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Branchement Carte Son avec Hardwares

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Sujet de la discussion Branchement Carte Son avec Hardwares
Bonjour tout le monde.
Après avoir cherché des heures sur le net, je m'étonne de ne pas avoir trouvé ma réponse tant ma question me parait basique. Je débute en Home-Studio et je viens de faire l’acquisition d'une carte son Rme Fireface UCX et de plusieurs modules: Compresseur ACP88, Aural Exciter C2, preampli...etc.

Ma question est la suivante : Comment brancher tout cela dans un rack? Je souhaite pouvoir écouter en temps réel les modifications que j'apporte sur les potards dans les enceintes de monitoring avant d'enregistrer sur Cubase et surtout décider d'activer (ou non) tel ou tel module en fonction de mes envies.

J'ai cru comprendre qu'il fallait des Cables d'Inserts (jack en Y) pour que le son puisse entrer et ressortir mais ça me parait encore un peu flou...

Enfin, sur ma carte son je voudrais savoir comment effectuer le branchement final au niveau des Imputs, Outputs.

J'attends avec impatiences vos réponses et vous remercie d'avance. Cela me fera faire un bon en avant dans ma compréhension des mécanismes de traitement du son.
Musicalement.

[ Dernière édition du message le 20/08/2016 à 11:55:07 ]

2
Hmm, ca me semble une manière assez complexe (et onéreuse) de débuter ...

Commençons par le commencement : Qu'est-ce que tu enregistres (styles, instruments) ? Combien de pistes en même temps ? Avec quels micros ? Quels préamplis ?

En ce qui concerne les autres périphériques hardware, ca me semble prématuré voire superflu.

Par exemple, compresser à l'enregistrement était nécessaire au XXe siècle, quand on n'avait que des convertisseurs 16 bits : la zone utile entre bruit de quantification et saturation numérique était limite par rapport à la dynamique des instruments et des voix. Aujourd'hui en 24 bits ce n'est plus un problème, on peut se contenter de compresser au mixage. Les ingés aguerris pratiquent la compression à la prise pour gagner du temps et donner une certaine couleur, mais on ne peut faire ca bien que quand on a une idée précise du résultat qu'on va obtenir. Là tu auras largement assez de boulot pour bien placer tes micros et bien étager tes gains (vise un niveau RMS de -18 dBFS) pour ne pas avoir besoin de bidouiller des compresseurs en plus.

Au mixage, on peut effectivement ressortir de l'interface par des sorties ligne, passer par un périphérique, et re-rentrer dans la boîte. Ca fait des conversions supplémentaires, mais maintenant les convertisseurs sont assez transparents. Par contre, ce que ca apporte par rapport à utiliser des plug-ins est discutable (et très discuté ici). Pour moi ca se joue entre le côté intuitif de la manipulation des boutons, et le côté pratique de la mémorisation des paramètres. Côté son, même si il y avait une différence ce n'est pas ca qui changera la qualité finale de la musique.

Dans les deux cas, pas besoin de câbles en Y puisqu'il n'y a pas de connecteurs d'inserts sur ton interface audio. Pour les branchements, lis les notices ...


Mon conseil : ne te focalise pas sur le matos, l'important c'est la compétence de celui qui s'en sert. Apprends à enregistrer proprement juste avec tes micros et ton interface audio, et à mixer avec les plug-ins de base de ta STAN : EQ, compresseur, reverb, delay, et rien d'autre. Une fois que tu maîtrises ca, tu pourras intégrer d'autres périphériques.
3
Je suis d'accord avec Jimbass, c'est vraiment onéreux pour se lancer dans le Home Studio...
Tant mieux pour toi si tu as les moyens, mais je pense que tu achètes la Ford Mustang avant même d'avoir le permis.
Avec quoi enregistres-tu comme logiciel, utilises tu des VST, quel style de musique enregistres-tu?
Et faudra m'expliquer en quoi tu comptes te servir de l'ACP 88, je suis bin curieux.

