Ah je reconnais bien là notre Gabou je ne peux que te suivre sur l'idée qu'il n'y a pas de liberté sans contraintes (ex : les Tympans de l'art roman, etc) et que le truc des tronçonneuses n'est pas très neuf (mais j'ai utilisé cet exemple pour signifier que ce qu'on peut accepter sur scène, parcequ'il y a le lieu, l'ambiance...bref, une certaine situation, on ne l'accepterait pas forcément sur sa platine). Mais, mon idée de l'impro libre, n'est pas l'absence de cadre ; le cadre peut être celui de la simple écoute attentive, des autres (dans le cas du trio de Jarrett par ex (je parle de Inside Out que je t'invite quand même à écouter malgré ton dégoût de Jarrett , ou par ex, le trio de Bley, Parker, Philips) et de soi-même. le flux de l'impro, c'est le cadre lui-même, et au fil de l'impro, on organise, on attache des motifs, on invente et reprodruit, dans le mouvement lui-même : c'est ce qu'il y a de fabuleux, d'indescriptible. le choix, la décision...quelque fois c'est pas ce qu'on voulait, puis ça se transforme...
... en tout cas, y a certains solos de posteurs que je prefererais eviter moi ... ... parce que j les jugerais (peut etre a tord) comme du n importe quoi... vu les commentaires...
... en plus commencer, developper et terminer un solo uniquement en "free", desole mais c est chiant et ca n apporte rien...