir ma fiancée qui m'attend au pays)
je retrouve sur un tronc la marque que j'ai fait le matin pour retrouver mon chemin : nous somme proches, je fais signe au capitaine de s'acroupir et de prendre ses jumelles, pendant que sp6mn fait le guet. quelques mètres plus loin, à plas ventre avec la menace des vipères meurtrières, je montre au boss la position ennemie, à 300 mètre en aval de l'autre coté de la rivière Kwai. Boss recule et me fais signe de surveiller la base et de noter les heures de relèves .la surveillance s'installe . après 6h non-stop, j'ai enfin compris leur système: les 3 sentinelles sont remplacé toutes les 45min heures, mais pas toutes en meme temps, une relève tout les 1/4 d'heure. on attend la nuit, puis à 2 h AM, je retourne à mon poste. les autres se sont raprochés, j'ai pour mission de buter les sentinelles avant qu'elles donnent l'alerte. en face, je vois sp6mn qui le fait signe qu'ils sont prèts a donner l'assaut.je retiens ma respiration : poum
entre les yeux, les deux autres n'ont rien vu et j'ai mis mon silencieux. la deuxième : poum, pareil, elle tombe raide. et merde la troisième vient par ici !! c'est pas prévu !! elle court !!! je prend mon temps, et l'aligne aussi. les gars vont attaquer bientot, j'ai fini mon mon boulot
(la colonne de troupes d'élite s'ébranle sans un bruit dans la jungle hostile. je marche en tete, mon garand braqué au moindre bruissement suspect.je me retourne,le captain est derrière, aux aguets tout en communiquant a Sp6men les coordonnées de la basse ennemie, qui va transmettre au QG, au cas ou la mission serait un échec. A un contre 17, nous allons au massacre, je lève les yeux au ciel en priant pour revoir ma fiancée qui m'attend au pays)
je retrouve sur un tronc la marque que j'ai fait le matin pour retrouver mon chemin : nous somme proches, je fais signe au capitaine de s'acroupir et de prendre ses jumelles, pendant que sp6mn fait le guet. quelques mètres plus loin, à plas ventre avec la menace des vipères meurtrières, je montre au boss la position ennemie, à 300 mètre en aval de l'autre coté de la rivière Kwai. Boss recule et me fais signe de surveiller la base et de noter les heures de relèves .la surveillance s'installe . après 6h non-stop, j'ai enfin compris leur système: les 3 sentinelles sont remplacé toutes les 45min heures, mais pas toutes en meme temps, une relève tout les 1/4 d'heure. on attend la nuit, puis à 2 h AM, je retourne à mon poste. les autres se sont raprochés, j'ai pour mission de buter les sentinelles avant qu'elles donnent l'alerte. en face, je vois sp6mn qui le fait signe qu'ils sont prèts a donner l'assaut.je retiens ma respiration : poum
entre les yeux, les deux autres n'ont rien vu et j'ai mis mon silencieux. la deuxième : poum, pareil, elle tombe raide. et merde la troisième vient par ici !! c'est pas prévu !! elle court !!! je prend mon temps, et l'aligne aussi. les gars vont attaquer bientot, j'ai fini mon mon boulot
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Jr0001
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Membre depuis 20 ans
10 Posté le 19/04/2006 à 23:16:08
"Merde. Qu'est ce que fous là. Voilà où ça m'a mené mes conneries. Dans la jungle avec ces momes. Je regarde basix avancer inconsciement vers le casse pipe ,le sourire au levre. Il a meme pas 20 ans, et du sang plein les mains.
Je pense a Wanda... Merde Wanda, tout ça je le fais pour toi. Derriere moi j'entend sp6men donner notre position. On aura surement besoin de renfort.
Son regard ne trahie pas son anxiété, mais je la sent d'ici malgres l'affreuse odeur de riz collé qui s'émane de la base vietcong. L'attente est longue. Comme toujours. Et cette odeur... Elle me colle depuis trois ans maintenant... Ca me rapelle toutes ces horreurs... Elle me rapelle Westpoint, et leurs leçons inutiles. Je vois basix se mettre au travail. Je pose mon fusil et dégomme le bridé sur le palier de la porte. Je les compte meme plus, c'en est qu'un de plus. J'entend une grenade peter à men faire mal aux tympans. Putain, j'aime ce bruit: sp6men au travail, c'est quelque chose. J'echangerai tous mes vinyles des stones pour un autre comme lui."
Je pense a Wanda... Merde Wanda, tout ça je le fais pour toi. Derriere moi j'entend sp6men donner notre position. On aura surement besoin de renfort.
Son regard ne trahie pas son anxiété, mais je la sent d'ici malgres l'affreuse odeur de riz collé qui s'émane de la base vietcong. L'attente est longue. Comme toujours. Et cette odeur... Elle me colle depuis trois ans maintenant... Ca me rapelle toutes ces horreurs... Elle me rapelle Westpoint, et leurs leçons inutiles. Je vois basix se mettre au travail. Je pose mon fusil et dégomme le bridé sur le palier de la porte. Je les compte meme plus, c'en est qu'un de plus. J'entend une grenade peter à men faire mal aux tympans. Putain, j'aime ce bruit: sp6men au travail, c'est quelque chose. J'echangerai tous mes vinyles des stones pour un autre comme lui."
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Heldon jazzyTron
7595
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Membre depuis 19 ans
11 Posté le 20/04/2006 à 00:09:10
Planqué depuis un moment dans mon coin, les indications de JR étaient bonnes. Son nom de code : 001.
Non pas que c'était le meilleur, non pas qu'il était né en 1901, non pas qu'il n'y avait qu'un seul JR...
Mais il était le dernier survivant de son unité d'élite. Tous avait été massacrés lors d'un repas en pleine jungle. Non, non, pas par les ennemis. Ils avaient décidés de jouer au tabouret musical, mais comme ils n'avaient pas de tabouret...ils ont fait ça avec des grenades.
Une partie de grenade-musicales en quelque sorte.
JR avait ce soir abusé sur ses stocks de Nutella..et sans le savoir cela lui a sauvé la vie.
Le ventre plein, les trippes tiraillées de tous les cotés, ils essayé de suivre la cadence imposée par ses accolyte...mais sans espoir aucun !
Il était à la traine, et lorsqu'il a fallu s'assoir sur une grenade, la musique s'arrêtant, il fut le premier perdant de la soirée !
Seul, humilié, il décida de méditer quelque temps sur son sort en se retirant dans sa tente.
Paf !
Une explosion se fit entendre. Puissante, énorme, dévastatrice...
Ses camarades avaient explosé sur leur tabouret de fortune.
Seul...il avait alors réussi à rejoindre un nouveau bataillon. Son surnom vint alors...001 : le seul. L'unique.