Pour être parfait, il faut commencer par être savoyard!

4
Merci Avgruun et Jimbass pour vos réponses rapides.

Pour rentrer dans les détails, j'enregistre depuis pas mal de temps avec un micro en rentrant directement dans ma carte son et je fais mes petits mix avec des vst instruments et vst plugins. (En débutant !)

Je fais de la musique Acoustique Folk (Chant / Guitare + Vst Instruments)
Aujourd'hui je veux m'acheter de meilleurs micros, pouvoir enregistrer une batterie et m'ouvrir à plus de possibilités de sons, évoluer musicalement.

J'ai parfaitement conscience que le plus important est avant tout la maîtrise de la prise de son et du mix.
J'ai acheté ces modules hardwares d'occas' pour une bouchée de pain et j'imaginais que le son provenant de ces modules serait meilleur que les plugins.. (peut être pas selon vous ?)

En tout cas, je pense qu'il est indispensable que je connaisse le fonctionnement et le branchement de ces modules dans en rack complet.
5
D'accord, pour router un signal dans les hardwares c'est pas bien compliqué mais ça demande un poil de concentration:
Dans ton mix sur logiciel, tu dois l'orienter un signal vers une sortie analogique (line out) de ta carte sont, de manière à ce que les convertos de ta carte son repassent le se signal numérique en analogique.
De cette line out, tu peux brancher tes hardwares (au delàs de 5, je te conseillerai un patchbay) en série afin de former une boucle et repartir dans une entrée de ta carte son afin de convertir le signal analogique traité en signal numérique et le récupérer avec ton séquenceur.
Ça, c'est la méthode générale, la base.
Après, il te faut choisir une priorité dans ta chaîne (comme avec les vst)(ex: preamp-> comp-> EQ ou alors Preamp-> EQ-> comp etc...) et là il faut prendre le temps de bien savoir ce que l'on veut.

Il faudra très certainement compenser une latence entre la sortie et l'entrée du signal aussi, mais bon avec une RME, ça devrait se faire.

Pour être parfait, il faut commencer par être savoyard!

6

Pour faire du mixage avec outboard tu peux voir comment j'ai procédé. icon_wink.gif

Les séquenceurs récents compensent la latence sans que tu ais besoin de la mesurer.

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

7
Citation :
Il faudra très certainement compenser une latence entre la sortie et l'entrée du signal aussi, mais bon avec une RME, ça devrait se faire.


A moins d'utiliser une version de protools (le LE, pas le HD) datant de plusieurs années, c'est hors sujet : les séquenceurs embarquent tous un compensateur de latence des bus auxiliaires pour justement ne pas du tout avoir à gérer ça. Le séquenceur va tout gérer tout seul comme un boss.

Citation :
J'ai acheté ces modules hardwares d'occas' pour une bouchée de pain et j'imaginais que le son provenant de ces modules serait meilleur que les plugins.. (peut être pas selon vous ?)


Possible, ou pas...Perso je dirais que non, Presonus c'est pas du tout du haut de gamme. Amha c'est loin derrière un bon plugin équivalent.
Dans tous les cas, je te recommande plus que vivement de ne pas utiliser ces effets à la prise, mais voir (écouter) après enregistrement si t'en as besoin ou pas.
Une bonne prise de son est avant tout une prise neutre et de la meilleure définition sonore possible.
8
Citation de Avgruun :
Dans ton mix sur logiciel, tu dois l'orienter un signal vers une sortie analogique (line out) de ta carte sont, de manière à ce que les convertos de ta carte son repassent le se signal numérique en analogique.
De cette line out, tu peux brancher tes hardwares (au delàs de 5, je te conseillerai un patchbay) en série afin de former une boucle et repartir dans une entrée de ta carte son afin de convertir le signal analogique traité en signal numérique et le récupérer avec ton séquenceur.

