Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
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Anonyme
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
le reverend
Je vous rappelle que Sven ne se nourrit que de viande crue qu'il arrache avec les dents à même les carcasses d'animaux chassés dans les cheptels des villages attaqués à la masse d'armes.
j'avais lu "attaqués à la basse d'armes" ![]()
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Urban Koala
Le point commun, là, c'est la futilité, justement, mise en avant (!) par le journaliste pour "expliquer" le drame. C'est elle, son utilisation, et le fait qu'elle ne soit plus cantonnée à quelques esprits malades relevant de la psychiatrie qui fait froid dans le dos.
Le problème c'est que quand tu vois l'état de l'hôpital, notamment psychiatrique, le manque de moyens, les pratiques désastreuses qui y ont lieu, et le manque de personnel qualifié pour les accompagnements, hé bien tu peux te dire que tous les fous qu'il y avait dans les asiles, hé bien ils sont dehors maintenant, vu que ce qu'il reste d'institutions d'accueil est SATURE depuis de nombreuses années. Vu en plus la banalisation de la violence (ici même, l'acte est mis en lien avec une "futilité", perso, je n’oserai jamais apparier ce mot avec un acte aussi grave), on a le cocktail explosif pour nourrir les pages "faits divers" des journaux...
TheStratGuy
Citation :Le problème c'est que quand tu vois l'état de l'hôpital, notamment psychiatrique, le manque de moyens, les pratiques désastreuses qui y ont lieu, et le manque de personnel qualifié pour les accompagnements, hé bien tu peux te dire que tous les fous qu'il y avait dans les asiles, hé bien ils sont dehors maintenant, vu que ce qu'il reste d'institutions d'accueil est SATURE depuis de nombreuses années. Vu en plus la banalisation de la violence (ici même, l'acte est mis en lien avec une "futilité", perso, je n’oserai jamais apparier ce mot avec un acte aussi grave), on a le cocktail explosif pour nourrir les pages "faits divers" des journaux...
'fin bon, on va pas revenir 1000 fois sur ce débat mais à voir des "fous" partout on finit par ne plus considérer les notions pourtant fondamentales à toute société que sont le bien et le mal (ou l'acceptable et l'inacceptable pour ceux qui préfèrent). Attribuer quasiment tous les comportements dangereux à des problèmes psychiatriques, c'est quand même à peu près aussi crédible qu'à l'époque où quasiment les mêmes comportements (tiens donc, un hasard?) étaient mis sur le dos du diable ou de je ne sais quelle entité honnie...
Tout ça étant directement lié à deux mythes modernes quasi-universels et à leurs corolaires:
- "tout choix est respectable et tolérable" => donc si une action n'est pas jugée supportable pour la société c'est qu'elle ne relève pas d'un choix et qu'il faut lui trouver une autre explication... une maladie? Allez, bingo!
- "l'être humain est uniformément bon par nature" => le mal relève nécessairement de l'anomalie et ne saurait constituer un choix éclairé, puisqu'on vous le dit!C'est tellement rassurant de penser ça...
Derrière, on a certains psys qui (à la fois pour faire leurs intéressants et pour justifier de l'omniprésence de leur propre profession) vont se pencher sur tous les cas possibles et si possible médiatiques pour nous expliquer qu'en fait mais si, c'est forcément de leur ressort. Bref. Jules Romain faisait dire à son généraliste de Knock que "les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent" (concept bien pratique pour lui permettre dans la pièce de développer son business), pas loin d'un siècle plus tard la réalité psychiatrique a dépassé la fiction d'alors et y'a pas une virgule à changer pour résumer certaines théories fumeuses qu'on entend à longueur de journée...![]()
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Anonyme

TheStratGuy
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Anonyme
TheStratGuy
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Anonyme
Vu en plus la banalisation de la violence (ici même, l'acte est mis en lien avec une "futilité", perso, je n’oserai jamais apparier ce mot avec un acte aussi grave), on a le cocktail explosif pour nourrir les pages "faits divers" des journaux...
