Dans la série "femme de ménage", il y en avait une dans ma Résidence Universitaire, l'archétype de la commère, voyeuse, colporteuse de potins, et bien sûr moche comme un poux, voire pire.
Un matin de printemps, alors que je séchais tranquillement le cours, je dormais du sommeil du juste, et le seul draps qui me couvrait avait durant la nuit, décidé de faire sa propre vie, découvrant impudiquement les parties avantageuses de mon auguste corps d'Apollon.
C'est en entrouvrant un oeil, que je l'ai vu, elle, les yeux rivés sur ma trique matinale, fort impressionnante je le conçois, mais que j'évite d'exhiber d'habitude à un public non avertie, sinon invitée.
Cette grosse vache avait les clefs de la chambre, puisqu'elle faisait les poubelles, et ma présence ne l'a pas empêcher de s'immiscer dans ma carrée de manière éhonté, et surtout depuis un laps de temps indéfini.
N'ayant plus rien à cacher, c'est debout et débandant que je lui intimait l'ordre de foutre le camps assortit d'un "immonde vicelarde". Elle est partit en riant, pas du tout démontée, presque fière d'elle.
Je ne l'ai pas dénoncée, après tout, elle devait pas en voir souvent la pauvre. M'enfin,