Avis sur les compos Classique

Technique :

Technique n'appelant aucune critique particulière. Ca s'écoute sans grincements de dents !

Artistique :

La mélodie est très belle ; romantique et même élégiaque. La marche harmonique est fine, subtile et ménage d'habiles contrepoints. En écoutant cette Transparence, la première fois, je me suis dit que l'extrème souplesse de la cellule thématique génératrice, (le thème de début quoi !) pourrait donner, sans grandes transformations structurelles ni harmoniques, un superbe morceau de jazz ; un mood sax, piano, contrebasse & batterie.
Mais ceci est une autre histoire.

Technique :

Pas froide du tout comme impression

Artistique :

Bien joué. Moment rare.

Technique :

Précision et qualité du son : Très, très bien !
Transitions, enchaînements : Maîtrisés. Vous faites encore des progrès, mon cher Sacham.
Jeu "des" instrumentistes : Je n'en ai entendu qu'un, d'instrumentiste ... Mais quel !

Artistique :

Quelle beauté, quelle douceur, quel talent ! Et en si peu de notes ; et avec un motif thématique aussi simple ... Il faut oser. Il faut oser pour réussir. Vous avez osé. C'est réussi.
Merci Sacham pour ces quelques instants de Musique.

Technique :

J'aime bien ,peut-etre un peux long et pourquoi pas en français?tres entêtant,bonne chance

Artistique :

Bien

Technique :

Le mot Opéra peut d'emblée susciter maintes aigreurs et a prioris. Mais, par dépassement et curiosité, s'embarquer à écouter cet extrait de "Padre Pio e la notte oscura" fait découvrir présence, puissance, maitrise d'un chant libéré de toutes contraintes techniques, propulsant l'émotion en haut de l'echelle sensible. L'orchestration n'en est pas à supporter mais bien à complementer, en un discourt épuré, gracieux et toujours équilibré. L'écoute des differents extraits sur le site referent, puis de l'enregistrement complet du premier acte, confirme pleinement toute la puissance sensible, passionelle, de ce court extrait. Particulierement somptueux !

Artistique :

La réalisation de ce premier acte a demandée une année de travail acharné à Jean Pierre Nouvel. Une année emplie de joie, de doute, de solitude. Il a du aussi, en effet, résoudre le probleme financier de cette formidable entreprise. Pour en arriver à une certitude: "Padre Pio e la notte oscura" est belle et bien une réussite et valait largement qu'il lui prete vie. Le second acte, en cours d'écriture, merite une attention toute particuliere... Suivre son évolution sur http://www.padrepio-opera.com/ est une experience rare et bien instructive. Excellent ! Bonne suite !

Technique :

La réalisation est au dessus de tout éloge (à ce que j’ai lu, l’enregistrement a été réalisé en studio professionnel). Le site du compositeur, très complet, donne d’ailleurs plein d’informations sur le processus de création, l’enregistrement en studio, les artistes… Le compositeur a dû, je le suppose, casser sa tirelire pour enregistrer : ses nombreux interprètes sont tous des professionnels ; le titulaire du rôle de Padre Pio, dont je connaissais le nom, mène d’ailleurs une carrière internationale Vraiment un très beau travail.

Artistique :

Je me trouvais à Milan voici une quinzaine de jours ou un ami (musicien professionnel) italien m’avait dit avoir vu sur internet un site présentant un opéra écrit par un français et dédié à l’histoire de Padre Pio, l’une des « gloires » de son pays ! C’est amusant de retrouver ici des extraits de cet opéra !