J'étais là depuis un moment à attendre ce contact. Le voilà en vue, s'approchant avec quelqu'uns des hommes de sa nouvelle troupe. Je décidais d'observais au loin quelle serait leur plan d'attaque avant d'intervenir.
Non pas que c'était le meilleur, non pas qu'il était né en 1901, non pas qu'il n'y avait qu'un seul JR...
Mais il était le dernier survivant de son unité d'élite. Tous avait été massacrés lors d'un repas en pleine jungle. Non, non, pas par les ennemis. Ils avaient décidés de jouer au tabouret musical, mais comme ils n'avaient pas de tabouret...ils ont fait ça avec des grenades.
Une partie de grenade-musicales en quelque sorte.
JR avait ce soir abusé sur ses stocks de Nutella..et sans le savoir cela lui a sauvé la vie.
Le ventre plein, les trippes tiraillées de tous les cotés, ils essayé de suivre la cadence imposée par ses accolyte...mais sans espoir aucun !
Il était à la traine, et lorsqu'il a fallu s'assoir sur une grenade, la musique s'arrêtant, il fut le premier perdant de la soirée !
Seul, humilié, il décida de méditer quelque temps sur son sort en se retirant dans sa tente.
Paf !
Une explosion se fit entendre. Puissante, énorme, dévastatrice...
Ses camarades avaient explosé sur leur tabouret de fortune.
Seul...il avait alors réussi à rejoindre un nouveau bataillon. Son surnom vint alors...001 : le seul. L'unique.
J'étais là depuis un moment à attendre ce contact. Le voilà en vue, s'approchant avec quelqu'uns des hommes de sa nouvelle troupe. Je décidais d'observais au loin quelle serait leur plan d'attaque avant d'intervenir.
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La vie, c'est comme un train de montagne
Sp6mn ats
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12 Posté le 20/04/2006 à 03:46:33
On a réussi l'opération mais c'était chaud, il s'en ai fallu de peu pour que ca foire, mais bon, on est toujours là ... Sur la fin de l'opération, j'ai repéré un mec qui nous observer. impossible de définir si c'était un des nôtres ou un vietcong qui étudier notre plan d'attaque, il était super bien camouflé et a disparu dès que je l'ai repéré. J'en ai parlé au capitaine qui m'a dit que j'avais sans doute eu une hallucination en pleine action, et que c'était dû à la fatigue. C'est vrai que je suis mort de fatigue et j'arrête pas de me poser la même question depuis que je suis arrivé et ca m'empêche de dormir ...
Putain, qu'est-ce qu'on fout dans ce merdier ? pour une guerre que l'on a pas choisi de faire, perdus au fond de cette jungle, bouffé par les moustiques, harcelés par les centaines de sangsues qui traînent dans ces marécages remplis d'eau croupie et dont l'odeur, à elle seule, pourrait ranimer un mort ...
Je regardes du coin de l'oeil le capitaine JR, le seul point positif dans ce bourrier c'est d'avoir un vieux baroudeur comme lui comme chef, rien n'effacera de ma mémoire le visage de ces jeunes recrues arrivées en même temps que nous, et qu'on a envoyé en reconnaissance avec, comme chef, un de ces jeunes trou-du-cul tout droit sorti de l'école militaire. Il aura suffit d'une sortie pour que toute leur compagnie soit décimée. C'est pour ca que je suis heureux d'avoir JR comme gradé, lui connait le terrain, "le merdier", et c'est pas "l'oncle charlie" ( C'est le surnom que l'on donne au vietcong) qui lui fera à l'envers, non, pas à lui. Nous, on a juste à écouter ce qu'il dit et à assurer, si on s'y tient, nos petites miches de branleurs pourront tranquillement rentrer à la maison, putain, "Home Sweet Home". Encore 232 Jours au jus et je rentre au pays, ca parait long ... Ca va être long ... mais tant qu'on reste dans le sillage du capitaine, on survivra ...
J'me suis fait un pote d'infortune au milieu de ce joyeux bordel : "Basix". Il est arrivé en même temps que moi, et le seul coup de bol qu'on a eu, c'est d'être des putains de bons tireurs, c'est pour ca qu'on a été pris dans l'escadron de la mort du captain'JR, sinon on serait en train de pourrir dans la jungle avec les autres "bleuzailles" à se demander quand c'est qu'on va crever...
Hein ??? ... Quoi ??? ...
" Hé !!! Sp6 , c'est ton tour de garder les yeux ouverts sur cet enfer vert, moi, j'vais me pioncer ..."
Je sors de mes songes et je me lèves pour prendre mon quart, Basix va se pioncer, dans deux heures on doit bouger pour une opération nettoyage. Le capitaine, lui dort paisiblement, comme si il était en week-end camping au milieu du colorado et que toute cette merde n'existait pas ... Je l'envie parfois de pouvoir dormir, moi, je n'y arrive plus ou très peu depuis que je suis arrivé dans cette succursalle de l'enfer ...
Putain, qu'est-ce qu'on fout dans ce merdier ? pour une guerre que l'on a pas choisi de faire, perdus au fond de cette jungle, bouffé par les moustiques, harcelés par les centaines de sangsues qui traînent dans ces marécages remplis d'eau croupie et dont l'odeur, à elle seule, pourrait ranimer un mort ...
Je regardes du coin de l'oeil le capitaine JR, le seul point positif dans ce bourrier c'est d'avoir un vieux baroudeur comme lui comme chef, rien n'effacera de ma mémoire le visage de ces jeunes recrues arrivées en même temps que nous, et qu'on a envoyé en reconnaissance avec, comme chef, un de ces jeunes trou-du-cul tout droit sorti de l'école militaire. Il aura suffit d'une sortie pour que toute leur compagnie soit décimée. C'est pour ca que je suis heureux d'avoir JR comme gradé, lui connait le terrain, "le merdier", et c'est pas "l'oncle charlie" ( C'est le surnom que l'on donne au vietcong) qui lui fera à l'envers, non, pas à lui. Nous, on a juste à écouter ce qu'il dit et à assurer, si on s'y tient, nos petites miches de branleurs pourront tranquillement rentrer à la maison, putain, "Home Sweet Home". Encore 232 Jours au jus et je rentre au pays, ca parait long ... Ca va être long ... mais tant qu'on reste dans le sillage du capitaine, on survivra ...
J'me suis fait un pote d'infortune au milieu de ce joyeux bordel : "Basix". Il est arrivé en même temps que moi, et le seul coup de bol qu'on a eu, c'est d'être des putains de bons tireurs, c'est pour ca qu'on a été pris dans l'escadron de la mort du captain'JR, sinon on serait en train de pourrir dans la jungle avec les autres "bleuzailles" à se demander quand c'est qu'on va crever...
Hein ??? ... Quoi ??? ...
" Hé !!! Sp6 , c'est ton tour de garder les yeux ouverts sur cet enfer vert, moi, j'vais me pioncer ..."