Voilà! Je n'aurais pas mieux dit (et au fond, j'aurais du le dire comme ça).
Attribuer quasiment tous les comportements dangereux à des problèmes psychiatriques, c'est quand même à peu près aussi crédible qu'à l'époque où quasiment les mêmes comportements (tiens donc, un hasard?) étaient mis sur le dos du diable ou de je ne sais quelle entité honnie.
Ah bah y'a quand même un gros poil de cul entre les deux notions, non? Ce qui était fumeux, clairement c'était le diable ou l'entité honnie, concepts montés de toutes pièces comme agents extérieurs au présumé "possédé" (c'était tellement plus confortable!). Alors qu'aujourd'hui, lorsque l'on trouve la psychiatrie comme explication à des comportements à ce point déviants, il me semble qu'on est carrément beaucoup plus au cœur de la véritable origine du problème, et même de plain-pied dedans, puisque tout barge qu'il soit, c'est bien le psychisme de cet individu qui le fait agir sans que les fils invisibles de la Bête ou je ne sais quelle fumisterie supérieure ne le manipulent comme un pantin.
samy dread
Non je ne mettrai pas de pull
newjazz
- "tout choix est respectable et tolérable" => donc si une action n'est pas jugée supportable pour la société c'est qu'elle ne relève pas d'un choix et qu'il faut lui trouver une autre explication... une maladie? Allez, bingo!
Oui mais dans les cas dont on parle - le type qui bute la petite à travers la porte et celui qui balance son gamin par terre - est-on réellement dans des schémas réfléchis qui impliquent un choix?
Pour le meurtre de la petite fille, peut-être que le gars avait prémédité son crime, au moins vis-à-vis de la mère, l'enquête le dira.
Mais le type qui jette son gosse au sol n'est pas dans la préméditation.
On est plus dans le domaine de l'affectif, la rage, la colère. Pour qu'elles atteignent ce niveau, qui empêche justement le sujet de faire la différence entre le bien et le mal, c'est qu'un certain nombre de barrières ont sauté dans la tronche de ce mec.
Donc non, la folie ou la maladie ne sont pas des causes absurdes à de tels comportements.
TheStratGuy
aujourd'hui, lorsque l'on trouve la psychiatrie comme explication à des comportements à ce point déviants, il me semble qu'on est carrément beaucoup plus au cœur de la véritable origine du problème, et même de plain-pied dedans, puisque tout barge qu'il soit, c'est bien le psychisme de cet individu qui le fait agir sans que les fils invisibles de la Bête ou je ne sais quelle fumisterie supérieure ne le manipulent comme un pantin.
Sauf que la même phrase 500 ans en arrière aurait donné:
aujourd'hui, lorsque l'on trouve le démon comme explication à des comportements à ce point déviants, il me semble qu'on est carrément beaucoup plus au cœur de la véritable origine du problème, et même de plain-pied dedans, puisque c'est bien le malin qui inspire l'âme de cet individu et le fait agir sans que les fils invisibles des anciennes superstitions païennes ne le manipulent comme un pantin.
Bref, gardons-nous bien de mettre la science à toutes les sauces et surtout de la décréter infaillible comme d'autres avant le faisaient avec d'autres croyances. Et n'oublions pas qu'en psychiatrie, contrairement à nombre de sciences "objectives", les "connaissances" qui servent de base ne sont souvent que des constructions de l'esprit, donc elles-mêmes des croyances simplement adoubées par un milieu professionnel, et forcément à prendre avec des pincettes.
C'est comme la chanson de Jean Gabin (le seul l'unique le vrai, pas le MC
Donc non, la folie ou la maladie ne sont pas des causes absurdes à de tels comportements.
