Sujet Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive
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Je croyais qu'il valait 75M€...
Darquandier
2027
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
Anonyme
521410
Hors sujet : Salut, non je l'allume plus car il me gèle ma connexion 9 fois sur 10 sinon 
Chuck Van Damme
7956
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Anonyme
521410
Hors sujet : non, je cherche le problème, ça doit être tout con, ça marchait bien avant, mon pc est sain... 
Chuck Van Damme
7956
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Citation : En discussion avec leurs homologues d’Everton depuis plusieurs semaines, les dirigeants de Manchester United ont finalisé l’arrivée de Wayne Rooney. Le jeune attaquant anglais signera un contrat une fois la visite médicale passée. Le montant du transfert est de 37 M€
Je croyais qu'il valait 75M€...Pulk
6123
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
Putain je m'absente 3h je reviens et tous les clubs ont peté un cable!!!!
Ibrahomivc + Canavarro a la Juventus
Mido a l'AS Roma
Fiorese préssenti a Marseille
Wiltord a Lyon ou Monaco qui se met sur les rangs
Rooney a Manchester
ils ont tous peté un boullon
Ibrahomivc + Canavarro a la Juventus
Mido a l'AS Roma
Fiorese préssenti a Marseille
Wiltord a Lyon ou Monaco qui se met sur les rangs
Rooney a Manchester
ils ont tous peté un boullon
Audiofanzine Football Club
Pulk
6123
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
VIKASH DHORASOO a été rappelé par Domenech, hier soir, pour remplacer Diarra.
La relation entre l’équipe de France et Vikash Dhorasoo s’est longtemps apparentée à une histoire d’amour contrariée. Après y avoir débuté en remplaçant Robert Pires à la 84e minute de France-Ukraine (0-0, le 27 mars 1999), puis avoir été titularisé contre Andorre (1-0 à Barcelone, le 9 juin 99, remplacé par Pires à la 61e minute), le Lyonnais n’avait plus jamais été retenu par Roger Lemerre, puis par Jacques Santini. Mais hier soir, Raymond Domenech, son ancien entraîneur en Espoirs, a rappelé le néo-Milanais pour compenser le forfait d’Alou Diarra (Lens).
« QUAND AVEZ-VOUS appris votre sélection ?
– Raymond Domenech m’a téléphoné à 19 h 30 (lundi) pour me dire qu’il m’attendait le plus tôt possible à Clairefontaine, demain (aujourd’hui).
– À quoi attribuez-vous votre retour en grâce ?
– Au nouveau sélectionneur et à mes dernières saisons en France. Après, beaucoup de joueurs doivent penser à un moment donné qu’ils méritent la sélection. Or, elle ne se trouve pas liée qu’à ça. La preuve : je reviens alors que je n’ai pas encore joué un match en Serie A. Il ne s’agit donc pas que d’une question de performances du moment mais de toute une série de paramètres.
– Vous vous attendiez donc à être rappelé ?
– Disons que j’y croyais depuis que Domenech a été nommé sélectionneur. Le fait de recevoir une présélection pour le match contre la Bosnie-Herzégovine constituait déjà un signe fort. Cela m’a touché. J’ai alors repris espoir. Je pensais pourtant que l’équipe de France, c’était terminé pour moi. Je n’y avais plus été appelé depuis cinq années durant desquelles j’ai eu le sentiment de réussir de bonnes saisons. Mais je ne figurais même pas dans les présélections.
– Santini ne vous a donc laissé aucune chance ?
– C’est à lui qu’il faut poser la question.
– Comment avez-vous vécu le fait de n’avoir jamais été pressenti pour l’Euro alors que vous veniez d’être élu meilleur joueur de la saison en L 1 (par L’Équipe et France Football) ?
– Je ne reviens pas pour gommer une injustice. J’ai d’ailleurs toujours pensé qu’il n’y avait pas vraiment de justice dans le football. Pas plus que je n’ai envie de juger ce qui m’est arrivé ces cinq dernières années. Jouer au stade Gerland a été fantastique pour moi. J’ai disputé la Ligue des champions avec Lyon, gagné deux titres de champion et deux Coupes de la Ligue (dont la première avec Bordeaux). Et aujourd’hui, je suis au Milan AC. Bref, j’étais heureux comme cela.