Je sors de mes songes et je me lèves pour prendre mon quart, Basix va se pioncer, dans deux heures on doit bouger pour une opération nettoyage. Le capitaine, lui dort paisiblement, comme si il était en week-end camping au milieu du colorado et que toute cette merde n'existait pas ... Je l'envie parfois de pouvoir dormir, moi, je n'y arrive plus ou très peu depuis que je suis arrivé dans cette succursalle de l'enfer ...
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Peace, Luv, Unity & Havin'Fun ...
Heldon jazzyTron
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13 Posté le 20/04/2006 à 11:38:14
Ils semblaient ne pas connaître leur sort, et pour cause.
Les indications laissées par le contact JR étaient très claires : si l'un de ses hommes étaient capturés par l'un des gardes, je devais faire exploser le batiment. Avec tous les hommes autour, JR001 lui-même s'il le fallait.
Les charges avaient été placées il y 3 semaines, et au moment de procéder à l'élimination de cette cible, tous nos gars avaient été décimés par intoxication. Les viets savaient depuis des lustres qu'on allait envoyer une troupe pour nettoyer la jungle de cette usine secrete spécialisée dans les armes bio-chimiques qui ne tuent que l'homme.
Non pas que le gouvernement soit opposé à celà, mais à condition que l'arme soit dans notre camps, afin d'avoir la paix avec les éco-terroristes.
Dont je faisais secretement parti.
En attendant qu'ils se mettent à l'asssaut, j'écoutais une musique ramenée du futur par notre commando. La "Mekanik Destruktiw" (MDK pour ceux qui connaissaient, et il y en avaient peu) qui pouvait explorer le temps dans les 70 années près.
Un petit réglage de soupape interdisait pour l'instant d'aller voir plus loin.
Il s'agissait d'un album d'un certain..les noms m'échappent avec toutes ces feuilles qui me servent de repas...Sébastien Teillier. Quelques titres comme Ketchup vs Génocide illustraient parfatiement l'ambiance dans laquelle j'étais plongée depuis 9 jours, qui n'avait rien à voir avec les beaux arbres, une belle forêt et le soleil...
Non, c'était la lourdeur d'une atmosphère si pesante, que l'on a l'impression d'être soumis à une pesanteur de 4g, c'était des arignées constrictors et des insectes-garous.. Tout un arsenal de plaisirs aussi fins et délicats qu'une toile de Jérome Bosch.
C'est dans ces conditions extrèmes qu'on en arrive à regretter certains bourreaux de notre enfance. Comme ce Bloody, cet instituteur si sévère que le martinet était son moyen de nous mettre une note : un coup = 20/20, et 21 cousp = zéro.
On moins on savait compter jusque là.
Puis il y a eu ce Jules Joffrin (c'était un nom de code emprunté au tramway vieillissant d'une capitale d'un petit pays..je ne sais plus laquelle) à l'école militaire qui nous mettait au mitar pour un rien. Un mot plus haut que l'autre, un manquement de discipline lors d'un entrainement, et même au sein de nos quartiers libres entre potes, et il intervenait sorti de nulle part pour la sanction.
Tout cela nous avait pourtant entrainés.
On a commencé par débusquer les agents doubles qui trainaient dans notre compagnie. Un certaint Vieiville déguisée en nana par exemple, mais les fakes, découverts, subissent un sort que l'on ne tenait pas à connaitre.
L'AF (Army Fraction) ne plaisantait pas avec ses traitres.
Ne plaisantait jamais.
il fallait garder de l'armée et de la guerre qui approchait, une idée flamoyante et noble.
C'est ce que je faisais, depuis 9 jours, amené par hélico, à manger des feuilles et à boire avec parcimonie les réserves de Coca-Cola dont on nous avait fourni des quantités suffisentes.
Depuis hier enfin, la troupe du contact JR était arrivée. Pas trop. Cela me faisait de l'exercice de les observer sous différentes angles, d'aller de branches en branches, et de me rendre compte que je glissais autour comme un simple souffle d'air sans qu'ils semblent s'apercevoir de quoi que ce soit.
Peut etre des choses vont -ils arriver maintenant..??
Je vois un gars qui semble prendre la relève, pas très bien réveillé, avec une casquette de rappeurs, comportant une croix que j'ai déjà vue quelque part.
Une croix celte !
Surement un gallois, un écossais ou encore un breton.
Oui, il semblait avoir un caractère dur et taillée par autre chose que la bonne humeur. Surement un de ces bretons qui résistent à tout.
L'AF allait chercher des combattants partout là où elle le pouvait...
Les indications laissées par le contact JR étaient très claires : si l'un de ses hommes étaient capturés par l'un des gardes, je devais faire exploser le batiment. Avec tous les hommes autour, JR001 lui-même s'il le fallait.
Les charges avaient été placées il y 3 semaines, et au moment de procéder à l'élimination de cette cible, tous nos gars avaient été décimés par intoxication. Les viets savaient depuis des lustres qu'on allait envoyer une troupe pour nettoyer la jungle de cette usine secrete spécialisée dans les armes bio-chimiques qui ne tuent que l'homme.
Non pas que le gouvernement soit opposé à celà, mais à condition que l'arme soit dans notre camps, afin d'avoir la paix avec les éco-terroristes.
Dont je faisais secretement parti.
En attendant qu'ils se mettent à l'asssaut, j'écoutais une musique ramenée du futur par notre commando. La "Mekanik Destruktiw" (MDK pour ceux qui connaissaient, et il y en avaient peu) qui pouvait explorer le temps dans les 70 années près.
Un petit réglage de soupape interdisait pour l'instant d'aller voir plus loin.
Il s'agissait d'un album d'un certain..les noms m'échappent avec toutes ces feuilles qui me servent de repas...Sébastien Teillier. Quelques titres comme Ketchup vs Génocide illustraient parfatiement l'ambiance dans laquelle j'étais plongée depuis 9 jours, qui n'avait rien à voir avec les beaux arbres, une belle forêt et le soleil...
Non, c'était la lourdeur d'une atmosphère si pesante, que l'on a l'impression d'être soumis à une pesanteur de 4g, c'était des arignées constrictors et des insectes-garous.. Tout un arsenal de plaisirs aussi fins et délicats qu'une toile de Jérome Bosch.
C'est dans ces conditions extrèmes qu'on en arrive à regretter certains bourreaux de notre enfance. Comme ce Bloody, cet instituteur si sévère que le martinet était son moyen de nous mettre une note : un coup = 20/20, et 21 cousp = zéro.
On moins on savait compter jusque là.
Puis il y a eu ce Jules Joffrin (c'était un nom de code emprunté au tramway vieillissant d'une capitale d'un petit pays..je ne sais plus laquelle) à l'école militaire qui nous mettait au mitar pour un rien. Un mot plus haut que l'autre, un manquement de discipline lors d'un entrainement, et même au sein de nos quartiers libres entre potes, et il intervenait sorti de nulle part pour la sanction.