J’ai écouté le premier acte entier de cet opéra « Padre Pio e la notte oscura » (environ une heure) en l’acquérant sur le site indiqué. Le compositeur Jean-Pierre Nouvel me semble être transcendé par l’histoire et ses personnages. Pour l’amateur d’opéra que je suis, l’écriture vocale est parfaitement maîtrisée. J’imagine bien cette oeuvre s’insérer un jour dans le répertoire classique. La musique créée reste dense de bout en bout, même si ce premier acte ne connaît pas de scène dramatique violente (façon de parler ; Padre Pio vit dramatiquement ce qui lui arrive). L’histoire racontée peut être vue comme une lutte sourdement féroce dont sera victime le futur Saint. Il y a même une scène savoureuse avec deux ecclésiastiques cyniques et fort peu convenables. Le tout baigne souvent dans une lumière mystique proche de celle du Parsifal wagnérien. Le langage est résolument post romantique, suivant au besoin une ligne plus proche de Richard Strauss voire de Puccini que de Wagner. L’écriture est fluide, mais le style me paraît tout de même un peu plus conservateur, avec moins de dissonances que certains de ses poèmes symphoniques déjà entendus ici. J’attends le deuxième acte avec beaucoup d’intérêt.

Technique :

Avec un peu de recul depuis la parution de ce morceau, j'éprouve toujours autant de bonheur à l'écouter. Sur le plan de la composition, c'est une vraie réussite, qui aurait mérité de nombreux développements (mais peut-être est-ce à l'étude?).

Artistique :

Sur le plan musical, rien à redire: ton thème IRENIE est tout bonnement magnifique et digne de La Marseillaise; il ne lui manque que quelques rondeurs et un peu d'aménagements orchestraux pour être vraiment au top. Bonne continuation en tous cas BULDO et encore bravo.

Technique :

Avec les moyens du bord, en attendant mieux (sic)... Le résultat est honnete, mix bien géré, une ambiance bien menée. Le piano decolle bien, un jeu plaisant, fluide, dynamique, accrocheur. Basse/batt complices, orchestration depouillée sans remplissage excessifs. Le tout s'accorde bien, c'est realisé avec finesse. Avec a bord les moyens attendus ...

Artistique :

Jazz pointé d'exotisme, un coté spatial, insouciant, dénotant une bonne créativité. L'ambiance est savoureuse, un voyage bien sympathique ... Bonne suite !

Technique :

Bonjour,

il semble qu'il y ait une erreur dans l'accord à 0'24"

Artistique :

Bien que la compo ne soit pas de vous, je trouve la retranscription avec les dynamiques piani et crescendo très bien exécutées.
Bravo en tout cas, vous avez fait ça avec quoi ?

Technique :

Les clefs d'ut,de fa ou de sol n'ont pas d'autre but que de ne pas se faire balader les notes écrites trop en dehors de la portée.

Viola: en français cet instrument se nomme "alto" (sous-entendu: violon alto). Son étendue va du do 2ème interligne de la clef de fa jusqu'où on veut compte tenu des possibilités offertes par les harmoniques.

Entre parenthèses, je n'ai pas bien compris si vous ne connaissiez pas l'existence de la clef d'ut ou de l'instrument appelé Viola.Existence avec un "e" et non un "a".

Pour moi, l'expérience faite avec un "EWQLSO", dont je ne connais rien, est décevante.

Artistique :

Je viens de dévouvrir (c'est la première fois que je me risque à émettre un avis sur ce site) la case "artistique", ce qui me procure l'occasion de continuer le paragraphe précédent.
L'ensemble est décevant:
-il n'y a aucune respiration dans l'interprétation. C'est pourtant ce qui rend la musique vivante, permet de rendre sensibles les débuts et fin des phrases. Sans elle le discours devient étouffant. Une apnée n'est pas vivable.
-Les sonorités parfaitement synthétiques blessent l'oreille.Une note ne peut pas être tenue aussi longtemps naturellement. Cela pose la question de savoir s'il est judicieux de mettre en séquence des partitions disponibles en inteprétation vivante, à moins de vouloir faire la sienne propre.
-Les dissonnances ne sont pas assez mises en valeur, peut-être à cause du choix du patch

Néanmoins l'essai est louable de vouloir enchaîner les phrases, si du moins c'était l'intention première, de tout lier, de pousser à bout les capacités. l'ensemble est cohérent sur ce point.

Pour l'anecdote, Bach est un génie, virtuose de la copie: on se demande depuis longtemps si certaines de ses oeuvres sont de son cru ou des transciptions de Vivaldi!

Bonne continuation dans vos oeuvres.