– Ne regrettez-vous pas d’être parti à l’étranger au moment où la sélection se tourne à nouveau vers la L 1 ?
– Je n’ai jamais fait évoluer ma carrière en fonction de l’équipe de France. Je n’ai donc pas signé au Milan pour augmenter mes chances d’y revenir. Je me sentais déjà comblé au Milan sans l’équipe de France. Je le suis désormais encore plus en la retrouvant. Il s’agit en fait de deux bonheurs dissociés, parallèles.
– Votre bannissement de la sélection ne vous aurait donc jamais blessé ?
– J’ai été déçu au début. C’est normal. Quand tu te sens bon, tu espères bénéficier d’une nouvelle chance. Mais plus on vieillit, moins on pense à l’équipe de France. Ne plus y appartenir ne m’a jamais atteint. Car le simple fait de jouer au football me rend heureux.
– Qu’attendez-vous de ce retour ?
– Cela montre tout d’abord que des gens croient encore en moi. J’y reviens avec mes qualités et pour y prendre du plaisir… (Il marque une pause.) Franchement, je suis très content de retrouver les Bleus.
– Même si ces retrouvailles ne s’effectuent qu’à trente ans ?
– Cela va vous sembler bizarre, mais au Milan, un joueur est encore jeune à cet âge. Personnellement, je suis frais. Malgré les saisons pleines que je viens de réaliser à Lyon, j’ai toujours bénéficié de périodes de repos. Revenir en sélection à cet âge me permet d’être plus conscient, davantage serein et tranquille. Je reviens donc avec l’expérience d’un joueur de trente ans doté de l’état d’esprit d’un jeune.
– Appréhendez-vous vos retrouvailles avec des Bleus qui semblent en pleine décomposition ou en pleine reconstruction, c’est selon ?
– J’avais tellement mis une croix sur la sélection que je m’en trouve un peu déconnecté aujourd’hui. Je sais que l’équipe de France peut beaucoup me donner. Je vais m’attacher en retour à lui donner quelque chose. Je ne la retrouve pas avec l’envie de rattraper le temps perdu mais pour l’aider à se rebâtir un présent et un futur immédiat. »
La relation entre l’équipe de France et Vikash Dhorasoo s’est longtemps apparentée à une histoire d’amour contrariée. Après y avoir débuté en remplaçant Robert Pires à la 84e minute de France-Ukraine (0-0, le 27 mars 1999), puis avoir été titularisé contre Andorre (1-0 à Barcelone, le 9 juin 99, remplacé par Pires à la 61e minute), le Lyonnais n’avait plus jamais été retenu par Roger Lemerre, puis par Jacques Santini. Mais hier soir, Raymond Domenech, son ancien entraîneur en Espoirs, a rappelé le néo-Milanais pour compenser le forfait d’Alou Diarra (Lens).
« QUAND AVEZ-VOUS appris votre sélection ?
– Raymond Domenech m’a téléphoné à 19 h 30 (lundi) pour me dire qu’il m’attendait le plus tôt possible à Clairefontaine, demain (aujourd’hui).
– À quoi attribuez-vous votre retour en grâce ?
– Au nouveau sélectionneur et à mes dernières saisons en France. Après, beaucoup de joueurs doivent penser à un moment donné qu’ils méritent la sélection. Or, elle ne se trouve pas liée qu’à ça. La preuve : je reviens alors que je n’ai pas encore joué un match en Serie A. Il ne s’agit donc pas que d’une question de performances du moment mais de toute une série de paramètres.
– Vous vous attendiez donc à être rappelé ?
– Disons que j’y croyais depuis que Domenech a été nommé sélectionneur. Le fait de recevoir une présélection pour le match contre la Bosnie-Herzégovine constituait déjà un signe fort. Cela m’a touché. J’ai alors repris espoir. Je pensais pourtant que l’équipe de France, c’était terminé pour moi. Je n’y avais plus été appelé depuis cinq années durant desquelles j’ai eu le sentiment de réussir de bonnes saisons. Mais je ne figurais même pas dans les présélections.