Tout cela nous avait pourtant entrainés.
On a commencé par débusquer les agents doubles qui trainaient dans notre compagnie. Un certaint Vieiville déguisée en nana par exemple, mais les fakes, découverts, subissent un sort que l'on ne tenait pas à connaitre.
L'AF (Army Fraction) ne plaisantait pas avec ses traitres.
Ne plaisantait jamais.
il fallait garder de l'armée et de la guerre qui approchait, une idée flamoyante et noble.
C'est ce que je faisais, depuis 9 jours, amené par hélico, à manger des feuilles et à boire avec parcimonie les réserves de Coca-Cola dont on nous avait fourni des quantités suffisentes.
Depuis hier enfin, la troupe du contact JR était arrivée. Pas trop. Cela me faisait de l'exercice de les observer sous différentes angles, d'aller de branches en branches, et de me rendre compte que je glissais autour comme un simple souffle d'air sans qu'ils semblent s'apercevoir de quoi que ce soit.
Peut etre des choses vont -ils arriver maintenant..??
Je vois un gars qui semble prendre la relève, pas très bien réveillé, avec une casquette de rappeurs, comportant une croix que j'ai déjà vue quelque part.
Une croix celte !
Surement un gallois, un écossais ou encore un breton.
Oui, il semblait avoir un caractère dur et taillée par autre chose que la bonne humeur. Surement un de ces bretons qui résistent à tout.
L'AF allait chercher des combattants partout là où elle le pouvait...
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La vie, c'est comme un train de montagne
Jules Joffrin
22972
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
14 Posté le 20/04/2006 à 11:44:44
Bonbon, cholcolat, esquimaux glacé?
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Jr0001
5532
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
15 Posté le 20/04/2006 à 12:01:23
"Je me reveille en sursaut. J'ai encore révé que je me faisait désinguer par Wanda dans cete putain de jungle. J'en suis encore tout fébrile et je tremble. Par chance les boys ne me regardent pas, faut pas que je craque devant eux. L'operation d'hier été tres propre, on a pas été géné. Travail impecable. J'ai vu mon contact de l'autre coté de la rive, tapis dans l'ombre comme un bete. Je veux pas que mes boys le voient. Ca me fout la chair de poule rien que d'y penser, et rien que de le voir, ça me fout la gerbe. On remballe notre camps de fortune et on s'avance vers le prochain objectif. On doit reprendre un pont; discretos, comme d'hab'. Mais cette fois ci c'est du costaud. C'est pour ça qu'on m'a envoyer l'autre guignol. C'est un sale type, il fait parti de ces dingos venus au Vietnam pour echaper à la taule. J'ai lu son dossier. Il a tué un fille de sang froid, je veux meme pas parler de ce qu'il lui a fait apres. Ce mec, c'est un sadique, de la pire espece . Je suis pas un ange moi non plus, lais lui, meme les généraux veulent pas le voir tellement tout le monde se fait dans l'froc quand il est dans une piece. Les marines refusent de dormir dans le meme baraquement que lui, des rumeurs courent qu'il aurait fais des truc pas tres beau à certains bleus fraichement débarqués. Mais là j'ai pas le choix. J'avais besoin d'un gars comme lui pour cette mission. Je le sens qu'il nous suit discetement dans la jungle. On croise un cadavre bien moisi de G.I. sur le chemin. Il est pendu par les pieds, un trou à la place des couille. Il est méconnesable et il schlingue comme pas deux. Je prend sa plaque pour la donner au central. Je peux pas m'empecher de penser à l'autre gus, j'en viens à esperer qu'il se fasse prendre lui aussi dans un de ces putains de pieges. Merde, c'est contre de la raclure comme ça qu'on devrait faire la guerre, mais non, on la fais avec elle. De toute maniere, faut etre fou pour aller dans ce merdier volontairement; et si on est pas fou on le devient; et si on le devient pas on creve. C'est la loie ici. Mes guiboles me lachent, j'ai des grosses ampoules dans mes bottes. Mais je peux pas arreter maintenant, on est plus qu'a 12 kilometres de la cible. Les boys avancent tranquilement ,à leur habitude. Sur le recoin, l'autre connard nous suit toujours, et viens meme me provoquer en marchant cote à cote avec nous, tout courbé, presque au ras du sol. Je croise son regard qui me glace ; je le vois lecher son couteau, rouge de sang. Je sais pas ce qu'il a buté, je veux meme pas savoir si c'est un homme. Il me fait un signe ,puis regarde sp6men en se lechant les babines, avec son regards habituel de gros pervers. Mon palpitant s'emballe. Il me cherche. S'il touche un cheveux de mes boys, je lui regle son cas définitivement. Je me retient de pas lui bondir dessus immediatement pour l'empecher de faire encore du mal à quiquonque. Je me calme. Je pense à Wanda avec difficulté, l'autre baltringue me hante.
De toute maniere, plus le moment de penser, on appercoit le pont.
De toute maniere, plus le moment de penser, on appercoit le pont.
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multiform
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Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 23 ans
16 Posté le 20/04/2006 à 12:30:46
Jules c'est notre agent infiltré (on dit pas d'où), notre 5ième colone (attention l'hernie) 
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Sp6mn ats
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Posteur·euse AFfolé·e
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17 Posté le 20/04/2006 à 13:01:47
Ca y est,on aperçoit le pont à 300 mètres devant nous, en contrebas de notre position. J'ai la sale sensation d'être observé mais j'ai pas le temps de focaliser là-dessus. JR nous fait signe de stopper. Il m'indique ma position, sur le flanc de la colline sur notre droite; je vérifie mon fusil, mes munitions et je commence à progresser lentement ... Basix me suit, on avance tout le temps en binome pour les missions délicates, si je me fais descendre, il prendra le relais. On arrive sur notre position, je surplombe le pont, il y a 6 gardes, 2 de chaque côté du pont et deux qui font l'aller retour d'une extrémité à l'autre. Je m'installe dans un arbre, prêt à intervenir, je fais signe à Basix que je suis prêt pour la fiesta, il transmet l'info à JR en levant le pouce ( Putain Basix, tu fais du stop dans la jungle maintenant, t'as pété un plomb ???). J'esquisse un sourire, c'est fou comme le moindre truc est bon à prendre pour se marrer ici. Je ferme les yeux deux secondes, je me concentre, je rouvres les yeux et ajuste ma visée, je n'attends plus que le feu vert de JR pour appuyer sur la détente. Notre artificier progresse discrètement vers le pont, il doit récupéré les cables des charges et installer le détonateur. je comprends pas pourquoi des mecs se sont fais chier à venir installer des charges quelques jours avant et pourquoi ce ne sont pas eux qui ont fait sauter le pont, il y a quelque chose de louche dans cette mission, mais je ne suis pas là pour essayer de comprendre, je suis là pour obéir ... Je suis là, dans mon arbre, à attendre que Basix me dise "go", prêt à ôter la vie à ces gars, en bas, qui ne sont pas plus vieux que nous. je mets ma casquette fétiche des SPURS, je regardes cette croix que j'ai trouvé sur un soldat francais mort (Une croix bretonne d'après ce qu'on m'a dit), en espérant qu'elle me portera plus chance qu'à lui, et j'attends ... C'est notre plus grosse activité, à nous , les snipers, l'attente ...
