Sujet The verve
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fruitcake
8880
Je poste, donc je suis
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handcraftsound
1477
AFicionado·a
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Fuyuhiko
26198
Vie après AF ?
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holyhour
203
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handcraftsound
1477
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
Je savai po que les verve avai deja piquer ca de quelqu un d autre g jamai entendu l original mais mm n etan po un fana de rock j adore la version de the verve ca me fai toujour penser a sexe intention 
Projet Xion
2647
Squatteur·euse d’AF
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Citation : Celui des Stones, tu veux dire ?
C'est quoi l'original
fruitcake
8880
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torpscan
968
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ling
11
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Floydian Disciple
174
Posteur·euse AFfiné·e
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Une 'tite contribution à ce topic (10 ans après 
)
Il était une fois une chanson des Stones : "the last time" (présent sur "Beggar's Banquet", si mes souvenirs sont bons
).
Le producteur des Stones, Andrew Loog Oldham, trouva le morceau tellement excellent qu'il décida de faire un "hommage" au groupe en le rééditant ainsi que quelques autres peu de temps après, sous forme "orchestrale", joué par son "very own" Andrew Oldham Orchestra.
Il confia à David Whitaker, arrangeur et compositeur super coté à l'époque (et encore aujourd'hui : les cordes de "Moon Safari" de Air , c'est lui), le soin d'adapter le morceau.
Le résultat est vraiment excellent. Un critique particulièrement dithyrambique et patriote aurait pu écrire un truc du genre :
"Ce morceau est l'expression du génie anglais dans sa forme la plus noble, audacieux tout en restant concis, il symbolise le dynamisme éclatant de notre glorieuse nation, et se place à la proue de son rayonnement universel.
Notre empire "where the sun never sets" est bien vivant et il le démontre à merveille..."
et bla bla bla...
Richard Ashcroft (le chanteur de The Verve) possédait ce disque de reprises orchestrales depuis longtemps lorsqu'il eu la bonne idée de le sampler pour "Bittersweet Symphony", le morceau qui ouvrira l'album connu pour être leur chef-d'oeuvre : "Urban Hymns".
Mais attention ! Le sample n'est pas forcément celui qu'on croit :
l'emprunt fait aux Stones n'est en aucun le riff de violon qui se trouve dans l'intro ou dans le refrain de Bittersweet. Ce dernier a été rajouté au moment de l'écriture ou de l'enregistrement du morceau des Verve par Mr Gavyn Wright, violoniste et chef d'orchestre reconnu. C'est ce riff qui a plus tard été repris (pas terriblement
) par Sugar Daddy.
Le sample réel du Oldham Orchestra consiste seulement en les cordes, les cuivres, les cloches tubulaires et la section rythmique que l'on entend dès le début du premier couplet de Bittersweet (juste à l'arrivée de la batterie), même si ils sont un peu noyés (l'égalisation y est pour beaucoup) par les ajouts "modernes".
Pour ceux qui souhaiterait écouter la version originale (enfin la version orchestrale, donc la "presque" version originale
) sachez qu'elle est disponible sur une compilation : "David Whitaker's Songbook" (édité chez Tricatel 
), rassemblant les coups de maître du compositeur.
Très bon investissement à mon goût... ;)
)Il était une fois une chanson des Stones : "the last time" (présent sur "Beggar's Banquet", si mes souvenirs sont bons
).Le producteur des Stones, Andrew Loog Oldham, trouva le morceau tellement excellent qu'il décida de faire un "hommage" au groupe en le rééditant ainsi que quelques autres peu de temps après, sous forme "orchestrale", joué par son "very own" Andrew Oldham Orchestra.
Il confia à David Whitaker, arrangeur et compositeur super coté à l'époque (et encore aujourd'hui : les cordes de "Moon Safari" de Air
, c'est lui), le soin d'adapter le morceau.Le résultat est vraiment excellent. Un critique particulièrement dithyrambique et patriote aurait pu écrire un truc du genre :
"Ce morceau est l'expression du génie anglais dans sa forme la plus noble, audacieux tout en restant concis, il symbolise le dynamisme éclatant de notre glorieuse nation, et se place à la proue de son rayonnement universel.
Notre empire "where the sun never sets" est bien vivant et il le démontre à merveille..."
et bla bla bla...
Richard Ashcroft (le chanteur de The Verve) possédait ce disque de reprises orchestrales depuis longtemps lorsqu'il eu la bonne idée de le sampler pour "Bittersweet Symphony", le morceau qui ouvrira l'album connu pour être leur chef-d'oeuvre : "Urban Hymns".
Mais attention ! Le sample n'est pas forcément celui qu'on croit :
l'emprunt fait aux Stones n'est en aucun le riff de violon qui se trouve dans l'intro ou dans le refrain de Bittersweet. Ce dernier a été rajouté au moment de l'écriture ou de l'enregistrement du morceau des Verve par Mr Gavyn Wright, violoniste et chef d'orchestre reconnu. C'est ce riff qui a plus tard été repris (pas terriblement
) par Sugar Daddy.Le sample réel du Oldham Orchestra consiste seulement en les cordes, les cuivres, les cloches tubulaires et la section rythmique que l'on entend dès le début du premier couplet de Bittersweet (juste à l'arrivée de la batterie), même si ils sont un peu noyés (l'égalisation y est pour beaucoup) par les ajouts "modernes".
Pour ceux qui souhaiterait écouter la version originale (enfin la version orchestrale, donc la "presque" version originale
) sachez qu'elle est disponible sur une compilation : "David Whitaker's Songbook" (édité chez Tricatel ), rassemblant les coups de maître du compositeur. Très bon investissement à mon goût... ;)
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