Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
Anonyme
Hit !
Hors sujet : Ragou >
Tu viens prendre un pot avec nous à Bruxelles Samedi prochain ?
Je vais prémasteriser à Liège le 23 et on a rendez vous (entre 20 et 30 afiens belges) à Koekelberg, pas loin de Simonis (je te donne les coordonénes en mp si tu veux) à partir de 16-17 heures en pélude à une soirée qui s'annonce bien euh... enfin qui s'annonce, quoi !...
Dvd en vtt >
S'lut !
J'ai pas encore contacté Fafi...
Au retour de Belgique, fin du mois sans doute.
Allis
La musique seule est peut-être passée de mode
3 choses :
1 - La pauvreté augmente donc le marché des loisirs encaisse le premier.
2 – Aujourd’hui, les offres dans le domaine du divertissement se sont multipliées. La plupart des gens que je connais achètent plus de DVD’s que de cd’s de musique seule. Regardez dans une grande surface l’espace consacré aux DVD’s et aux CD’s. On devraient selon moi pouvoir totaliser l’ensemble des achats tous médias confondus, on se rendrait peut-être compte que la musique se vend moins mais que les ventes d’autres médias ont explosé comme les jeux vidéo.
3 – Le peer to peer : Je pense en effet que c’est une violation pure et simple du droit d’auteur. Je pense néanmoins que les maisons de disques se trompent en partie de combat. Si on faisait un sondage sérieux sur les différents médias liés au divertissement, on trouverait peut-être comme résultat la théorie que j’avance, c'est-à-dire que les gens préfèrent de plus en plus investir dans des films en DVD, des jeux vidéos ou autres médias de divertissement , que dans la musique seule.
Et ça, les maisons de disques n’ont aucun contrôle là-dessus.
position.on.off
Citation : 1 - La pauvreté augmente donc le marché des loisirs encaisse le premier.
c'est clair que si la pauvreté augmente c'est les marchés qui concernent des biens ou services "secondaires" qui y passent, mais franchement je suis pas convaincu que la pauvreté augmente, le pouvoir d'achat est plutôt stagnant, et je pense pas que les inégalités sociales aient tant augmenter que ça , depuis "la crise du disque"
Citation :
2 – Aujourd’hui, les offres dans le domaine du divertissement se sont multipliées. La plupart des gens que je connais achètent plus de DVD’s que de cd’s de musique seule. Regardez dans une grande surface l’espace consacré aux DVD’s et aux CD’s. On devraient selon moi pouvoir totaliser l’ensemble des achats tous médias confondus, on se rendrait peut-être compte que la musique se vend moins mais que les ventes d’autres médias ont explosé comme les jeux vidéo.
là dessus je suis bcp plus d'accord, la crise du disque est avant tout un arbitrage des loisirs différents, en faveurs comme tu le dis des dvd et des jeux vidéos
la question est de savoir comment rétablir l'arbitrage en faveur de la musique, et si on tient compte du peer to peer et de la radio, est ce que la consommation de musique a vraiment baissé? (qd je dis consommation , dans ce cas là je ne parle pas d'acte d'achat mais plutot de temps passé à écouter de la musique par exemple)
Citation :
3 – Le peer to peer : Je pense en effet que c’est une violation pure et simple du droit d’auteur. Je pense néanmoins que les maisons de disques se trompent en partie de combat. Si on faisait un sondage sérieux sur les différents médias liés au divertissement, on trouverait peut-être comme résultat la théorie que j’avance, c'est-à-dire que les gens préfèrent de plus en plus investir dans des films en DVD, des jeux vidéos ou autres médias de divertissement , que dans la musique seule.
je suis pas si certain, notamment à cause de la remarque que j'ai fais juste au dessus , ce que je pense aussi, c'est que la musique a été completement décridibilisée de part les politiques à très court termes des majors entre autre, et que qqpart l'objet "disque" a bcp perdu de sa superbe et de son charme.