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18 Posté le 20/04/2006 à 13:16:15
Sp6men et basix sont en place et n'attendent plus que mes ordres. La pluie commence a tomber, une grosse pluie lourde comme on en voit qu'ici, une grosse mousson qui dévaste tout. En deux minutes, nous sommes trempés et le sol se transforme en boue. La visibilité est subitement réduite de moitié. Voila qui n'est pas pour nous, mais sa va pas non plus aider les viets.
Spé6men est deja allongé ,le fusil pointé vers les gardes. Basix couvre nos arriere en mettant quelques bombes. Je le voix preparer le mortier, le réajuster en fonction de la pluie. Puis il s'allonge, et alligne méticuleusement cinq grenades devant lui. Elle seront pretes a etre envoyés si cela est necessaire. Lui aussi se met a charger son fusil et attendre.
Je m'éloigne un peu. Heldon se cache, mais je sens son regard de fouine fouiller les alentours. Sa y est, je le vois, acroupi devant un tronc, dans l'ombre. Son visage dégoulinant me donne un haut le coeur. L'eau ne peut pas laver certaines horreurs...
Je m'approche, un noeud au ventre. Nous nous mettons d'accord de la marche à suivre. Les boys nous couvrent, nous irons tous les deux au combat sur le pont. Nous nous rapprochons doucement, nous ne somme desormais qu'a quelques mettres des gardes.
Je leve la main, et prie pour Wanda.
L'attaque est donnée.
Spé6men est deja allongé ,le fusil pointé vers les gardes. Basix couvre nos arriere en mettant quelques bombes. Je le voix preparer le mortier, le réajuster en fonction de la pluie. Puis il s'allonge, et alligne méticuleusement cinq grenades devant lui. Elle seront pretes a etre envoyés si cela est necessaire. Lui aussi se met a charger son fusil et attendre.
Je m'éloigne un peu. Heldon se cache, mais je sens son regard de fouine fouiller les alentours. Sa y est, je le vois, acroupi devant un tronc, dans l'ombre. Son visage dégoulinant me donne un haut le coeur. L'eau ne peut pas laver certaines horreurs...
Je m'approche, un noeud au ventre. Nous nous mettons d'accord de la marche à suivre. Les boys nous couvrent, nous irons tous les deux au combat sur le pont. Nous nous rapprochons doucement, nous ne somme desormais qu'a quelques mettres des gardes.
Je leve la main, et prie pour Wanda.
L'attaque est donnée.
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19 Posté le 20/04/2006 à 13:18:31
Mais j'apercois, des batiments de l'autre côté du pont, je regarde dans ma lunette."Nom de dieu !!!", Basix a sursauté de m'entendre jurer à haute voix, il me regarde ébahi. Une usine de trucs chimiques, voilà pourquoi on nous a envoyé là, quand ce truc va péter on va s'en prendre plein la gueule avec le vent de face. je fais signe à Basix d'appeller JR, et, tout à coup, j'apercois cette ombre, ce regard que j'avais déjà vu l'autre fois, qui me fixe, c'est qui ce mec ? Voilà pourquoi je nous sentais observé, ca doit être un des ces enfoirés de "nettoyeur", au cas où l'un d'entre nous en réchappe, il sera là pour faire le ménage. Putain, c'est quoi cette mission ? Il faut que JR se dépêche de rappliquer pour que je lui rende compte de la situation, grouilles-toi BOSS !!!
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20 Posté le 20/04/2006 à 13:31:12
J'ai un mauvais pressentiment. Surement a cause d'Heldon. Ouais, ça doit etre ça. C'est a cause de lui que je me sent mal. C'est qu'un putain de pont, qu'un putain de pont! Pas de soucis à avoir.
Les premieres balles fuzent. Deux gardes sont HS de notre coté. Les quatres autres acourent: j'arme ma m16 et jete un bref regard à Heldon:
"SORT TON ARME!", je lui crie. Mais je le voit foncer avec son couteau sur les gardes. J'entend le sifflement des fusils sniper. Un nouveau garde tombe à proximité d'Heldon. Il presque l'air déçu de pas l'avoir dézingué et lui donne un grand coup de couteau dans l'abdomen, gratuitement. Il bondit sur un autre garde et l'égorge comme un chien. J'envoi une rafale sans meme me soucier d'Heldon, tant mieux pour lui s'il prend un pruneau. Les snipers siflent encore et les deux derniers gardes s'effondrent. Sa fait six: mission terminée.
Mais sur ma CB, j'entend basix qui me crie de revenir, que c'est un piege. A ce moment j'appercoit heldon fonçant vers un cabanon que je n'avais pas vu et dont s'échappent d'autres viets.
Heldon me hurle: "c'est maintenant que ça commence!" avec un rire qui ressemble plus à un hurlement de plaisir.
Merde, c'est quoi ce bourbier?
Les premieres balles fuzent. Deux gardes sont HS de notre coté. Les quatres autres acourent: j'arme ma m16 et jete un bref regard à Heldon:
"SORT TON ARME!", je lui crie. Mais je le voit foncer avec son couteau sur les gardes. J'entend le sifflement des fusils sniper. Un nouveau garde tombe à proximité d'Heldon. Il presque l'air déçu de pas l'avoir dézingué et lui donne un grand coup de couteau dans l'abdomen, gratuitement. Il bondit sur un autre garde et l'égorge comme un chien. J'envoi une rafale sans meme me soucier d'Heldon, tant mieux pour lui s'il prend un pruneau. Les snipers siflent encore et les deux derniers gardes s'effondrent. Sa fait six: mission terminée.
Mais sur ma CB, j'entend basix qui me crie de revenir, que c'est un piege. A ce moment j'appercoit heldon fonçant vers un cabanon que je n'avais pas vu et dont s'échappent d'autres viets.
Heldon me hurle: "c'est maintenant que ça commence!" avec un rire qui ressemble plus à un hurlement de plaisir.
Merde, c'est quoi ce bourbier?
