Celle de Kurt Kobain m'a fait vraiment de la peine. Il a une jolie frimousse et surtout un sourire plein de joie malicieuse et quelques années plus tard, BAM.
C'est peut-être parce qu'il ressemble un peu à mon petit frère sur cette photo ? Ou le fait que je sois particulièrement sensibilisé au suicide des jeunes. Mais la juxtaposition de cette photo et du souvenir de Last Days fait un peu froid dans le dos.
Celle de Kurt Kobain m'a fait vraiment de la peine. Il a une jolie frimousse et surtout un sourire plein de joie malicieuse et quelques années plus tard, BAM.
En même temps, sans se réjouir de sa mort, sa dépression a offert quelque chose de grand et de beau au monde. Si Kurt Cobain avait été heureux, il aurait fait une mauvaise imitation de Michael Stipes et a l'heure ou on parle il tournerait dans une real TV pour payer son 4e divorce.
ça me rassure quand je vois ça, y a pas que moi qui avait une tête de ... à l'école (ou maintenant).
Je plussoie Will pour:
Citation :
Celle de Kurt Kobain m'a fait vraiment de la peine. Il a une jolie frimousse et surtout un sourire plein de joie malicieuse et quelques années plus tard, BAM.
Mouais. Le grand artiste qui doit forcément être malheureux ou déprimé... j'ai des doutes. D'abord, il y a pas mal de grands artistes qui n'ont pas besoin d'être au fond du désespoir pour sortir de grandes choses.
Ensuite, concernant la survie, ben quelques grands qui ont survécu, même à des périodes assez noires. Et ils n'ont pas forcément fait de la merde pour autant après.
Mais même si Kobain avait survécu et, soigné, perdu son inspiration, je préférerais qu'ils soit un has been vivant qu'une légende morte.
Et du fait quand sans un profond malheur (qu'on peut regretter ou pas suivant son degré d'empathie), elle n'aurait surement pas été la même.
Un Cobain heureux n'aurait surement ps eu le même impact sur toute une génération.
edit >
Citation :
je préférerais qu'ils soit un has been vivant qu'une légende morte.
un être humain de plus ou de moins, j'en ai globalement rien à foutre, et pourtant j'ai pleuré comme une madeleine en 1994. J'ai pas dit qu'un artiste doit forcément être malheureux, mais que CET artiste là a tellement investi son art comme une catharsis de son malheur existentiel, que sans malheur, l'oeuvre est forcément, et fondamentalement différente.