Ca c'est l'utilisation au mixage, et à cette étape il n'y a aucun intérêt à utiliser des préamps puisqu'on ne traite que des signaux de niveau ligne.

On peut aussi patcher des traitements pour les utiliser lors de l'enregistrement (entre préamps et entrées ligne de l'interface audio). Mais là si on a eu la main trop lourde il faut refaire la prise. A éviter si on n'a pas une très bonne connaissance de son matos et de l'intention artistique.

Citation de motored33 :
Pour rentrer dans les détails, j'enregistre depuis pas mal de temps avec un micro en rentrant directement dans ma carte son et je fais mes petits mix avec des vst instruments et vst plugins. (En débutant !)


Beaucoup de pros ne font pas autrement. L'important c'est de déterminer précisément où on veut aller, et ensuite de savoir quels outils utiliser pour y arriver.

Citation de motored33 :
Aujourd'hui je veux m'acheter de meilleurs micros, pouvoir enregistrer une batterie et m'ouvrir à plus de possibilités de sons, évoluer musicalement.


Ca me semble tout à fait raisonnable comme objectif. L'important surtout c'est d'avoir des préamplis (et des entrées dans l'interface audio) en quantité suffisante pour tout ce que tu veux enregistrer simultanément. On peut déjà enregistrer une batterie proprement avec 4 micros ou moins, il n'est pas forcément utile d'en mettre partout.
Quant à ouvrir des possibilités musicalement, c'est surtout en termes d'arrangement que ca se joue, pas sur des détails techniques.

Citation de motored33 :
J'ai acheté ces modules hardwares d'occas' pour une bouchée de pain et j'imaginais que le son provenant de ces modules serait meilleur que les plugins.. (peut être pas selon vous ?)


OK si tu as fait une affaire. Mais si ce sont des équipements qui ne sont pas parfaitement adaptés à ton besoin, il ne faudra pas avoir de scrupules à ne pas s'en servir, voire à en revendre.
Les plug-ins ont fait d'énormes progrès ces dernières années, et honnêtement personne ne fera la différence au sein d'un mix. Alors oui, en comparaison directe sur de bons moniteurs il peut y avoir une différence subtile entre un plug-in et la machine qu'il est censé émuler. Et alors ? Tant que ca sert le morceau ...
Après il reste la question de l'ergonomie, où chacun a ses avantages et ses inconvénients.
9
Je ne m'attendais pas à autant de précision. Merci tout le monde.
Je pense déjà y voir plus clair, surtout au niveau de mes besoins.
La plupart des vst feront donc l'affaire plutôt que du gros module très coûteux.

Pour résumer :
- Je branche mon preamp' sur mes entrées micros.
- Je branche mes hardwares en chaîne sur le line out.
10
Citation :
- Je branche mon preamp' sur mes entrées micros.

Non. Ton preampli doit être branché sur les entrées ligne, pas micro.
11
Oui desolé, les entrées micros sont deja préamplifiées!!
12
Citation de Jimbass :

Par exemple, compresser à l'enregistrement était nécessaire au XXe siècle, quand on n'avait que des convertisseurs 16 bits : la zone utile entre bruit de quantification et saturation numérique était limite par rapport à la dynamique des instruments et des voix. Aujourd'hui en 24 bits ce n'est plus un problème, on peut se contenter de compresser au mixage. Les ingés aguerris pratiquent la compression à la prise pour gagner du temps et donner une certaine couleur, mais on ne peut faire ca bien que quand on a une idée précise du résultat qu'on va obtenir.