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Sp6mn ats
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21 Posté le 20/04/2006 à 13:49:13
Je vois cet enfoiré qui nous suivait depuis deux jours courir vers un baraquement d'où s'échappe des vietcongs et qui, apparemment, est le batiment central du camp. JR est déjà sur le pont, pas le choix; si l'autre enfoiré fais péter cette baraque, on est tous mort, j'ajuste mon tir, je vise le genou ... "BLAM" ... il s'étale sur le sol, regardes sa jambe et c'est la première fois que j'ai l'impression qu'il a une tête humaine, il essaie de continuer à ramper vers le baraquement, Je recharges, je vise ... "BLAM" ... Son bras droit est HS, je ne sais pas pourquoi, mais je sais que je ne dois pas le tuer, juste l'empêcher de faire ce qu'il a à faire. Je descend de l'arbre, Changes mon fusil Springfield contre mon bon vieux m16/m203 et commence à crapahuter vers le pont, j'ai jamais couru aussi vite. J'arrive au niveau de JR qui n'a pas l'air de comprendre ce qui se passe, BASIX m'emboîte le pas, je dézingue tout les ennemis que je voient, mais ils sont plus occuper à fuir qu'à défendre leur camp. J'arrive au niveau de l'autre enfoiré, le ramasse, je le colle sur mes épaules et repart dans l'autre sens, basix me couvre. Arrivé au niveau de JR, je gueule : " On se barre BOSS, c'était un putain de piège !!! Faut qu'on soit loin de là quand ca va péter !!!" JR annonce le repli, tout le monde se met à courir.
Je ne sait pas combien de temps on a couru comme des mecs qui ont vu le diable, mais ce que je sais, c'est que quand on a entendu l'explosion, on était déjà au moins à bonne distance pour pas respirer les saloperies qu'il y avait dans ce camp. Tout le monde se regarde sans comprendre ce qui vient de se passer. Le mec qui nous suivait "Heldon", est en train de se faire soigner par le doc et je vois JR qui s'approche de moi ...
Je ne sait pas combien de temps on a couru comme des mecs qui ont vu le diable, mais ce que je sais, c'est que quand on a entendu l'explosion, on était déjà au moins à bonne distance pour pas respirer les saloperies qu'il y avait dans ce camp. Tout le monde se regarde sans comprendre ce qui vient de se passer. Le mec qui nous suivait "Heldon", est en train de se faire soigner par le doc et je vois JR qui s'approche de moi ...
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22 Posté le 20/04/2006 à 14:04:04
"ce bleu a eu de sacré reflexe.
_"Appelle les hélico" que j'lui dis. On rentre."
Je vois l'autre enfoiré de Heldon dont le visage se tord à la fois de douleur et de plaisir. Il fixe Sp6men ,qui meme géné soutient son regard. Je suis fier de mes boys ce soir. Baisx me demand qui c'est. Je fais mine de pas entendre. On attend les héllicos dans le silence. La mission est terminée, on rentre.
Un fois à la base ,je fonce tete baisé dans le bureau du général, sans meme me changer. Je lui dégueulasse son putain de parquet avec mes grosses botes toutes boueuses. Il fanfaronne avec ses photos de lui accrochés au murs, ou on le voit en jeune lieutenant en Corée. Je lui demande des explication. Il prend a peine le temps de retirer son cigare de son bec pour me lacher un "top secret" , puis me tend un nouvel ordre de mission. J'ouvre le dossier. Ce gros porc m'a assigné Heldon dans mon equipe réguliere. Je lui balance à la gueule, et je vais me doucher. Faut que je sois propre pour entrer dans la maison du seuigneur. J'ai pas mal de choses à me faire confesser aujourd'hui...
_"Appelle les hélico" que j'lui dis. On rentre."
Je vois l'autre enfoiré de Heldon dont le visage se tord à la fois de douleur et de plaisir. Il fixe Sp6men ,qui meme géné soutient son regard. Je suis fier de mes boys ce soir. Baisx me demand qui c'est. Je fais mine de pas entendre. On attend les héllicos dans le silence. La mission est terminée, on rentre.
Un fois à la base ,je fonce tete baisé dans le bureau du général, sans meme me changer. Je lui dégueulasse son putain de parquet avec mes grosses botes toutes boueuses. Il fanfaronne avec ses photos de lui accrochés au murs, ou on le voit en jeune lieutenant en Corée. Je lui demande des explication. Il prend a peine le temps de retirer son cigare de son bec pour me lacher un "top secret" , puis me tend un nouvel ordre de mission. J'ouvre le dossier. Ce gros porc m'a assigné Heldon dans mon equipe réguliere. Je lui balance à la gueule, et je vais me doucher. Faut que je sois propre pour entrer dans la maison du seuigneur. J'ai pas mal de choses à me faire confesser aujourd'hui...
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Heldon jazzyTron
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23 Posté le 20/04/2006 à 15:49:24
J'ouvre délicatement la porte de la chambre 52. La tenue d'infirmier que j'ai prise me va presque, un peu serrée, mais grâce à ce foutu régime dans la jungle, les quelques kilos surperflus qui me restaient sont partis engraisser les feuille de lotus des environs.
Tant pis pour celui qui en était le propiétaire.
1) il résistait et ne voulait pas me donner sa tenue
2) les ordres...on sait ce que c'est surtout si c'est moi qui me les donne
3) un peu d'exercice ça fait toujours pas de mal...
Tout ceci étant, la partie hôpital du camp était relativement calme et la plupart des gars que j'avais suivis pendant un bon moment se relaxait en sirotant des verres d'eau en guise d'apéro. Trop affaiblis pour reprendre de l'alcool, il occupait la cantine en se repassant les scènes de leur mission.
J'entends que ma supposée présence les laisse on ne peut plus perplexe. J'entends le contact 001 déclarer qu'il n'a pas vraiment viser et que tant mieux si une balle avait fracassé la tête du malheureux marines que j'avais envoyé à ma place.
L'avantage d'un subalterne, c'est qu'il criot à son avancement pour une petite mission.
Quand j'ai vu ces gars s'organiser à tout faire sauter, et le regard douteux de ce contact, j'ai bien compris que soit je les faisait sauter en cas de pépin, soit ils me butaient pour éviter le petit 1, soit enfin....un évènement supplémentaire allait changer la donne.
Le matin de l'assaut, un des 3 "boys" que l'on m'avait assigné avait commis une faute grave en "craquant" : manger les rations de survie de ses potes, le 1e matin de leur arrivée discrète par l'autre flan de la montagne, alors que bibi faisait dans le végétarien depuis plus d'une semaine...ça peut arriver à vous irriter.
Il était un peu plus grand et plus gros...tant mieux me disais-je, "si les autres le finissent, ils auront plus de marge pour l'avoir, ça fera un crétin de moins dans cette armée, ça disciplinera d'autant les 2 autres gars, et moi ça m'évite de sérieuses possiblités d'être endommagé."
"Tihouss...tu es dans l'armée depuis combien de temps..?..."lui avais-je demandé.
"bin euhm'sieur..2puiPasTroLontem"
"tu me parles pas en texto s'il te plait..."
"Euh...depuis 7 mois m'sieur..."
"Bon, et bien tu as l'occasion de te racheter ! Je t'envoie faire une mission simple, mais attention, c'est du top secret. Si tu parles, si tu dis quoi que ce soit..attends toi au pire...tu connais l'homme en noir..il ne rigole pas tu sais.."
