Sujet Ca fait 2 h.
- 29 réponses
- 7 participants
- 2 346 vues
- 2 followers
Anonyme
Anonyme
Citation : Je bosse en studio et tous les ingés son que j'ai rencontré m'ont dit: "les vrais musiciens se perdent, vu les prouesses technologiques dont sont capables les studios actuels, que tu chantes faux ou que tu ne connaisses pas tes morceaux, ça ne change rien! Y a tjs moyen d'en faire qqe chose..."
la phrase qui resume tout . perso je pense que certains guignols qui essaient de nous refourguer leur daube n'ont sans doute jamais ou presque joue d'instrument de leur vie et c là que je te rejoins flytitoubmx on peut les appeler tricheurs ou profiteurs d'un systemeetablie vu leur niveau musicale qui frise souvent le zero.
Truffle
marcouch
Au début le compositeur prend un chant (populaire ou grégorien) le traite en contrepoint mais avant de le traiter le divise en phrases.
Il commence son écriture contrapuntique sur une phrase, la traite, le retraite, en écrit quelques lignes, puis il passe à la deuxième SECTION et haloumma jarra.
Anonyme
Anonyme
Hors sujet : j'ai une autre question qui me demange à la maniere d'un gros morpion (c'est dire !)
il s'agit de la notation de la partie vsoix lors d'un morceau et ses codes.
En effet j'ai releve quelque difference d'une partoche à une autre.
Lorsqu' un mot possede plus d'une syllabe on met des "-" entre celles ci ex : re-mem-ber hors j'ai deja lu des partitions avec plusieurs "-" là ou logiquement j'en mettrais qu'une ex : sing-----ing dread-----ful----ly au lieu de sing-ing dread-ful-ly. ca parle peut etre à certains d'entre vous.
Faut il aussi toujours autant de notes melodique que de syllabes. ou alors existe il d'autre combinaisons dont j'ignorerais l'existence (du style - de syllabes que de notes ou - de notes que de syllabes) ? ca sera tout pour l'instant car je vais mettre mon cerveau en stand by pour eviter le coup de surchauffe
en vous remerciant mrs dames
Anonyme
Hors sujet :
Ben oui, tu peux faire durer une syllabe sur plusieurs notes, on appelle ça un mélisme, et dans ce cas tu peux (dois ?) mettre un '-' sous chaque note.
Evidemment il faut respecter certains accents toniques de la langue, et aussi éviter le ridicule : ce serait maladroit, par exemple, d'écrire un extraordinaire mélisme sur un mot sans importance (comme un article).
J'ai vu parfois des "règles" sur le placement du texte, mais en fin de compte c'était une collection de banalités dictées par le simple bon sens et la "faisabilité", du genre : réserver la dernière syllabe pour la dernière note (!), ne pas mettre une succession de nouvelles syllabes sur une succession de notes très rapides (-> dans ce dernier cas c'est donc *conseillé* de ne mettre qu'une syllabe), etc.
Le seul critère AMHA c'est la "chantabilité" ; essayer 2 ou 3 fois, et si décidément on se plante ou que cela paraît peu naturel (accent inopiné, note longue sur une syllabe normalement courte, ou l'inverse, etc), eh bien alors c'est qu'il y a quelque chose à changer !
Anonyme
Hors sujet : Citation : Evidemment il faut respecter certains accents toniques de la langue,
c'est quoi cette chose ? t'aurais pas un exemple ? ou meme une definition ?
merci
marcouch
c'est juste que historiquement, les compositeurs avaient à leur disposition des partoches ou des chants populaires ou le chant grégorien. Ils utilisaient ces pièces pour en créer d'autres. Une mélodie toute simple pouvait servir à créer une messe. Cette messe devenait des fois source de "travail" pour un autre compositeur.
T'as des messes parodies par exemple où le thème principal est une chanson à boire ou une chanson d'amour. Le "travail" est souvent du contrepoint très élaboré. Des fois t'as un choral Allemand, chez Buxtehude par exemple, il utilise les phrases musicales (correspondant aux texte chanté) pour créer des toccatas pour orgues. Tu sens en les écoutant que chaque section est traitée différemment et la séparation est facile à repérer, maintenant pour repérer le chant d'origine, c'est une question d'analyse et de recherche.
marcouch
Hors sujet : Je pense que les - sont question d'éditeurs et que les règles utilisées pour ces notations dépendent uniquement de souci d'imprimerie. Le remplissage de - sert à indiquer que c'est le même mot. Mais le nombre (à mon avis) n'indique pas forcemment le nombre de notes.
L'accent tonique dans un mot se trouve sur la syllabe la plus longue ou la plus haute du mot. En français, l'accent tonique se trouve toujours sur la dernière syllabe. En italien, s'il est sur la dernière il est souvent indiqué: comme città, caffè... Souvent il est à l'avant dernière, la pénultième comme Marco (prononcé Màrco), et des fois sur l'antépénultième comme origano (prononcé orìgano).
Anonyme
Hors sujet :
Exemple : mont*a*gne, Bret*a*gne, le 'a' est plus lourdement prononcé que les autres syllabes ; ce serait bizare d'avoir un accent musical sous la première syllabe, et encore plus bizare sous la dernière comportant un 'e' (presque) "muet".
Dans ce cas la longueur de la syllabe est corrélée avec son accent, mais AMHA ce n'est pas toujours le cas, par exemple dans "chanter" il me semble que le "chant" est un peu plus long que le "ter" bien que ce soit le "ter" - toujours selon moi - qui reçoive un peu plus d'accent (l'accent étant très souvent final en Français, trop souvent, a-t-on même déploré).
Mais il y a des cas où le mot supporte divers traitements, peut-être :
(les * * encadrent la syllabe accentuée)
(croches égales)
IIIb I II I
à mon a - *mour*
ou
noire croche noire noire
pointée
IIIb I II I
à mon *a* mour
Dans ce cas le "mour" un peu escamoté
permet une relance immédiate(idéalement par une autre voix)
de sorte que l'arrivée sur I n'est pas "bloquante".
C'est bête d'écrire tout ça en HS, mais maintenant, même si un fil spécial était créé, je n'aurais personnellement guère plus à dire...
Désolé, j'avais "mis en page" mes deux exemples, mais l'éditeur compacte plusieurs espaces en un seul, de sorte que l'alignement devient foireux
- < Liste des sujets
- Charte