Pas tout à fait. Le fait de compresser à la prise ne se fait pas dans une optique de gain de temps mais de qualité de prise de son. En fait, si on estime qu'un son a besoin d'être compressé par exemple pour une raison x ou y, il est mieux de le faire à la prise car c'est un traitement qui va influer sur le jeu du musicien. Compresser après coup, c'est risquer de modifier significativement les nuances de jeu du musicien d'une manière inadéquate. Il peut alors devenir beaucoup plus difficile d'obtenir le contrôle désiré tout en maintenant l'intégrité de l'interprétation. Si le compresseur est présent dès la prise le musicien va adapter son jeu et bien souvent (notamment pour les chanteurs par exemple), cela va augmenter significativement son niveau de confort et donc la qualité de sa performance. Pareil pour l'EQ. On joue mieux si ce qu'on écoute est plus proche du produit fini que de la prise brute.
L'autre aspect est effectivement que si on sait déjà qu'un son a besoin d'un traitement, il n'y a aucune raison valable de remettre cette décision à plus tard. Pourquoi passer la moitié de son temps et de son énergie à faire au mix ce que l'on aurait déjà pu (dû) faire à l'enregistrement ?

Évidemment il faut savoir ce que l'on cherche à obtenir mais j'ai envie de dire que si ce n'est pas le cas, ce n'est même pas la peine de penser à enregistrer quoi que ce soit !

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

[ Dernière édition du message le 22/08/2016 à 19:41:55 ]

13
Il y avait quand même bien des raisons purement techniques à compresser à la prise, à partir du moment où aux débuts du numérique on ne pouvait plus "pousser dans le rouge" une bande magnétique analogique et où on risquait sur la même piste d'avoir selon les instants soit du bruit de quantification audible soit une saturation numérique.
Le souci, c'est qu'on continue d'entendre régulièrement ce conseil obsolète, d'enregistrer le plus fort possible et de compresser/limiter à la prise pour frôler la saturation numérique ... :|

Je n'avais pas expérimenté l'influence sur le jeu du musicien, mais je comprends bien : l'influence du taux de distorsion (qui est aussi une grosse compression) sur le jeu d'un guitariste est un phénomène qui m'est familier.

En ce qui concerne le fait de ne pas remettre ces traitements au mixage, je suis bien d'accord que c'est l'idéal : plus rapide, en phase avec l'intention du moment, une orientation artistique bien définie. Mais quand on débute ou qu'on n'est pas encore bien aguerri, c'est risqué. Mieux vaut ne rien faire (d'autant que c'est techniquement possible en 24 bits) que de ruiner la prise en ayant fait de mauvais choix. Et quand on n'a pas encore l'oreille assez éduquée pour doser une compression subtile, on a vite fait d'en mettre des tonnes.
Et c'est bien en enregistrant encore et encore qu'on apprend à savoir d'avance le résultat qu'on veut obtenir.
14
Citation de Jimbass :

Et c'est bien en enregistrant encore et encore qu'on apprend à savoir d'avance le résultat qu'on veut obtenir.


Certes, mais je trouves qu'on apprend plus vite à savoir quel résultat on veut obtenir quand on cherche à l'obtenir dès le départ. Surtout que lorsqu'on débute, on a vite fait de s'habituer à ses prises et du coup de s'en contenter... ou de toute façon les détruire par la suite au mix !
J'ai toujours pensé que lorsque l'on apprend à marcher, il ne faut pas avoir peur de tomber et se mettre debout à un moment donné ;)

EDIT : un autre aspect que j'ai oublié de mentionner tout à l'heure est le fait que lorsque l'on repousse ce type de décision ou qu'on ne les assume pas, on se met soi même dans une position de remettre en cause chacune de nos décisions lors du processus créatif avec le risque de ne jamais avancer concrètement (ou perdre énormément de temps sur l'ensemble d'un projet). L'exemple le plus frappant qui me vienne à l'esprit c'est la tendance que je vois se développer d'enregistrer les guitares électriques en DI pour "se laisser le choix du son par la suite". Selon moi, c'est le comble de la procrastination et du manque de vision artistique.

