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Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?

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Sujet de la discussion Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
Et hop encore un autre sujet inutile !
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
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26726

je crois pas que c'était ça le probleme des femmes dans Paris. Mais comme je l'ai dit

Citation :

je vois même pas quels effets bénéfiques ça aura pour les femmes ce truc

  eek

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

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Y'a un docu qui traine sur Youtube, c'est fait par un suédois, pays où l'égalité entre les sexes est porté à son paroxysme...
Je vous conseille de le voir tellement c'est instructif. Là bas ils s'apercoivent que malgré l'égalité (des chances) entre les hommes et les femmes, les femmes font quand même des métiers de femmes et les hommes des métiers d'hommes...

Le clou du spectacle c'est quand un pseudo scientifique affirme devant la caméra que ce qui différencie l'homme de la femme c'est uniquement leur physique

Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.

SoundCloud | Stompin at decca |  I can't give you anything but love

[ Dernière édition du message le 08/03/2013 à 10:27:51 ]

26728
L'égalité c'est pas l'absence de différence.
26729
Non mais à les écouter il faut ABSOLUMENT la parité dans tous les domaines, et ce docu montre bien que c'est simplement pas possible car les femmes seront toujours attirées par des métiers de femmes et les hommes par des métiers d'hommes

Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.

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[ Dernière édition du message le 08/03/2013 à 10:29:14 ]

26730
Pour certains trucs c'est juste impossible.
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Voila.
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Puisque c'est la journée de la femme, voilà un chouette texte de l'étonnant, amusant et poétique Viallate.

Citation :
La femme remonte à la plus haute Antiquité. Elle est coiffée d’un haut chignon. C’est elle qui reçoit le facteur, qui reprise les chaussettes, et fait le catéchisme aux enfants.

Je l’ai bien connue dans mon enfance. Sous la forme insolite de Mlle Guérin. Nous étions assis sur un banc. Elle, sur une chaise en face de nous. Toute petite, toute menue, et tout de noir vêtue. Pareille à une fourmi. Une fourmi bienveillante. Avec de beaux yeux bleus et de très jolis cheveux blancs. Et un boa autour du cou. Un petit boa. Pour le grandiose. Pour la toilette et la féminité. Pour le principe et la bourgeoisie. Bref, pour la classification. Ce boa nous fascinait. Il avait des plumes noires qui se moiraient de reflets zinzolins. Nous le trouvions luxueux et incompréhensible.

La femme se compose essentiellement d’un chignon et d’un sac à main. C’est par le sac à main qu’elle se distingue de l’homme. Il contient de tout, plus un bas de rechange, des ballerines pour conduire, un parapluie Tom Pouce, le noir, le rouge, le vert et la poudre compacte, une petite lampe pour fouiller dans le sac, des choses qui brillent parce qu’elles sont dorées, un capuchon en plastique transparent, et la lettre qu’on cherchait partout depuis trois semaines.

Il y a aussi, sous un mouchoir, une grosse paire de souliers de montagne. On ne s’expliquerait pas autrement la dimension des sacs à main.

Il arrive fréquemment que les femmes prophétisent. Chez les Anciens, on leur facilitait la chose en les posant sur un feu d’herbes. Cassandre prédisait les plus affreux malheurs. Elle apparaissait dans les songes comme un corbeau sur un ciel noir, et j’ai moi-même vu, à Toulouse, de fortes épouses, sur les trottoirs, maudire leur voisine du premier dans un style extrêmement grandiose, priant Dieu d’une voix de stentor de changer cette affreuse personne en vespasienne, et disant des moeurs de sa mère des choses nettement désobligeantes que l’écho répétait au loin. Elles avaient des visages bronzés, des cheveux huileux et les poings sur les hanches. Des anneaux presque en or leur pendaient aux oreilles, et leur poitrine se répandait pêle-mêle dans des camisoles à fleurettes. D’autres femmes leur répondaient de l’autre côté de la rue. L’une d’entre elles me confia qu’elle allait communier pour prier Dieu de faire crever sa voisine. C’est ainsi que la religion se répand. C’était dans des venelles poussiéreuses aux trottoirs extrêmement étroits, sur lesquels un épicier chauve exposait de loin en loin quelques morceaux de morue dans une cuvette en émail bleu.

Il y a des femmes qui chantent La Marseillaise, drapées dans le drapeau tricolore, d’autres qui attendent l’autobus 27 au coin du boulevard Arago ; il y en a qui rappellent leur chien; il y en a qui jouent du tambour dans 1′«Orchestre des Hirondelles », d’autres qui sont «parents d’élèves», et d’autres qui volent des lapins. On voit par là leur infinie diversité. C’est pourquoi il est difficile de prendre une vue synthétique de la femme et de faire d’elle un tableau complet. Le docteur Garnier a réussi pourtant, en 1883, dans son beau traité du Mariage, à la page 196, à établir d’une façon générale que la femme a la graisse plus blanche et bien plus fine que celle de l’homme, et le genou plus gros et plus rond. Elle a également dix ans de moins. Cet âge inférieur à celui de l’homme change aussi bien moins fréquemment. Balzac pose en principe que les dix plus belles années se situent, pour la femme, entre vingt-neuf et trente ans.

