empism> Autant je concois qu'on puisse s'amuser à tourner un film gore pour le maquillage, les délires en plateau, le second degré, etc... Autant faire un film qui défend des propos comme celui là (de nouveau d'après vos descriptions) doit laisser des séquelles aux differentes personnes concernées lors du scénario, tournage, montage, etc...
l'appréciation qu'on peut avoir de la déco de Noel de ma voisine dépend de la conscience qu'on a de l'état de la société.
empism
2554
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 14 ans
10352Posté le 23/09/2010 à 16:16:29
Lou > Ok, j'ai vu le film et lu le bouquin et si le bouquin est "sulfureux" la narration y joue un grand rôle, pour le film je ne pense pas que la camera serve un propos ni une thèse ou un idéal, elle n'explique ni n'excuse en rien le comportement de chaque personnage. Même si la personalité des acteurs n'étaient pas si eloigné du caractère des protagonistes, on peut prendre ça comme une extrapolation d'un malaise social, tourné a la sauce pulp.
Perso je soutiens a fond ce genre d'initiative, dont j'excuse les défaut, tant c'est rare dans le cinoche français actuel.