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Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)

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Sujet de la discussion Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
:8) j'ai surfer un peu ce matin sur le net pour me renseigner sur l'actualité du disque en france
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu

LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements


plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur <img src=(" />
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Et malheureusement les auditeurs (enfin... une bonne partie d'entre eux ne polarisons pas...) on les tellement saoulé avec de la connerie en boîte que c'est comme avec les clopes, ils en redemandent! :??:

 

 

 

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Très juste ragoutoutou.

bcp de choses bien resumé clairement.

Hors sujet : je ne suis pas pour TOUT gratuit !
attention aux raccourcis !

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Les sociétés d'auteurs accusées de monopole
La Commission européenne entame une procédure pour «entrave à la concurrence».

par Florent LATRIVE
Libération, mercredi 08 février 2006

"Et paf, la Commission européenne a trouvé un nouveau monopole dans lequel shooter. Après plusieurs mois passés à critiquer les monopoles nationaux de fait des sociétés de gestion collective des droits d'auteurs ­ comme la Sacem en France (lire ci-contre) ­ accusées de brider le développement d'un marché de la musique via l'Internet, l'exécutif européen a ouvert hier une procédure formelle à leur encontre pour «entrave à la concurrence». C'est la première étape d'un processus qui pourrait conduire à des amendes. En ligne de mire : les accords qui lient les sociétés de gestion collective nationales entre elles et leur «garantissent une position absolument exclusive sur leur marché national», «renforçant» un «monopole historique de fait» sur chaque territoire.

Répertoires rentables. La Commission évoque deux griefs principaux. Primo, tout auteur ou compositeur d'un pays est tenu de s'inscrire dans la société de ce même pays. Deuzio, tout service, comme iTunes d'Apple, désireux de lancer un commerce de musique en ligne au niveau européen doit demander une autorisation par pays, soit 25 demandes et négociations différentes pour un service couvrant toute l'UE. A des années-lumières du marché unique de la musique souhaité par la Commission, qui plaide pour une «licence paneuropéenne» et a exprimé à plusieurs reprises son souhait de voir les sociétés d'auteurs se faire concurrence au sein de l'Union, au moins sur les modes d'exploitation les plus récents, de l'Internet au câble.

«On est en plein dogmatisme, s'agace un cadre d'une des sociétés européennes visées. L'idée de monopole, même naturel, donne des boutons à la Commission, et l'idée de territoire aussi.» Selon les institutions mises en cause, la concurrence à la mode de la Commission se ferait au détriment des auteurs les moins diffusés ou les plus locaux car certaines sociétés se spécialiseraient dans les répertoires les plus rentables, comme la variété internationale. Alors qu'elles sont tenues aujourd'hui d'accepter la quasi-totalité des auteurs qui le désirent.

Quatre majors. De plus, si les sociétés d'auteurs sont loin d'être sans défaut (manque de transparence, frais de gestion assez élevés, voire difficulté à gérer rapidement l'évolution technologique), elles ne sont pas les seules responsables de l'extrême complexité pour lancer un service de musique en ligne européen. Car, même si la Commission parvenait à pousser une réforme importante, les services en ligne devraient toujours aller réclamer l'autorisation d'exercer auprès d'une autre catégorie d'ayants droit : les producteurs et maisons de disques.

Or 80 % du répertoire total est accaparé par quatre majors (Sony-BMG, Universal Music, EMI et Warner Music) qui n'hésitent pas à imposer leurs conditions aux services en ligne, quitte à les plomber en refusant l'accès à leur catalogue ou en imposant des conditions ­ notamment tarifaires ­ drastiques. La Commission a d'ailleurs fait preuve d'une plus grande compréhension à l'égard des maisons de disques : elle avait refusé de bloquer la fusion de Sony et BMG en 2004, estimant que cette concentration ne nuisait pas à la concurrence. Les sociétés d'auteurs mises en cause par l'Europe ont deux mois pour faire part de leurs remarques.
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Droits d'auteurs : la décision de Bruxelles contre le Gesac

La Commission européenne conteste la légalité des accords passés entre sociétés d'auteurs européennes, qui empêchent les diffuseurs d'obtenir une licence paneuropéenne auprès d'un seul organisme. Le Groupement européen des sociétés d'auteurs et compositeurs (Gesac) n'est pas d'accord.

Citation :
"Le système actuel en Europe était adapté au XIXe siècle et à la plus grande partie du XXe siècle, mais il est anachronique au XXIe siècle", explique le porte-parole de la commissaire européenne à la Concurrence, cité par les Echos.



La solution proposé par UE depuis près de 2 ans, est une une licence paneuropéenne qui permettrait à ces acteurs de s'installer sur le marché beaucoup plus rapidement.

Ce qui bien entendu ne satisfait pas les sociétés d'auteur puisque que la creation d'une licence européenne se feraient, qu'ils disent, au détriment des auteurs les moins diffusés ou les plus locaux.

C'est vrai que les majors n'influencent pas du tout les offres mises en lignes côté tarifaire et favorisent les moins diffusés...pfff
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J ai pas tout saisi ca a pas l air tres clair.

neanmoins :

Citation : la Commission, qui plaide pour une «licence paneuropéenne»



la France y est oppose mais l Europe... On y viendra de toute facon a cette histoire de licence (je vous l accorde c ets pas la licence dont on discutais mais ca a l air de s en approcher un peu)
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Citation : Ce qui bien entendu ne satisfait pas les sociétés d'auteur puisque que la creation d'une licence européenne se feraient, qu'ils disent, au détriment des auteurs les moins diffusés ou les plus locaux.



c est la fin de la SACEm ? Pas un mal en soit... hummmm
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Banana: il ne s'agit pas là de licence de téléchargement, mais de licence d'exploitation des oeuvres. :non:
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Je sais pas ce qu'elle pourrait valoir cette " licence " ( encore une :volatil: ) mais cela aurait peut être le mérite de faire bouger les monopoles historique... pour quel profit... :?!: européen bien sur
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J avais compris, c est juste le terme qui mamusait
neanmoins je crois comprendre qu on en est pas si loin, car la licence d exploitation deviendrais europeene, ca aurait des facilites pour un systeme type "licence" pour internet , non ?
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Citation : la Commission, qui plaide pour une «licence paneuropéenne» et a exprimé à plusieurs reprises son souhait de voir les sociétés d'auteurs se faire concurrence au sein de l'Union, au moins sur les modes d'exploitation les plus récents, de l'Internet au câble.


Comme Sarko dit, tiré de libé, c'est surtout pour les modes d'exploitation, y compris internet, maintenant on peut, peut être penser à une licence spécial net ? !!