"Coool M'sieur ! Je fais quoi ????"
et là..je lui avais indiqué la marche à suivre : bondir sur les viets d'en face, courir d'un coup, provoquer nos gars, leur crier un truc débile, puis aller vers le baraquement...de toute façon, s'ils l'avaient raté...je l'aurait eu moi.
Mais d'un autre coté...mieux valait qu'ils le récupèrent, que l'on s'en tienne là, les viets étaient finis, pour les gars, les miens, et ce qu'ils allaient raconter en haut lieu...on gardait la tête haute comme ça.
Le premier hélico ramassa tihouss et les autres sbires du contact.
Le deuxième hélico nous chercha
Le dernier hélico termina de tout faire sauter
J'ouvre la porte de cette chambre 52, où était tihouss agonisant.
Ma lame dans la poche je m'approche du lit.
"Si j'étais vous je laisserais faire un professionel. Il est temsp pour vous de me laisser faire. Vous avez été assez brouillon comme ça!"
Cette voix...je la reconnaissais ! Non de non, j'ai pas peur de grand chose mais...l'homme en noir, LE netoyeur des forces AF...celui qui a toujours la cigarette au coin des lèvres dont on ne voit généralement que lesyeux bleus gris....
Le commandant Barnee était là ! Derrière moi, une seringue dans la mais.
"cassez vous HJT, vite, C mon boulot, et je n'ai pas à assuyer les platres d'un QI négatif comme vous".
Sans demander mon reste, j'avoue être vite parti. Après avoir enfiler une tenue de pilote, venant d'un pilote un peu obèse, au moins j'acvais de la place dans cette combi là, je prends un hélico pour me rendre à MA base. Loin de là.
Le lendemain, rasé et lavé, je rencontre mon chef suprème pour mon rapport.
Tant pis pour celui qui en était le propiétaire.
1) il résistait et ne voulait pas me donner sa tenue
2) les ordres...on sait ce que c'est surtout si c'est moi qui me les donne
3) un peu d'exercice ça fait toujours pas de mal...
Tout ceci étant, la partie hôpital du camp était relativement calme et la plupart des gars que j'avais suivis pendant un bon moment se relaxait en sirotant des verres d'eau en guise d'apéro. Trop affaiblis pour reprendre de l'alcool, il occupait la cantine en se repassant les scènes de leur mission.
J'entends que ma supposée présence les laisse on ne peut plus perplexe. J'entends le contact 001 déclarer qu'il n'a pas vraiment viser et que tant mieux si une balle avait fracassé la tête du malheureux marines que j'avais envoyé à ma place.
L'avantage d'un subalterne, c'est qu'il criot à son avancement pour une petite mission.
Quand j'ai vu ces gars s'organiser à tout faire sauter, et le regard douteux de ce contact, j'ai bien compris que soit je les faisait sauter en cas de pépin, soit ils me butaient pour éviter le petit 1, soit enfin....un évènement supplémentaire allait changer la donne.
Le matin de l'assaut, un des 3 "boys" que l'on m'avait assigné avait commis une faute grave en "craquant" : manger les rations de survie de ses potes, le 1e matin de leur arrivée discrète par l'autre flan de la montagne, alors que bibi faisait dans le végétarien depuis plus d'une semaine...ça peut arriver à vous irriter.
Il était un peu plus grand et plus gros...tant mieux me disais-je, "si les autres le finissent, ils auront plus de marge pour l'avoir, ça fera un crétin de moins dans cette armée, ça disciplinera d'autant les 2 autres gars, et moi ça m'évite de sérieuses possiblités d'être endommagé."
"Tihouss...tu es dans l'armée depuis combien de temps..?..."lui avais-je demandé.
"bin euhm'sieur..2puiPasTroLontem"
"tu me parles pas en texto s'il te plait..."
"Euh...depuis 7 mois m'sieur..."
"Bon, et bien tu as l'occasion de te racheter ! Je t'envoie faire une mission simple, mais attention, c'est du top secret. Si tu parles, si tu dis quoi que ce soit..attends toi au pire...tu connais l'homme en noir..il ne rigole pas tu sais.."
"Coool M'sieur ! Je fais quoi ????"
et là..je lui avais indiqué la marche à suivre : bondir sur les viets d'en face, courir d'un coup, provoquer nos gars, leur crier un truc débile, puis aller vers le baraquement...de toute façon, s'ils l'avaient raté...je l'aurait eu moi.
Mais d'un autre coté...mieux valait qu'ils le récupèrent, que l'on s'en tienne là, les viets étaient finis, pour les gars, les miens, et ce qu'ils allaient raconter en haut lieu...on gardait la tête haute comme ça.
Le premier hélico ramassa tihouss et les autres sbires du contact.
Le deuxième hélico nous chercha
Le dernier hélico termina de tout faire sauter
J'ouvre la porte de cette chambre 52, où était tihouss agonisant.
Ma lame dans la poche je m'approche du lit.
"Si j'étais vous je laisserais faire un professionel. Il est temsp pour vous de me laisser faire. Vous avez été assez brouillon comme ça!"
Cette voix...je la reconnaissais ! Non de non, j'ai pas peur de grand chose mais...l'homme en noir, LE netoyeur des forces AF...celui qui a toujours la cigarette au coin des lèvres dont on ne voit généralement que lesyeux bleus gris....
Le commandant Barnee était là ! Derrière moi, une seringue dans la mais.
"cassez vous HJT, vite, C mon boulot, et je n'ai pas à assuyer les platres d'un QI négatif comme vous".
Sans demander mon reste, j'avoue être vite parti. Après avoir enfiler une tenue de pilote, venant d'un pilote un peu obèse, au moins j'acvais de la place dans cette combi là, je prends un hélico pour me rendre à MA base. Loin de là.
Le lendemain, rasé et lavé, je rencontre mon chef suprème pour mon rapport.
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La vie, c'est comme un train de montagne
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24 Posté le 20/04/2006 à 16:20:23
Je me levais inquiet ce matin là. A demi nu sur mon lit de camps, je n'y croyais pas. Mes yeux me piquaient, je les sentais gonflés par la fatigue.
Une part de mon café vint s'étaller sur le dit rapport, tant j'étais surpris, abasourdi. Une clope allait achever de me reveiller.
Bordel, c'était pas heldon qui nous avait rejoint! C'était un guignol! Un baltringue! Mais merde! A quoi pouvait jouer les huiles là haut! D'ailleur , ce mysterieux contact qui nous avait rejoins ressemblait tellement à la photo du rapport... Merde, on m'avait berné depuis le debut. C'est facile, quand on est en haut, de falsifier un rapport. J'imagine que cet intrus avait eu l'ordre de se faire repérer et d'agir comme le vrai... Heldon devait surement observer la scene de loin... c'était peu etre pour lui les hélicos que l'on avait croisé au retour. Je sais plus quoi penser, je suis paumé. C'est à ce moment là qu'une jeune bidasse de meme pas 17 ans entre dans ma chambrée.
