Sujet AudioCHATzine ou l'actualité féline de par le monde
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Plus besoin de bouchon de rosace ,avec ça
Balley Warson
13692
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 13 ans
Révélation ?
"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.
samy dread
17634
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
wildchild666
11317
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
noSkillz
7473
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
brutalpedz
1657
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Flo667
1270
AFicionado·a
Membre depuis 14 ans
cyar
12263
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
y en a qui ont un tigre dans le moteur, celui-ci a un chat dans la guitare! 
Anonyme
3735
Plus besoin de bouchon de rosace ,avec çaBalley Warson
13692
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 13 ans
j'ose pas imaginer ce qui se passerai si jamais t'arrivais à remonter les cordes avec le chat toujours à l’intérieur 
.
Un genre de fuzz, bien féline quoi
"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.
Anonyme
27147
Alors là 
tout d'un coup j'ai une image d'il y a facile trente ans en arrière, que j'avais complètement oubliée, et qui vient de me sauter à la gueule
Je nous revois avec mes parents chez ma grand, qui habitait à l'époque une vieille ferme dans l'Aveyron, peu après St Affrique. La grande salle commune, avec la cheminée, comme on en trouve beaucoup dans ces fermes, et la grande horloge comtoise qui trône, et égrène chaque quart d'heure un bout de la sonnerie de Big Ben, avec la totale à l'heure pile.
Je nous revois avec le chat que nous avions à l'époque, un tigré de gouttière, et celui-ci qui passe sa première journée, queue bien droite, oreilles aux aguets, à mouffiner de partout pour se faire peu à peu à son nouvel univers de vacances... le voilà qui bondit dans la comtoise par le gros trou rond derrière lequel danse indéfiniment le balancier, et Messire Raminagrobis (enfin, lui s'appelait Mirgou - una mirga c'est une souris en occitan) qui se cache, peinard, au fond d'icelle... oh, pas longtemps, moins d'un quart d'heure.... car à et quart précises, ou bien la demi, à moins que ce ne fût moins le quart, retentit le fameux carillon, magnifiquement et profondément amplifié par le meuble massif. Rambalh épouvantable à l'intérieur de la comtoise, ça cogne deux ou trois fois à mort, puis on voit le chat, fou de terreur, les yeux exorbités, les oreilles en arrière que tu peux pas plus, qui jaillit comme une balle du gros trou rond, emportant le balancier au passage, qui se met à cliqueter de façon effroyable, augmentant encore plus la panique du matou en perdition complète.
Il a foutu le camp par la porte ouverte, on l'a plus revu jusqu'au soir où il est piteusement venu quémander à bouffer.
Il est plus jamais rerentré dans c'te foutue pendule...
tout d'un coup j'ai une image d'il y a facile trente ans en arrière, que j'avais complètement oubliée, et qui vient de me sauter à la gueule Je nous revois avec mes parents chez ma grand, qui habitait à l'époque une vieille ferme dans l'Aveyron, peu après St Affrique. La grande salle commune, avec la cheminée, comme on en trouve beaucoup dans ces fermes, et la grande horloge comtoise qui trône, et égrène chaque quart d'heure un bout de la sonnerie de Big Ben, avec la totale à l'heure pile.
Je nous revois avec le chat que nous avions à l'époque, un tigré de gouttière, et celui-ci qui passe sa première journée, queue bien droite, oreilles aux aguets, à mouffiner de partout pour se faire peu à peu à son nouvel univers de vacances... le voilà qui bondit dans la comtoise par le gros trou rond derrière lequel danse indéfiniment le balancier, et Messire Raminagrobis (enfin, lui s'appelait Mirgou - una mirga c'est une souris en occitan) qui se cache, peinard, au fond d'icelle... oh, pas longtemps, moins d'un quart d'heure.... car à et quart précises, ou bien la demi, à moins que ce ne fût moins le quart, retentit le fameux carillon, magnifiquement et profondément amplifié par le meuble massif. Rambalh épouvantable à l'intérieur de la comtoise, ça cogne deux ou trois fois à mort, puis on voit le chat, fou de terreur, les yeux exorbités, les oreilles en arrière que tu peux pas plus, qui jaillit comme une balle du gros trou rond, emportant le balancier au passage, qui se met à cliqueter de façon effroyable, augmentant encore plus la panique du matou en perdition complète.
Il a foutu le camp par la porte ouverte, on l'a plus revu jusqu'au soir où il est piteusement venu quémander à bouffer.
Il est plus jamais rerentré dans c'te foutue pendule...
[ Dernière édition du message le 07/01/2013 à 14:55:58 ]
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