– Santini ne vous a donc laissé aucune chance ?
– C’est à lui qu’il faut poser la question.
– Comment avez-vous vécu le fait de n’avoir jamais été pressenti pour l’Euro alors que vous veniez d’être élu meilleur joueur de la saison en L 1 (par L’Équipe et France Football) ?
– Je ne reviens pas pour gommer une injustice. J’ai d’ailleurs toujours pensé qu’il n’y avait pas vraiment de justice dans le football. Pas plus que je n’ai envie de juger ce qui m’est arrivé ces cinq dernières années. Jouer au stade Gerland a été fantastique pour moi. J’ai disputé la Ligue des champions avec Lyon, gagné deux titres de champion et deux Coupes de la Ligue (dont la première avec Bordeaux). Et aujourd’hui, je suis au Milan AC. Bref, j’étais heureux comme cela.
– Ne regrettez-vous pas d’être parti à l’étranger au moment où la sélection se tourne à nouveau vers la L 1 ?
– Je n’ai jamais fait évoluer ma carrière en fonction de l’équipe de France. Je n’ai donc pas signé au Milan pour augmenter mes chances d’y revenir. Je me sentais déjà comblé au Milan sans l’équipe de France. Je le suis désormais encore plus en la retrouvant. Il s’agit en fait de deux bonheurs dissociés, parallèles.
– Votre bannissement de la sélection ne vous aurait donc jamais blessé ?
– J’ai été déçu au début. C’est normal. Quand tu te sens bon, tu espères bénéficier d’une nouvelle chance. Mais plus on vieillit, moins on pense à l’équipe de France. Ne plus y appartenir ne m’a jamais atteint. Car le simple fait de jouer au football me rend heureux.
– Qu’attendez-vous de ce retour ?
– Cela montre tout d’abord que des gens croient encore en moi. J’y reviens avec mes qualités et pour y prendre du plaisir… (Il marque une pause.) Franchement, je suis très content de retrouver les Bleus.
– Même si ces retrouvailles ne s’effectuent qu’à trente ans ?
– Cela va vous sembler bizarre, mais au Milan, un joueur est encore jeune à cet âge. Personnellement, je suis frais. Malgré les saisons pleines que je viens de réaliser à Lyon, j’ai toujours bénéficié de périodes de repos. Revenir en sélection à cet âge me permet d’être plus conscient, davantage serein et tranquille. Je reviens donc avec l’expérience d’un joueur de trente ans doté de l’état d’esprit d’un jeune.
– Appréhendez-vous vos retrouvailles avec des Bleus qui semblent en pleine décomposition ou en pleine reconstruction, c’est selon ?
– J’avais tellement mis une croix sur la sélection que je m’en trouve un peu déconnecté aujourd’hui. Je sais que l’équipe de France peut beaucoup me donner. Je vais m’attacher en retour à lui donner quelque chose. Je ne la retrouve pas avec l’envie de rattraper le temps perdu mais pour l’aider à se rebâtir un présent et un futur immédiat. »
Audiofanzine Football Club
Lebenn
7160
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Grand Monsieur ce Vikash 
C'est cool de le revoir.
Sinon j'ai pas pu tout lire depuis mon retour de vacances, mais Saviola à Monaco ça va cartonner !!!
C'est cool de le revoir.Sinon j'ai pas pu tout lire depuis mon retour de vacances, mais Saviola à Monaco ça va cartonner !!!
Chuck Van Damme
7956
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
C'est pas Santini qui l'avait envoyé à bordeaux en prêt ?
Pu***, il a pas intérêt l'en******
Et Paris dans tout ça ? Ah oui, on a recruté Pancrate, super attaquant de L2
Citation : Fiorese préssenti a Marseille
Pu***, il a pas intérêt l'en******
Et Paris dans tout ça ? Ah oui, on a recruté Pancrate, super attaquant de L2
logan
3148
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
L'attaque de Manchester united : Rooney-Van nistelroy
C'téquipe de bourrins
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