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Sujet Highlands of liberty, duo Neilfactory-Cecgwen

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Sujet de la discussion Highlands of liberty, duo Neilfactory-Cecgwen


vos avis seront les bienvenus

pour les paroles, collaboration de Cecgwen (Cécile Marpeau), Laurent Guédo et Andrew Ashford
musique bien sur, Neilfactory (Lionel Bansept)
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Je trouve bizarre que tu ne trouves rien d'original dans la zic.

J'ai écouté tes deux compos et y a quand même une différence entre techno et musique.

Perso de la techno je peux faire 10 morceaux par jour alors que dés lors que je viens à composer en classique c'est bcp plus long, là y a pas d'issu possible, il faut être musicien.

mais bon, comme tu dis
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Citation : J'ai écouté tes deux compos et y a quand même une différence entre techno et musique


Mes 2 compos ? t'as du te tromper de compte :pong:

Je te trouve assez agressif alors que tu n'as rien compris!

Enfin je suis pas là pour me prendre la tête.
Cette compo c'est du beau boulot!

Citation : Perso de la techno je peux faire 10 morceaux par jour alors que dés lors que je viens à composer en classique c'est bcp plus long


Pareil pour moi mais à l'inverse ;)
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Citation : Perso de la techno je peux faire 10 morceaux par jour


:lol: j'aimerais bien entendre ça ...
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Hors sujet : Oh là, ça bastonne ici ?!!!

A chacun son style, si tu n'aimes passe ton chemin. Car de dire "j'aime pas" ou "pas très original" n'est pas constructif et n'aide pas le compositeur dans son aboutissement ou la correction/amélioration de sa compo. Cette musique, c'est son truc. Respecte son choix. Enfin, cet avis n'engage que moi. :bise:

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

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Bon encore une fois ça passe en boucle.
:aime2: :(( :aime2: :((
Ca a quelque chose d'épique( au sens étendu(e) dans le temps et dans l'espace), ça me fait penser à la BO de Gladiator, Lisa gerrard alias Cécile Marpeau, Hans Zimmer alias Lionel Bansept.
Ben oui moi j'ai adoré cette BO, donc oui j'adore aussi ce morceau, cette mélancolie qui s'en dégage.
Côté ressenti rien à redire... et je sors toujours (parfois) un mais de derrière les fagots. Je trouve l'ambiance du morceau, malgré le chant en anglais, plutôt disons...roman ( d'où ma référence à Gladiator je suppose), méditerranéen (voire africain) dans les 'percus', la rythmique, voire grec (côté épique):?!:
greco-africano-roman :lol: C'est presque mes racines ( me faut une analyse )
Enfin bon, du coup le coup du biniou, cornemuse ou autre panse de brebis celtique( ouai là j'y vais un peu fort ), me semble hors de propos, je veux dire qu'un autre instrument à la place ne m'aurait pas déplu ( cette flûte arabe, par exemple dont le nom m'échappe, dommage). J'argumente juste mon opinion, je dis ça parce que on nous en met plein les feuilles en ce moment du celtique, ou en tout cas plein les miennes, c'est un peu trop dans l'air du temps quoi?! Je parle du celtique.
Mais bon vous bilez pas, ça continue de tourner en boucle...
Voilà qd même Neil t'es un chef, Cécile t'as l'air de vraiment t'éclater et je dois t'avouer que depuis ton album dont j'ai écouté ce qu'il m'était donné d'écouter, t'as fait un p****n de bond, chapeau bas. Vous vous êtes bien trouvé tout les deux, ça fait plaisir à mes oreilles.
Ceci-dit par rapport au ' biniou', vous en pensez quoi enfin peut-être Lionel plus précisément? Bon, je me le remets un dernier petit coup.
Et :bravo: Manque plus qu'un film...
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Devrait on remercier la composition d'etre aussi opportunisée,. aussi limpide,. didactique presque. Devrait on remercier les harmonies d'etre aussi bien rangées, aussi bienvenantes,. à part cette cornemuse qui grince un peu,. quand meme,. et vue l'espace du reste,. ça donne un coté dommageant.
Ou encore remercier le chant épuré venu se confondre le long des syllabes électroniques et humaniser les grondement qui se veulent inquiétants. Les mélodies se perdent tant l'immensité des méandres est nourrissante.
L'ambiance est plantée,. car c'est fait pour ça,. comme une étendue perdue entre un ciel lourd et une montagne nuageuse, l'impact est filmique,. lent et sans contour,. on se pame avec les voix, l'esprit fait le reste. C'est fait pour rever, pour partir un peu sur un recoin d'infini.
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Et bé, Lecyr, t'es un poète. :bravo:

C'est bien tourné. :boire:

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.