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

[ Dernière édition du message le 22/08/2016 à 20:37:46 ]

15
Citation :
L'exemple le plus frappant qui me vienne à l'esprit c'est la tendance que je vois se développer d'enregistrer les guitares électriques en DI pour "se laisser le choix du son par la suite".

Justement, l'expérimentation développe l'esprit artistique et ouvre des voies que l'on n'aurait jamais exploré, amha.

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

16
Citation de Beatless :
Citation :
L'exemple le plus frappant qui me vienne à l'esprit c'est la tendance que je vois se développer d'enregistrer les guitares électriques en DI pour "se laisser le choix du son par la suite".

Justement, l'expérimentation développe l'esprit artistique et ouvre des voies que l'on n'aurait jamais exploré, amha.


Rien de mal à l'expérimentation mais il y a un moment pour tout. Quand on envoie au mix des pistes de guitares DI en espérant que le mixeur devine quel est le meilleur son de guitare pour son morceau (vécu et pas qu'une fois), ce n'est plus de l'expérimentation. De plus, pour expérimenter il faut un point de départ et un objectif à atteindre. Si on n'a pas ces deux éléments, comment peut-on juger que le résultat est bon ou pas ? On ne fera qu'obtenir une masse de résultats tous différents qui demanderont une quantité énorme d'énergie à trier par la suite. Rien ne sert d'ouvrir des voies nouvelles si on ne fini jamais le projet.

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

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Peace également. :boire:

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

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Hors sujet :
Citation de globule_655 :
Quand on envoie au mix des pistes de guitares DI en espérant que le mixeur devine quel est le meilleur son de guitare pour son morceau (vécu et pas qu'une fois), ce n'est plus de l'expérimentation.


Pour le prochain opus de mon groupe, dont on termine actuellement le mixage, on a enregistré les guitares à la fois en DI et avec un micro devant chaque ampli. On a fait des choix de sons assez marqués, mais on a également fait le choix de rester sur un taux de disto mesuré, en partant du principe qu'on pourra toujours en rajouter au mix mais pas en enlever.

Et effectivement, notre ingé son a utilisé ces prises DI pour faire du réamping complémentaire des prises ampli, afin de coller au mieux à des choix artistiques qu'on a définis ensemble. Idem pour des samples de batterie, en complément du son capté en studio.
Le résultat nous plaît beaucoup, ca nous conforte dans la démarche.
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Citation de Jimbass :
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Hors sujet :
Citation de globule_655 :
Quand on envoie au mix des pistes de guitares DI en espérant que le mixeur devine quel est le meilleur son de guitare pour son morceau (vécu et pas qu'une fois), ce n'est plus de l'expérimentation.


Pour le prochain opus de mon groupe, dont on termine actuellement le mixage, on a enregistré les guitares à la fois en DI et avec un micro devant chaque ampli. On a fait des choix de sons assez marqués, mais on a également fait le choix de rester sur un taux de disto mesuré, en partant du principe qu'on pourra toujours en rajouter au mix mais pas en enlever.

Et effectivement, notre ingé son a utilisé ces prises DI pour faire du réamping complémentaire des prises ampli, afin de coller au mieux à des choix artistiques qu'on a définis ensemble. Idem pour des samples de batterie, en complément du son capté en studio.
Le résultat nous plaît beaucoup, ca nous conforte dans la démarche.


Je n'avais pas vu ton commentaire.
Le cas que tu décris est différent dans la mesure où des choix ont été faits pendant l'enregistrement. Vous n'êtes pas, au moment du mix, à n'avoir aucune idée du son de guitare que vous voulez. Votre démarche s'inscrit plus dans le domaine de l'insécurité vous poussant à laisser toutes vos options ouvertes plutôt que de l'absence de décision dont je parlais.
Le cas que j'évoquais et ai déjà vécu est celui où j'ai reçu uniquement des pistes de DI pour les guitares pour le mix et le groupe s'attendait à ce que je fasse ces choix pour eux.

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla