Sujet Pour nous remonter le moral .!
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Lyviael
J'ai trouvé un enregistrement et tenais à vous le faire partager
http://desastres.free.fr/LaReineDeLaNuit.mp3
Verdict ?
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arkanovoid
JE ME LA REMET UN COUP TIENS!!! (heu attention... la chanson hein.....)
et moi qui trouve l'opéra pompeux et chiant en général, là j'ai pris moon pied !
c'est quand les concerts près de chez nous?
arkanovoid
Lyviael
Il m'a également parlé d'une femme portugaise de 80 ans qui était femme de ménage et qui a économisé toute sa vie pour faire un CD où elle reprend les plus gros tubes de l'opéra (Mimi, Mme Butterfly etc.) et apparemment c'est culte aussi !
Mais malheureusement je n'ai pas trouvé d'extrait, si quelqu'un a trouvé ces perles, postez les !
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Hit !
/Mode Off : Bah.. ca a aussi quelque chose de terriblement pathétique.
Mais bon, en /Mode résumé, pour notre culture, il faut y aller. La Musique, ca n'a jamais été simple pour quiconque. Sauf pour les gens qui n'aiment pas "la" musique -et la "critiquent" du reste au seul critère qu'ils n' aiment pas. Autre débat.
Hors sujet : De là, remontons-nous le moral...
Lyviael
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Hit !
Citation : En dépit de son manque évident de sens musical, Florence Jenkins était entièrement persuadée de son talent extraordinaire .
En revanche, elle est décédée un mois après le Carnegie Hall .
Voici l'article en question (lien de lyviael) :
Citation : Née Florence Foster en 1868 à Wilkes-Barre, Pennsylvanie, Jenkins eut, enfant, des cours de musique, et exprima le désir de partir étudier la musique à l'étranger. Comme son riche père refusa de payer ces études, elle s'enfuit à Philadelphie avec Frank Thornton Jenkins, un médecin qui devint son mari. Ils divorcèrent en 1902.
Elle vécut en tant qu'enseignante et pianiste. A la mort de son père en 1909, Jenkins hérita d'un pactole qui lui permit d'entamer la carrière de chanteuse, que ses parents et son ex-mari avaient découragée. Elle s'impliqua dans la vie musicale de Philadelphie, en fondant et finançant le Club Verdi ; elle pris des cours de chant et commença à donner des récitals en 1912. La mort de sa mère en 1928, alors que Florence avait 60 ans, lui fit gagner une liberté accrue et les ressources supplémentaires pour poursuivre sa carrière.
Cet album posthume The Glory (????) of the Human Voice, est un "Best-Of". Le livret raconte l'histoire de Florence Foster Jenkins. La couverture montre la diva dans un de ses costumes de récital, "Angel of Inspiration" - "La Muse"Ecoutant ses enregistrements, il apparaît clairement que Jenkins avait un très faible sens de la gamme et du rythme et était à peine capable de tenir une note. On peut entendre son accompagnateur tenter de compenser ses variations de tempo et ses erreurs rythmiques. Néanmoins, elle devient très rapidement populaire grâce à son talent peu accadamique. Son audience l'adorait, plus pour l'amusement qu'elle procurait que pour sa compétence musicale. Les critiques la décrivait souvent en des termes équivoques, qui ont certainement aidé à attiser la curiosité du public.
En dépit de son manque évident de sens musical, Florence Jenkins était entièrement persuadée de son talent extraordinaire . Elle n'hésitait pas à se comparer aux sopranos connues, telles Frieda Hempel et Luisa Tetrazzini. Elle considéraient les éclats de rire qui ne manquaient pas de se produire durant ces concerts, comme provenant de rivales rongées de "jalousie professionnelle". Consciente des critiques, elle rétorquait : "Les gens pourront toujours dire que je ne sais pas chanter, mais personne ne pourra jamais dire que je n'ai pas chanté."
Les morceaux auxquels F. Jenkins s'attaquaient lors de ses récitals, étaient un mélange de standards du répertoire de Wolfgang Amadeus Mozart, Giuseppe Verdi and Richard Strauss (tous largement au-delà de ses capacités), ainsi que des Lieder (incluant des œuvres de Johannes Brahms et des "Clavelitos" de Joaquín Valverde, un succès redemandé et bissé), et de chansons composés par elle-même et son accompagnateur, M. Cosmé McMoon. F. Jenkins portait souvent des tenues sophistiquées, dessinée par elle-même, apparaissant sur scène drapées de tulles et portant des ailes. Pour les "Clavelitos", elle lui arrivait de jeter des fleurs dans l'audience, secouant un éventail et exhibant encore plus de fleurs dans sa chevelure.
Lors d'un accident à bord d'un taxi en 1943, elle découvrit qu'elle pouvait chanter un "LA plus que jamais avant". Au lieu de poursuivre la compagnie de taxis, elle envoya une boîte de bons cigares au conducteur.
Malgré les demandes de son public pour qu'elle se produisit plus souvent, Jenkins restraignait ses rares appariations à quelques endroits favoris, et son récital annuel se tenait à la salle de bal du Ritz-Carlton à New York City. L'auditoire de ses récitals était toujours limité à son loyal club féminin and d'autres hôtes choisis - elle supervisait elle-même la distribution des billets tant convoités. A 76 ans, F. Jenkins céda finalement à la demande de son public et se produisit au Carnegie Hall le 25 octobre 1944. Le récital était tant attendu que les billets pour l'événement furent vendus des semaines à l'avance. F. Jenkins mourut un mois plus tard.
Certains ont prétendu que les 32 ans de carrière de F. Jenkins étaient un canular élaboré, ce qui semble en contradiction avec d'autres avis allégant que sa mort après la performance du Carnegie Hall était le résultat de la dérision prononcée par les critiques. Quoi qu'il en soit, des preuves des deux théories existent. Tout indique que F. Jenkins soit morte avec le sentiment de plénitude heureuse et confiante avec laquelle elle traversa sa vie d'artiste.
F. Jenkins a enregistré neuf arias sur cinq disques 78 tours, qui ont été ressortis en trois CD (aux USA) :
The Muse Surmounted: Florence Foster Jenkins and Eleven of Her Rivals (Homophone Records) qui reproduit un seul morceau de Jenkins, "Valse Caressante", pour voix, flute et piano, mais inclut aussi une entrevue avec le compositeur, qui était aussi son accompagnateur, M. Cosmé McMoon.
The Glory (????) of the Human Voice (RCA Victor) qui contient les 8 autres arias, tout avec M. Moon comme accompagnateur.
Murder on the High C's (Naxos) qui reprend les 9 arias et des morceaux chantés par d'autres personnes, sans l'entrevue avec McMoon.
En 2001, une pièce de théâtre sur F. Jenkins, écrite par Chris Ballance, s'est joué à l'Edinburgh Fringe. Une autre pièce sur la vie de Jenkins, Souvenir, s'est donné à Broadway en novembre 2005, avec Judy Kaye dans le rôle Jenkins. Entretemps, une autre pièce sur Jenkins, "Glorious" par Peter Quilter, se jouait en septembre 2005 au Royaume-Uni.
high_ligh
Anonyme
Sinon elle est vraiment une soprano, elle aurait juste du commencer par faire des cours, et de ne pas faire un air aussi technique, au niveau de la voix elle avait (puisqu'elle est morte) un joli potentiel, c'est juste une chanteuse qui a voulu aller trop vite, en tout cas ça ne m'a pas fait rigoler
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Hors sujet : John touche du doigt mon post # 5.
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