Ce que je mets en cause, c'est le modèle unique qu'on voudrait nous imposer: la psychiatrie comme nouvelle religion avec sa Sainte Inquisition qui veille à ce qu'elle soit bien imposée à tous de façon systématique. Je n'ai pas dit que dans ce genre de cas les mecs en cause n'étaient JAMAIS dingues, par contre j'affirme que dire qu'ils le sont tous sans exception (et c'est un discours qui existe: "tous les criminels/gens violents/etc sont des malades" ) est une façon de prendre les gens pour des cons.
Dans les deux exemples que tu cites, autant je veux bien croire que le mec qui balance son gosse n'a pas toutes ses durites intactes, autant je pense que le type qui tire à travers la porte n'est pas forcément "fou" mais juste dans une logique qui effectivement n'est pas celle du monde civilisé qu'on connait: il veut une chose (ouvrir la porte vraisemblablement pour tabasser la femme), il fait ce qu'il faut pour l'obtenir et peu importe si c'est démesuré, dangereux au possible et peu importent les conséquences. Bref, il est plus dans la loi de la jungle que dans nos normes sociales. Est-ce que ça fait de lui quelqu'un de dangereux? Sans doute; est-ce que c'est un comportement "normal" dans le sens "constituant une norme acceptable et potentiellement constitutive d'une société pérenne s'il était reproduit ad libitum"? Certainement pas; maintenant, est-ce que le fait d'agir de la façon la plus égocentrique qui soit constitue en soi même une maladie? Franchement, on est en droit d'être plus que dubitatifs...
Que le mec dans la logique qui est la sienne soit suffisamment dangereux pour devoir être écarté manu militari de la société à laquelle il fait courir un danger flagrant, c'est une chose; maintenant, décréter que le fait de ne pas être en phase avec la logique d'une société donnée (même si c'est sur des points jugés aussi fondamentaux), c'est ouvrir la boîte de Pandore. Et ce n'est pas très différents des dictatures qui usent de la même logique pour faire interner certains opposants (ben oui, si on remplace "droit à la vie/à la sécurité" par "communisme", "nazisme", "capitalisme" ou "pouvoir de droit divin du monarque", on peut facilement trouver fou quiconque s'impose à une norme en place)...Bref, acceptons que des choses aussi fondamentales pour nous que le droit à la vie ou celui à ne pas se faire démolir pour n'importe quelle raison ne sont que des normes d'équilibre sociale, mais ne sont en aucun cas intrinsèquement constitutives de la santé mentale: on peut être dans une autre logique sans être fou, ce qui ne rend pas la dangerosité moindre. Et n'amoindrit pas non plus la légitimité pour une société de se protéger de ceux qui mettent ses fondements les plus élémentaires en danger par des choix qu'on a le droit (si si) de ne pas trouver respectables juste parce qu'ils sont différents, même au XXIème siècle...
...et je merde par avance tous ceux qui s'apprêtent à poster un truc du genre "tl;dr"
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Urban Koala
Sur ce, bonne nuit!
newjazz
Bref, acceptons que des choses aussi fondamentales pour nous que le droit à la vie ou celui à ne pas se faire démolir pour n'importe quelle raison ne sont que des normes d'équilibre sociale, mais ne sont en aucun cas intrinsèquement constitutives de la santé mentale
Moui, enfin on peut aussi considérer à l'inverse que quelqu'un qui va bien n'a pas des idées de meurtre, et surtout ne les met pas en pratique quand exceptionnellement il risque de perdre son sang-froid...
C'est pourquoi on évoque de plus en plus la notion de "sociopathe" en rapport avec les gens qui ont des comportements délinquants.
Le terme "sociopathe" inclut les concepts de société et de maladie. Quelqu'un de "normalement constitué" (pour autant que cela ait une signification) aura suffisamment de garde-fous pour ne pas céder à la violence. Les sociopathes quand à eux n'ont pas développé ces garde-fous.
newjazz
Ce que je mets en cause, c'est le modèle unique qu'on voudrait nous imposer: la psychiatrie comme nouvelle religion avec sa Sainte Inquisition qui veille à ce qu'elle soit bien imposée à tous de façon systématique.