à part ça oui combattre le peer to peer à la manière des major c'est un peu idiot , je pense que les stratégies qui sont entrain d'être mises en place sont peut être plus adapté, de toute façon on est tjs dans le doute pour savoir le nouveau modèle économique qui va émerger en musique
mais par exemple je pense que les dvd musicaux relèvent plus souvent du gadget que d'un réel intérêt
remilami
j'ai jeté un oeil assez attentif a l'article de Jener que tu as mis en lien.
cet article est très très intéressant. Effectivement, Jener a l'air de vraiment bien connaitre son sujet et d'apporter des éclairages très sérieux quant à l'avenir de l'industrie musicale,
pour ceux qui ne l'aurait pas lu, je rappelle que Jener fut manager des Pink Floyd et des Clash , rien que ça, et que cette interview a été donnée en prélude à séminaire de ce jener et d'autres personnes a propos l'avenir de l'industrie musicale. Alors revoici le lien de cet article . Attention c'est en anglais et c'est dur
Justement Gabou...
Je pensais être pas mauvais en anglais (j"ai vecu en irlande un an et demi).
Là j'ai vraiment eu du mal.
Pourtaant j'aimerai beaucoup en extraire les idées maîtresses.
J'ai pas bien saisi ce qu'il appelle le bottom line, ni le DRM, ou le PPL.
Quoique pour le DRM, je pense que c'est digital right management, ce
qui pourrait se traduire par gestion des droits d'auteur, mais là il dit "DRM is dead". ...le sens ne va pas.Il parle de la loi sur les droits d'auteurs peut être ?
Aussi, qu'as tu compris de ce système de caisse noire? (black box je veux dire)
Si tu pouvais me préciser ce serait cooooooooool
A moins que tu connaisse des sites où ce genre de terme puisse être traduit ?
Pov Gabou
Citation :
Je pensais être pas mauvais en anglais (j"ai vecu en irlande un an et demi).
Là j'ai vraiment eu du mal.
Pareil. Je veux pas dire de conneries, donc faudrait que je relise l'article; comme toi, j'avais trouve tres interessant cette histoire de blackbox. Et son discours est totalement different des poncifs qui constituent 99 % de ce thread.
ratafiole
ce sont les drm qui limitent le nombre de copies ou de gravures possibles, etc.
il ya un gros débat autour des drm en ce moment aux USA, notamment depuis l'irruption d'emusic, une plateforme de téléchargement légal user-friendly, sans drm (et avec un gros catalogue).
La blackbox je pense qu'il voit ça comme un espece de trou noir où disparaissent les sommes non affectées par les sociétés d'auteurs.
en france les sommes non réparties aux ayant-droits par les sociétés civiles d'auteur sont affectées aux subventions pour les artistes/producteurs, et/ou placés et répartis quelques années plus tard à tous les sociétaires, au prorata de leurs perceptions, donc bien sur ça profite d'abord aux gros labels, mais pas seulement.
PPL c'est phonographic performance ltd, une société civile de perception qui collecte les droits d'execution publique.
remilami
je t'adore mais je commence à être jaloux. Tu sais toujours tout sur tout.
Grrrrrrrrrrrrrr!
As-tu lu l'article en question?
Si oui, qu'en as-tu compris?
De mon côté je vais essayer de le traduire un peu plus sérieusement, on verra bien ce que ça donne
ratafiole
Citation : Le marché du disque c'est la catastrophe
lu dans Musique Info Hebdo (par Romain Berrod):
Citation : sur les 10 premiers mois de l'année, le marché du support physique a reculé de 11,7% en valeur p/r à la meme période en 2005. (...)
...consommation de + en+ tardive du disque en période de fin d'année. "les labels ont adapté leur politique a une nouvelle réalité: le disque est devenu un cadeau de derniere minute. (...)
les volumes du top10 albums ont augmenté de 11,3% p/r à 2005. (...)cette augmentation illustre la concentration de + en + importante des volumes sur qq références, alors qu'on constate une baisse du nb de references vendues à au moins un exemplaire.
le telechargement déçoit: (...) malgré la montée en puissance de l'offre, les progressions ne sont pas celles que l'on était en droit d'esperer (...) un peu plus de 3% du marché total...on s'attendait à une pregression à 3 chiffres et à une part de marché approchant les 10%
fritesgrec
Au final les maisons de disques gagnent largement bien leur vie au nombre d'écoutes qu'elles provoquent.
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