C’est au cours des grandes migrations que la femme donne sa plus belle mesure. Elle jette pêle-mêle les enfants et les sacs dans les hauts chariots à roues pleines, elle les bâche, elle attelle elle-même les chiens de traîneau. Elle fait le coup de feu contre les Peaux-Rouges. Elle rattrape, à l’étape, les juments égarées. C’est elle qui boulange rapidement ces gros pains d’orge ronds et mous, d’un brun verdâtre, qui sont le vrai pain de grande migration. Elle lance aux chiens et aux pintades leur ration de farine de poisson. Elle ramasse sur la piste, avec beaucoup de mérite, dans des cabas en sparterie, les crottes du chameau et du yak, qui constituent le seul combustible tout le long du désert de Gobi. Elle plie en quatre les journaux que les hommes glisseront entre leur peau et leur chemise pour se protéger des grands froids. Elle bouche parfois les fissures de l’igloo.

La femme a trois sortes de chichis : les grands chichis, les moyens chichis, et enfin pas de chichis du tout.

Pour faire les grands, elle oint sa peau de substances grasses violemment colorées, elle peint son corps en guerre comme les soldats hurons. Avec des produits en franglais : l’eye-liner, le flash-back, que sais-je ? Elle se badigeonne de flash-back, elle se frictionne les omoplates à l’eye-liner. Elle va chercher du bouillon de poireau à la cuisine. Elle se fait des masques de tomate, de jaune d’oeuf et de fromage blanc. Elle laisse durcir, puis elle arrache avec les ongles. Elle se baigne dans le jus de concombre, elle se frotte les gencives avec un noyau de pêche, elle se parfume à la chlorophylle, elle se caresse avec de l’échalote, elle se gratte avec des orties. Elle garde les pieds en l’air pour s’amincir la cheville. Elle dit « pêche-poire-pomme-prune » pour s’arrondir la bouche. Elle se fait macérer dans la purée de fourmis.

A peine sèche, le coiffeur l’enferme au fond de sa cave. A côté de vingt-cinq autres femmes. Sur des fauteuils. Toutes immobiles. Comme des poupées. Comme des momies. Dans un drap blanc. On peut les voir par un soupirail : mauves ou vert Nil, parfois même vert pistache, dans un éclairage au néon. On dirait des mortes dans leur tombe, c’est un sous-sol de science-fiction. Tout le long de cette chambre des supplices, elles sont coiffées jusqu’au menton de casques gaulois reliés à des souffleries par un système de tuyauteries qui s’apparente aux tubulures de l’hélicon. Dans cet attirail scientifique, elles ressemblent à s’y méprendre à des scaphandriers, à des ordinateurs, à des Martiens, à des contrebasses, au réduit du chauffage central. On dirait des mégathériums branchés sur des sarrussophones. On croit avoir épousé une jeune fille, on s’est marié à un alambic.

Tels sont les grands chichis de la femme. Pour les moyens, elle se contente du chignon « banane »; pour pas du tout, décapée aux acides, elle est complètement « désincrustée ».

Faut-il lui dire que c’est ainsi qu’elle est la plus belle (déconsidérant les travaux par lesquels elle a pris tant de peine à se transformer en grand cheval de tournoi ?

Où est le tact ? Louez-la sans crainte de sa beauté sans ornement. Ce n’est pas pour vous qu’elle se condamne aux grands chichis, c’est pour vexer sa meilleure amie; pour qu’elle en crève de jalousie rentrée.

Et plus encore pour son propre plaisir. Pour se donner une grande fête personnelle. Pour faire tourner le manège au milieu du village, avec ses cuivres et ses vermillons.

Un grand médecin vient d’écrire un ouvrage pour nous montrer que la femme qui veut s’émanciper se réveille dans un lit glacé, devient très rapidement frigide, souffre de dettes et de diabète galopant, et finit dans l’acrocyanose, maladie de la circulation qui la rend chauve et lui fait les pieds bleus.

Ces nombreuses considérations montrent l’importance de la femme. Elle ne diffère d’ailleurs de l’homme que par le sexe. Les femmes sont nos frères féminins. Sans elles, plus de belles-soeurs, plus de cousines : les familles n’auraient plus de branche collatérale, ni l’homme marié de femme légitime. La civilisation en serait toute transformée.