Ce que je mets en cause, c'est le modèle unique qu'on voudrait nous imposer: la répression comme nouvelle religion avec sa Sainte Inquisition qui veille à ce qu'elle soit bien imposée à tous de façons systématique.
La répression, c'est comme les caméras de vidéo-surveillance, ça sert APRES que le crime ait été commis. Mais ça n'aide pas à traiter le mal à la racine.
Essayer de comprendre ce qui se passe dans la tête d'un délinquant, comprendre pourquoi il en est arrivé là, permet de veiller à ce que les conditions de naissance du crime ne soient plus réunies. Ca n'empêchera évidemment pas TOUS les crimes, mais ça permet d'en éviter un paquet.
Pretextat
Merci StratGuy de m'avoir évité d'argumenter . C'est plus fort que moi, faut que je me lance car je ne peux laisser passer certaines inepties .
En tous cas, sachez que lorsqu'il y a faits de violence avec un malade psy , dans + de 90% des cas la victime est le malade mental . Mais ça on ne le médiatise jamais ...
Ce genre :
Citation de Urbankoala :
hé bien tu peux te dire que tous les fous qu'il y avait dans les asiles, hé bien ils sont dehors maintenant, vu que ce qu'il reste d'institutions d'accueil est SATURE depuis de nombreuses années. Vu en plus la banalisation de la violence (ici même, l'acte est mis en lien avec une "futilité", perso, je n’oserai jamais apparier ce mot avec un acte aussi grave), on a le cocktail explosif pour nourrir les pages "faits divers" des journaux...
Qu'entends tu par : "lls sont dehors maintenant" , c'est quoi un "fou" ? , un "asile" , et la relation démente que tu fais entre
Citation :
tous les fous qu'il y avait dans les asiles, hé bien ils sont dehors maintenant
ET
Citation :
on a le cocktail explosif pour nourrir les pages "faits divers" des journaux...
Wahou ! Ca montre à quel point tu ne connais absolument ce dont tu parles , et que tes propos sont graves dangereux et humiliants pour tous les malades qui sont soignés dans ces institutions qui je le reconnais manquent cruellement de moyens, mais non pas pour enfermer plus de malades dans des asiles (ca va pas , non !) mais pour mieux les prendre en charge , les écouter, les accueillir, les soigner en résumé : les soulager !
**naPOLEoN**
http://www.gentside.com/insolite/les-motos-volantes-de-star-wars-bientot-sur-les-routes_art43968.html
TheStratGuy
Le terme "sociopathe" inclut les concepts de société et de maladie. Quelqu'un de "normalement constitué" (pour autant que cela ait une signification) aura suffisamment de garde-fous pour ne pas céder à la violence. Les sociopathes quand à eux n'ont pas développé ces garde-fous.
Ce qui équivaut à dire "nos valeurs sont les seules à être mentalement saines, nul ne peut choisir d'en dévier avec son plein libre-arbitre". Désolé mais non, je ne cautionnerai jamais ça, c'est l'essence-même de toutes les dictatures: disons plutôt "nous avons nos valeurs communes fondamentales permettant d'établir une vie en société à peu près supportable, il peut exister d'autres façons d'envisager les choses mais nous défendrons les nôtres becs et ongles car c'est notre survie y compris en tant que société civilisée qui est en jeu".
La répression, c'est comme les caméras de vidéo-surveillance, ça sert APRES que le crime ait été commis. Mais ça n'aide pas à traiter le mal à la racine.
Et le libre-arbitre? ça n'existe pas? Tout est conditionnement, tout est prévisible, tout est explicable? Et puis vous voulez savoir si Untel va sortir faire un bowling ou aller brûler une voiture, il y a une application pour ça aussi? Je suis convaincu que la majorité des délinquants et criminels ne sont pas à proprement parler de vrais malades mais juste ce que les psys qualifient de pervers (pas au sens sexuel mais au sens "celui qui ne reconnait pas à l'Autre le caractère d'égal à lui-même", pouvant aller jusqu'à lui nier tout droit à la vie). Tu vois ça comme une maladie mentale toi? Moi pas: je vois ça comme un choix et le choix le plus méprisable (c'est d'autant plus un choix quand l'auteur de l'acte cherche à utiliser le système pour organiser son impunité, soit parce qu'il est mineur soit justement en cherchant à se faire passer pour dingue). Une société équilibrée ne doit pas prendre ces gens en pitié mais les frapper, les frapper et encore les frapper, si possible jusqu'à ce qu'ils ne s'en relèvent jamais. Et c'est légitime, parce que sinon ces gens-là (j'emploie cette expression de la façon la plus méprisante qui soit et c'est parfaitement assumé et revendiqué) mettront toujours TOUS les autres en danger.
Mais pour le reste, traiter de "malade sociopathe" quelqu'un qui ne rentre pas dans le moule et récuse des valeurs communes, c'est une suffisance que je trouve dangereuse et symptomatique d'une société qui se regarde le nombril. Et qui, encore une fois, protège l'image qu'elle a d'elle-même et de la nature humaine en s'autoproclamant seul modèle mentalement sain possible et imaginable (y'a qu'à voir l'histoire avec Breivik: si ce mec est fou moi je suis le pape, il a juste une logique effrayante et des valeurs barbares mais il n'y a rien d'illogique dans sa démarche, c'était totalement réfléchi et assumé... sauf que c'est nettement plus facile et rassurant de dire "un mec qui fait ça est forcément fou, point" ).
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Javier Guante Hermoso
Pictocube
+1 d'autant qu'on sait tous très bien ce qui est à l'origine de tous ces dérèglements : cette bonne vieille société de consommation et toutes ses dérives et abandons que nous entretenons depuis tôt ce matin à grand coup de pain grillé, de nutella et de post sur AF et ceux depuis pas mal d'années. On savait dès le début que ça nous conduirait là, et de façon exponentielle, mais on trouve quand même le moyen de s'interroger et surtout de continuer...
Vous prenez un mec, vous le mettez en marge de la société, dans une cité, vous construisez une culture marketing qui donne envie à 80% des jeunes des 16 ans de montrer une image violente et grave, avec tous les accessoires qui vont avec, vous laissez se diffuser cette culture avec tout les à coté, même les stars l'adoptent, les médias la relai, reprennent la boucle dès le début et en remette une couche, et ça continue, derrière pas de soucis tout le monde fait pareil, la petite frappe avec une kalach, et la grande avec des stock options, et remette ça, bling bling, pan pan, ça c'est la classe, et les grosses bagnoles aussi, et on finit par tirer sur sa gosse à travers une porte de salle de bain, ou à kidnapper des gamines de 15 ans pour les livrer à un groupe de militaire pour 50 roupies, c'est pareil, seule l'échelle change, c'est plus un quartier ou un immeuble, c'est un pays, etc.
Pardon mais là dedans y'a rien qui m'étonne, c'est tout à fait normal d'en arriver là, et je crois qu'il n'y a pas grand monde pour dire qu'on pouvait pas s'en douter dès le début.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Javier Guante Hermoso
Anonyme
tout le monde fait pareil, la petite frappe avec une kalach, et la grande avec des stock options
Joli pont entre deux mondes!
Pictocube
Ouais sauf que non, c'est le même monde, et c'est le tiens aussi, mais on se croit bien à part, bien à l'abri...
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Je connais déjà un patron voyou, le mien... j'espère juste ne jamais être sur le chemin de celui qui a une kalach à me coller sous le nez, mais c'est clair qu'on c'est difficilement à l'abri de quoi que ce soit dans NOTRE monde.
greggreg
t'inquiètes, y'a jamais de meurtre sur AF
Urban Koala
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