"Cap'tain! Ils disent qu'il y a eu un mort, que vous devez venir, que c'est un de vos homme!"
Je bondis hors de ma chambre. On touche pas à mes boys. Par chance, je les croise sur le palier, tous les deux, indemne. Je me calme. Je marche tranquilement vers le lieu du crime.
C'est heldon. Le faux. Il git dans son lit, les yeux révulsé. Merde. Surement le vrai qui a effacé les traces. J'aurai meme pas le temps de l'interoger à ma maniere. C'est louche tout ça, sa baigne dans la merde.
Je bondi dans le bureau du general en criant. Il n'a meme pas un regard pour moi. Son dedain est à son comble. Il me traite de vieux mastoc incapable de mener à bien une mission et de controler mes boys. J'enrage.
Je le laisse faire. Il me briefe rapidement pour la prochaine mission.
Deux jour plus tard. Les hélicos sont là et nous attendent
Avec mon commando, on doit nettoyer un village viet cong qui servirait à ravitailler les cocos. Heldon n'a pas été rayé de ma liste, je craind la confrontation. J'ai plus les boules que jamais.
Une part de mon café vint s'étaller sur le dit rapport, tant j'étais surpris, abasourdi. Une clope allait achever de me reveiller.
Bordel, c'était pas heldon qui nous avait rejoint! C'était un guignol! Un baltringue! Mais merde! A quoi pouvait jouer les huiles là haut! D'ailleur , ce mysterieux contact qui nous avait rejoins ressemblait tellement à la photo du rapport... Merde, on m'avait berné depuis le debut. C'est facile, quand on est en haut, de falsifier un rapport. J'imagine que cet intrus avait eu l'ordre de se faire repérer et d'agir comme le vrai... Heldon devait surement observer la scene de loin... c'était peu etre pour lui les hélicos que l'on avait croisé au retour. Je sais plus quoi penser, je suis paumé. C'est à ce moment là qu'une jeune bidasse de meme pas 17 ans entre dans ma chambrée.
"Cap'tain! Ils disent qu'il y a eu un mort, que vous devez venir, que c'est un de vos homme!"
Je bondis hors de ma chambre. On touche pas à mes boys. Par chance, je les croise sur le palier, tous les deux, indemne. Je me calme. Je marche tranquilement vers le lieu du crime.
C'est heldon. Le faux. Il git dans son lit, les yeux révulsé. Merde. Surement le vrai qui a effacé les traces. J'aurai meme pas le temps de l'interoger à ma maniere. C'est louche tout ça, sa baigne dans la merde.
Je bondi dans le bureau du general en criant. Il n'a meme pas un regard pour moi. Son dedain est à son comble. Il me traite de vieux mastoc incapable de mener à bien une mission et de controler mes boys. J'enrage.
Je le laisse faire. Il me briefe rapidement pour la prochaine mission.
Deux jour plus tard. Les hélicos sont là et nous attendent
Avec mon commando, on doit nettoyer un village viet cong qui servirait à ravitailler les cocos. Heldon n'a pas été rayé de ma liste, je craind la confrontation. J'ai plus les boules que jamais.
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Anonyme
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25 Posté le 20/04/2006 à 19:24:37
Après un bon repos, bien mérité, sp6mn me dit que l'on doit repartir.je fini ma lettre à papa et maman et je la ferme pas, de toute façon les gars de la censure me l'aurait ouverte pour voir si je dis pas la vérité sur ce qu'on bute.
mon garand dans la main, frais nettoyé du soir, j'empoche le silencieux qui traine et embarque la thompson.vérification des grenades ok.le couteau toujours à la cheville et les rations de survie dans la poche, je sort de la chambre. sp6mn m'attend et Jr parle avec le pilote. et le gars qui nous a suivi dans l'affaire du pont est toujours là, me fait un sourire sadique, découvrant des dents pourris jusqu'à la moelle épinière. je l'aime vraiment pas ce mec, faudra demander au boss ce qu'il fout là.
on embarque et Jr commence le briefing en vol. on doit raser un village qui ravitaille les viets. quand je vois heldon avec un lance flamme au napalm, je me dis que va falloir avoir des yeux dans le dos pour cette mission.
l'hélico nous dépose un peu au sud de l'objectif, en retrait. je dois buter avec sp6mn les sentinelles et tout ce qui bouge. je vise un viet sur le mirador a gauche, sp6mn me fais signe qu'il s'occupe des 2 autres en bas. je m'applique, et là j'entend une détonation sourde. je me tourne, et la je vois sp6mn tordu de rire ! ce con m'a largué une caisse à la gueule !!! Jr nous fais signe de nous calmer et que cette mission, c'est du sérieux, puis il va se mettre 300 metres plus loin, prèt pour l'assaut avec les autres.heldon bave de plaisir à l'idée de se servir de son lance-flamme, j'aimerais pas faire l'assaut avec lui. je me rconcentre sur la sentinelle, et quand Jr me fais signe je l'aligne.Sp6mn a déja descendu les autres et une patrouille arrive !!
l'attaque commence ...
mon garand dans la main, frais nettoyé du soir, j'empoche le silencieux qui traine et embarque la thompson.vérification des grenades ok.le couteau toujours à la cheville et les rations de survie dans la poche, je sort de la chambre. sp6mn m'attend et Jr parle avec le pilote. et le gars qui nous a suivi dans l'affaire du pont est toujours là, me fait un sourire sadique, découvrant des dents pourris jusqu'à la moelle épinière. je l'aime vraiment pas ce mec, faudra demander au boss ce qu'il fout là.
on embarque et Jr commence le briefing en vol. on doit raser un village qui ravitaille les viets. quand je vois heldon avec un lance flamme au napalm, je me dis que va falloir avoir des yeux dans le dos pour cette mission.
l'hélico nous dépose un peu au sud de l'objectif, en retrait. je dois buter avec sp6mn les sentinelles et tout ce qui bouge. je vise un viet sur le mirador a gauche, sp6mn me fais signe qu'il s'occupe des 2 autres en bas. je m'applique, et là j'entend une détonation sourde. je me tourne, et la je vois sp6mn tordu de rire ! ce con m'a largué une caisse à la gueule !!! Jr nous fais signe de nous calmer et que cette mission, c'est du sérieux, puis il va se mettre 300 metres plus loin, prèt pour l'assaut avec les autres.heldon bave de plaisir à l'idée de se servir de son lance-flamme, j'aimerais pas faire l'assaut avec lui. je me rconcentre sur la sentinelle, et quand Jr me fais signe je l'aligne.Sp6mn a déja descendu les autres et une patrouille arrive !!
l'attaque commence ...
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