Qu'est ce qui vous fait plaisir automatiquement?
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pgirardot

je commence ?
- trouver un riff qui sonne térrible
- une jolie demoiselle qui te fait un sourire ds le métro...
- se faire une bonne déspé losrk'il fait bien chaud...
- se réveiller à coté de celle (celui) k'on aime
- être vendredi soir
voilou

Anonyme

baiser ou faire l'amour
Du coup, cette question existentielle m’intéresse...
J'trouve ça nettement plus intéressant que Pomme vs PC ou même Pro Tools vs cubase, d'ailleurs cubase sonne mieux...
baiser ou faire l'amour
C'est quand qu'on sait quoi qu'on est où ?

Traumax

t'as écrit 2010 avec un D à la place du zéro, cono.
T'es au premier degré : nelson
T'es au second degré :


cyar



Alx33

Quand je conduis pas j'ai peur.

Javier Guante Hermoso


Djardin

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Anonyme


Anonyme


Anonyme


Anonyme


On peut baiser et faire l'amour avec la même personne comme même...
Et même en un coup... euh... je veux dire, dans le cadre de la même séance...


Anonyme

c'est quoi le discriminant ?

tihouss

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

Anonyme

- la durée totale de l'acte
- la durée pendant l'acte, pendant laquelle tu as pensé à ta partenaire
- par déduction, la durée pendant laquelle tu pensais à autre chose: une Carlsberg, le topic des questions qui tuent, ta plancha, tes nains, la propreté du slip des ongles, la dernière Ferrari, tiens cette semaine c'est le combientième numéro de France Football, toussa.


Anonyme

Ptain raha j'ai lu "près de laquelle on a vomi", auquel cas si la personne se barre pas c'est effectivement de l'amour.
ou une vraiment méchante soirée la veille


le reverend


Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Will Zégal

djardin avait eu une métaphore exceptionnelle, sur la différence entre reprise ou compo, en comparant cela à la femme de ta vie / l'amante du moment. Baiser ou faire l'amour.
C'est pas parce qu'une image, une formule ou une aphorisme déchire qu'il est vrai.

le reverend

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Anonyme

L'écrivain Rachid Boudjedra brise un tabou à la télévision algérienne. Son fait d'armes : avoir avoué son athéisme sur le plateau d'une chaîne privée conservatrice. Selon le site Géopolis, qui relaye cette information, il n'en fallait pas moins pour enflammer la Toile algérienne, dès la diffusion de la bande-annonce de l'émission, lundi 1er juin : "Avec la multiplication de chaînes de télévision privées et surtout l’avènement des réseaux sociaux, dont les Algériens sont très friands, la moindre déclaration est amplifiée."
Face à l'animatrice, l'écrivain répond aux questions avec calme, prenant le temps d'argumenter ses propos. Ses réponses font pourtant l'effet d'une bombe : « Au nom de ma mère, je jure de dire la vérité, toute la vérité. Je ne crois pas en Dieu, ni en la religion musulmane, je ne crois pas en Mohamed comme prophète. Si je devais choisir une religion, ce serait le bouddhisme pour son pacifisme. » Et l'auteur d'ajouter que de nombreux Algériens sont athées, mais n'osent pas l'afficher "par peur de l'opprobre de la société". La société algérienne est en effet de plus en plus sensible à la question de l'intégrisme religieux. En Algérie, l'islam est religion d'Etat, même si la Constitution reconnait la liberté de culte. L'apostasie, qui consiste dans le code pénal algérien à inciter quiconque à renier l'islam pour une autre religion, est un délit passible de deux à cinq ans de détention et d'une amende de 500 000 à un million de dinars (5 000 à 10 000 euros).
En 2006, Rachid Boudjedra avait déjà affiché son inclinaison pour l'athéisme lors d'une conférence-débat à Bouzguen. Face à ses lecteurs, il avait jugé la liberté d'expression "insuffisante" en Algérie avant d'affirmer : "Je suis athée et communiste (...). Je ne suis pas contre l’islam. J’ai été élevé dans une famille musulmane. La violence intégriste a encore accentué mes convictions. Avant, j’écrivais un roman tous les trois ans, le terrorisme m’a poussé à écrire un roman chaque année, une autre manière de lutter contre ces criminels."
Le geste était déjà osé à l'époque, mais avec l'avènement des réseaux sociaux, celui d'aujourd'hui est d'une tout autre ampleur. Déjà auteur d'une fatwa sur l'écrivain Kamel Daoud en décembre 2014, le prédicateur salafiste Abdelfettah Hamadache considère, au lendemain de la diffusion de l'émission, que Rachid Boudjedra "ne doit pas être enterré avec les musulmans". Pour autant, l'ancien consultant du ministère des affaires religieuses Adda Fellahi pense que l'écrivain est libre, et que ses propos rentrent dans sa liberté de conscience et d'expression garanties par la loi algérienne, la Constitution et la charia.
Au-delà des simples insultes et menaces sur Facebook et Twitter, Rachid Boudjedra avait certainement anticipé les réactions que son coming-out allait entraîner. Dans son roman Les figuiers de barbarie (Grasset, 2010), il affirmait : "L'histoire est quelque chose de dérisoire, c'est-à-dire qu'elle est bourrée de dérision."
Merci Rachid.


Anonyme

*
Nord : une famille athée harcelée par un croyant prosélyte
Une père et sa fille, une collègienne de Dechy, près de Cambrai (Nord), subissent les menaces d'un musulman radical, qui leur reproche d'être athées, alors qu'ils sont d'origines maghrébines.
http://www.metronews.fr/lille/nord-une-famille-athee-harcelee-par-un-croyant-proselyte/moeA!SRnmuZgriU0oA/
On attends la réaction de S.O.S Racisme et autres assoc' cousines, mais je crois qu'elles ne se prononceront
pas.


Anonyme


Jackbrelle

Citation de : Bob Moujik
Rachid Boudjedra:
Citation de Le Monde de ce jour :L'écrivain Rachid Boudjedra brise un tabou à la télévision algérienne. Son fait d'armes : avoir avoué son athéisme sur le plateau d'une chaîne privée conservatrice. Selon le site Géopolis, qui relaye cette information, il n'en fallait pas moins pour enflammer la Toile algérienne, dès la diffusion de la bande-annonce de l'émission, lundi 1er juin : "Avec la multiplication de chaînes de télévision privées et surtout l’avènement des réseaux sociaux, dont les Algériens sont très friands, la moindre déclaration est amplifiée."
Face à l'animatrice, l'écrivain répond aux questions avec calme, prenant le temps d'argumenter ses propos. Ses réponses font pourtant l'effet d'une bombe : « Au nom de ma mère, je jure de dire la vérité, toute la vérité. Je ne crois pas en Dieu, ni en la religion musulmane, je ne crois pas en Mohamed comme prophète. Si je devais choisir une religion, ce serait le bouddhisme pour son pacifisme. » Et l'auteur d'ajouter que de nombreux Algériens sont athées, mais n'osent pas l'afficher "par peur de l'opprobre de la société". La société algérienne est en effet de plus en plus sensible à la question de l'intégrisme religieux. En Algérie, l'islam est religion d'Etat, même si la Constitution reconnait la liberté de culte. L'apostasie, qui consiste dans le code pénal algérien à inciter quiconque à renier l'islam pour une autre religion, est un délit passible de deux à cinq ans de détention et d'une amende de 500 000 à un million de dinars (5 000 à 10 000 euros).
Citation :En 2006, Rachid Boudjedra avait déjà affiché son inclinaison pour l'athéisme lors d'une conférence-débat à Bouzguen. Face à ses lecteurs, il avait jugé la liberté d'expression "insuffisante" en Algérie avant d'affirmer : "Je suis athée et communiste (...). Je ne suis pas contre l’islam. J’ai été élevé dans une famille musulmane. La violence intégriste a encore accentué mes convictions. Avant, j’écrivais un roman tous les trois ans, le terrorisme m’a poussé à écrire un roman chaque année, une autre manière de lutter contre ces criminels."
Le geste était déjà osé à l'époque, mais avec l'avènement des réseaux sociaux, celui d'aujourd'hui est d'une tout autre ampleur. Déjà auteur d'une fatwa sur l'écrivain Kamel Daoud en décembre 2014, le prédicateur salafiste Abdelfettah Hamadache considère, au lendemain de la diffusion de l'émission, que Rachid Boudjedra "ne doit pas être enterré avec les musulmans". Pour autant, l'ancien consultant du ministère des affaires religieuses Adda Fellahi pense que l'écrivain est libre, et que ses propos rentrent dans sa liberté de conscience et d'expression garanties par la loi algérienne, la Constitution et la charia.
Au-delà des simples insultes et menaces sur Facebook et Twitter, Rachid Boudjedra avait certainement anticipé les réactions que son coming-out allait entraîner. Dans son roman Les figuiers de barbarie (Grasset, 2010), il affirmait : "L'histoire est quelque chose de dérisoire, c'est-à-dire qu'elle est bourrée de dérision."
Merci Rachid.
Un courageux futur mort!
Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.

W-Addict


Djardin

Si je devais choisir une religion, ce serait le bouddhisme pour son pacifisme.
Moui, bien sur, parce que dans le principe de la religion on dit "tu ne tueras pas", c'est tous des gentils non-violents les bouddhistes. Comme les chrétiens, les juifs, les musulmans et la plupart des religions qui ont comme commandement principal : "fait des bisous aux autres et soit gentil" sont tous aussi des gentils non-violents.
Ou alors, en y mettant autant de bonne volonté que tous les autres, ils peuvent massacrer le peuple d'à côté.
c'était l'instant rabat-joie.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

W-Addict

Religion + pacifisme = gloire du lol

Anonyme


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