Résumons-nous. La femme a joué de tout temps un rôle très important dans la survie de l’espèce humaine.

Tout homme, sans elle, serait un orphelin.
26734
tl;dr :oops2:

Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.

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Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?

Le nombre de piles rechargeables que j'ai achetées.

Avec deux filles à la maison, les jouets électroniques sont légions. J'ai là sous les yeux 24 accus AA et AAA que je viens de récupérer dans des jouets qui partent à la casse. Et il doit y en avoir autant en circulation dans les jouets, télécommandes, APN et je ne sais quoi d'autre. Sachant qu'elles ont toutes été rechargées au moins une vingtaine de fois, j'ose imaginer le coût si j'avais acheté des piles jetables : 1000 à 1500€. eek

 

[ Dernière édition du message le 10/03/2013 à 02:19:52 ]

26737
En lisant le texte sur la femme là, je me suis bidonné correctement :bravo: J'apprécie l'expression "cheval de tournoi" notamment, à ressortir.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

26738
fascine/fai plaisir

Google agenda ! :bave: Mais comment on faisait avant ? Ca gère même les calendriers ical d'apple, c'est génial ! :bave:
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Citation de 9penar :
Avec deux filles à la maison, les jouets électroniques sont légions.


Il y a 15 ans on aurait dit: "avec deux garçons à la maison, les jouets électroniques sont légions."



;)

Accepter qu'on n'sait pas, c'est déjà l'premier pas.

 

MUSICIENS ET PUBLIC, PROTEGEZ VOS OREILLES!

26740
Citation de Truelle :
fascine/fai plaisir

Google agenda ! :bave: Mais comment on faisait avant ? Ca gère même les calendriers ical d'apple, c'est génial ! :bave:


C'est merveilleux!!!
Une multinationale vit au grand'jour de la revente de mes données personnelles au plus offrant, et comme elle n'en sait pas encore suffisamment, je lui sers gentiment les noms des gens que je fréquente, avec qui je bosse, la fréquence de nos rdvs, toussa...

"Brave new world"...

Accepter qu'on n'sait pas, c'est déjà l'premier pas.

 

MUSICIENS ET PUBLIC, PROTEGEZ VOS OREILLES!

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Fascine:
Il caille, on doit pas avoir loin de 20cm de neige, et je viens de croiser la jupette la plus courte que j'avais jamais vu!
Bon ok, le jambon était un poil généreux, mais p'tain la dinguotte! Moi je regrette d'avoir mis qu'un seul futal là
26742
Fascine: Il caille, on doit avoir pas loin de 1,5 cm de neige, et à Paris, les bus ne circulent plus, les trams non plus, le RER est en panne partout, le métro est blindé, les gens roulent à 2 à l'heure, les piétons tombent et la vie s'arrête. Je crois que LOL
26743
Ben nous tout le monde s'en cogne. La preuve les mignonnes sortent quand même les guiboles.

Si y'a comme même les couillons en BM/Mercedes qui sont tous plantés sur les bandes de sécurité comme des truffes.
Je comprendrais jamais qu'ils continuent à acheter ces bagnoles sachant qu'ils vont tous se gauffrer dès les premiers flocons. Sont truffe
26744
Il est probables qu'ils se planteraient pareil en Dacia.
26745
Vraiment pas sur. Ces cochonneries d'Allemandes à propulsion elles patinent toutes meme sur le plat. Sans dec' c'est hallucinant, t'as que ça sur le bord des routes.
26746
Citation :
Il est probables qu'ils se planteraient pareil en Dacia.


Une voiture plus légère, moins puissante et avec des pneus moins larges s'en sortira toujours mieux que les grosses berlines ou même les SUV. Je suis même sûr que tihouss en Cortina ruine Rifki en RX8 sur la neige.
26747

Citation de : Xavier Belmoufles

Citation :
Il est probables qu'ils se planteraient pareil en Dacia.


Une voiture plus légère, moins puissante et avec des pneus moins larges s'en sortira toujours mieux que les grosses berlines ou même les SUV. Je suis même sûr que tihouss en Cortina ruine Rifki en RX8 sur la neige.

Ouaip enfin l'un des deux vit dans le Puy de Dôme, et l'autre et un sudiste catalan. Ils ont peut être pas la même habitude de rouler sur la neige.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

26748
Citation :
un sudiste catalan

... qui a grandi et certainement appris à conduire au pied des Pyrénées.
26749

redface2

 

Mon cœur saigne toujours quand je vais skier dans les Pyrénées, et que j'entends les pisteurs parler avec l'accent du Sud ouest. je m'y ferais peut être un jour.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

[ Dernière édition du message le 12/03/2013 à 10:38:44 ]

26750

Bon ben ici il y a plein de neige à chaque chute et ce matin personne n'était en retard au boulot... redface2

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier