Sujet Le déclin du monde lié au pétrole
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Anonyme
http://wolf.readinglitho.co.uk/francais/index.html
Anonyme
ca fait un peu flipper tout ca
Anonyme
sebdem
Par contre, essaie l'ovomaltine, c sans risque.
multiform
Citation : Bon j'ai trouvé une solution entierement par hasard, j'etais en panne d'essence et comme j'etais loin de tout, j'ai tenté de mette de l'eau avec un peu de nesquik. et bien ça marche plutôt bien! bon j'ai moins de reprise en seconde mais ça m'a bien dépanné quand même!
Darda mise toutsur le Nesquick, flambé des cours du nesquick (je me disais qu'il avait un peu pris le Darda ces temps-ci)
Anonyme
Citation : Le monde bientôt en manque de pétrole?
NEW YORK (AP) - Et si l'or noir, combustible de l'économie mondiale depuis des décennies, venait à manquer... La question se pose si l'on en croit les experts qui prédisent un prochain déclin de la production mondiale et une augmentation vertigineuse du cours de brut, avec les répercussions que cela implique pour les pays consommateurs.
Certains experts prédisent que, dès cette année ou en 2006 et certainement avant la fin de la décennie, la production mondiale de pétrole, après avoir crû fortement depuis un siècle, aura atteint son apogée et commencera inexorablement à décliner.
Selon leur théorie, le prix du pétrole commencera alors à flamber de manière spectaculaire et les grands pays consommateurs connaîtront une inflation galopante, du chômage et de l'instabilité. Le géologue Kenneth Deffeyes de l'université de Princeton pronostique "un état permanent de pénurie de pétrole".
Selon ces experts, il faudra au minimum une décennie avant que des mesures d'économie d'énergie et des innovations technologiques ne permettent de compenser le déséquilibre entre la demande et l'offre déclinante de brut, et même ainsi la situation sera précaire.
Reste que beaucoup d'économistes réfutent ce scénario catastrophe. La plupart des analystes du secteur pensent que la production va continuer à augmenter pendant au moins 30 ans. Ils estiment que les énergies de substitution permettront alors une transition en douceur vers l'ère post-pétrole. "La civilisation industrielle ne va pas s'effondrer", assure Michael Lynch, président de Recherche économique et énergies stratégiques (SEER), un institut basé aux Etats-Unis.
Les partisans de cette théorie rassurante estiment que les forces du marché réguleront le déséquilibre, des prix élevés incitant les producteurs à pomper davantage de brut et les consommateurs à faire des économies d'énergie.
Mais M. Deffeyes et beaucoup d'autres géologues contestent cette analyse libérale. L'Arabie saoudite, la Russie, la Norvège et d'autres grands producteurs sont déjà au maximum de leur capacité de production, soulignent-ils. La seule manière d'augmenter la production serait de mettre au jour de nouveaux gisements, mais, hormis quelques exceptions, il ne reste plus grand chose à découvrir.
"Les économistes pensent tous que si vous vous présentez au guichet avec assez d'argent, Dieu remettra du pétrole dans le sol", ironise M. Deffeyes.
Pour Robert Hirsch, un analyste en énergie du cabinet californien Science Applications International, le doute subsiste sur ce qui va réellement se passer. Mais il ajoute que "beaucoup de professionnels compétents sont très pessimistes".
Ceux-ci ont sans doute en mémoire un précédent célèbre aux Etats-Unis: en 1956, le géologue King Hubbert avait prédit que la production de pétrole atteindrait son pic en 1970 dans le pays. Stupéfaits, ses supérieurs à la compagnie Shell ont tenté de le dissuader de rendre ses travaux publics. Ses pairs ont accueilli son analyse avec scepticisme, mais il s'est avéré que Hubbert avait bel et bien raison: la production américaine de brut a atteint son point culminant en 1970 et n'a cessé depuis de décliner.
Il y a quelques années, les géologues ont commencé à appliquer les méthodes de Hubbert à l'ensemble de la production mondiale. Leurs recherches indiquent que celle-ci culminera dans le courant de la décennie. M. Deffeyes pense que le pic se produira fin 2005 ou début 2006. Matthew Simmons, analyste d'une banque d'affaires de Houston, situe plutôt cette échéance entre 2007 et 2009.
Selon M. Hirsch, la date exacte n'a pas vraiment d'importance car, selon lui, il est déjà trop tard pour éviter les effets de la pénurie. Dans une analyse réalisée pour le département américain de l'Energie en février, il conclut qu'il faudra plus d'une décennie pour que l'économie américaine s'adapte à la baisse de l'offre de brut.
Toutefois, certains considèrent que Hubbert a simplement eu de la chance dans ses prévisions, et de nombreux experts ne voient pas pourquoi la production de pétrole atteindrait un pic, jugeant qu'elle pourrait rester stable sur une longue période et laisser ainsi le temps à l'économie de se convertir à des énergies de substitution.
"Même dans 30 ou 40 ans, il y aura encore d'énormes quantités de pétrole au Moyen-Orient", soutient Daniel Sperling, directeur de l'Institut des études sur le transport à l'Université de Californie. Le débat est donc loin d'être tranché... AP
VFred
VFred
nova akropola
et pis en france on a le NUCLEAIRE plus fort que tout les petroles
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