Sujet Mon dieu, quel crétin.
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Traumax
51839
Goncourt du Grouik
Membre depuis 18 ans
Anonyme
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Anonyme
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J'ai repris le boulot le 4 août, et le reste de la famille est resté au frais à Nant, dans l'Aveyron. C'est à 1h de la maison. Je suis donc allé les rejoindre vendredi soir, et je suis redescendu hier dimanche pour pouvoir être au boulot jourd'hui lundi matin.
J'arrive donc à la maison vers 20h30, et je ne rêve alors que d'une seule chose: une douche, un grand bol de tomate et zou, au plume. Je sors les affaires de la bagnole. Merde. Les clés. Les clés de la baraque, je les ai pas sur moi. Dans le coin secret où on planque habituellement les doubles, rien. Misère. Je cherche frénétiquement tout en sentant se profiler l'impensable: je les ai laissées à Nant. Va falloir ou bien péter une vitre, ou bien retourner les chercher: 1h de route aller, plus 1h retour, jsus pas de retour à la casa avant 23h... moi qui croyais passer une soirée tranquille, avant de réattaquer la semaine
(en plus, on a trotté comme des dingues aujourd'hui, sachant que dans ce cas, 80% du temps l'héritier est juché sur mes épaules).
Bon, bah je. A750, A75, le tunnel de Lodève, la montée de l'Escalette (où j'ai fait une pointe à 25l/100), le Caylar, le causse du Larzac... j'arrive à Nant un peu avant 22h, ça jacasse comme quoi tiens pourquoi jsus là, tout ça, tandis que moi, assez maussade, je réponds à peine et avec les dents un peu serrées - faut dire que j'ai aussi les crocs, vu que j'étais censé bouffer "en bas".
Je cherche les clés partout, introuvables. Je me sens peu à pute devenir Anakin au village Tusken, et quand tout va sortir, je me dis en pétant(*) que je vais exploser.
22h15. Toujours pas de clés. La goutte atteint le haut du vase et finit par déborder. Lors donc, je me rebarre, après un bonsoir sec et sans joie, je reprends la bagnole, et je me retape les 100 bornes de route jusqu'à la vallée, dans la nuit étoilée.
Je re-arrive chez oim. J'ai eu tout le trajet pour savoir quelle vitre je vais devoir péter (enfin, celle qui coûtera le moins cher à remplacer). Je chope le larfeuille, sors de la bagnole en claquant la porte (non non jsus pas énervé), me précipite vers la porte et laisse tomber mon portefeuille à côté de mes affaires. Il tombe avec un bruit mat accompagné d'un petit gling inhabituel.
Gling?
J'ouvre le larfeuille, les clés de la casa sont dedans.
La bonne nouvelle dans l'affaire c'est que quand même, je n'aurai pas à payer une fenêtre neuve.
Du coup j'ai pris une double ration de tomate pour fêter ça.
(*) j'ai fait un jeu de mots avec in petto, péter et exploser, comme t'es trop con je préfère te le dire, pas que tu passes à côté.
J'arrive donc à la maison vers 20h30, et je ne rêve alors que d'une seule chose: une douche, un grand bol de tomate et zou, au plume. Je sors les affaires de la bagnole. Merde. Les clés. Les clés de la baraque, je les ai pas sur moi. Dans le coin secret où on planque habituellement les doubles, rien. Misère. Je cherche frénétiquement tout en sentant se profiler l'impensable: je les ai laissées à Nant. Va falloir ou bien péter une vitre, ou bien retourner les chercher: 1h de route aller, plus 1h retour, jsus pas de retour à la casa avant 23h... moi qui croyais passer une soirée tranquille, avant de réattaquer la semaine
(en plus, on a trotté comme des dingues aujourd'hui, sachant que dans ce cas, 80% du temps l'héritier est juché sur mes épaules).
Bon, bah je. A750, A75, le tunnel de Lodève, la montée de l'Escalette (où j'ai fait une pointe à 25l/100), le Caylar, le causse du Larzac... j'arrive à Nant un peu avant 22h, ça jacasse comme quoi tiens pourquoi jsus là, tout ça, tandis que moi, assez maussade, je réponds à peine et avec les dents un peu serrées - faut dire que j'ai aussi les crocs, vu que j'étais censé bouffer "en bas".
Je cherche les clés partout, introuvables. Je me sens peu à pute devenir Anakin au village Tusken, et quand tout va sortir, je me dis en pétant(*) que je vais exploser.
22h15. Toujours pas de clés. La goutte atteint le haut du vase et finit par déborder. Lors donc, je me rebarre, après un bonsoir sec et sans joie, je reprends la bagnole, et je me retape les 100 bornes de route jusqu'à la vallée, dans la nuit étoilée.
Je re-arrive chez oim. J'ai eu tout le trajet pour savoir quelle vitre je vais devoir péter (enfin, celle qui coûtera le moins cher à remplacer). Je chope le larfeuille, sors de la bagnole en claquant la porte (non non jsus pas énervé), me précipite vers la porte et laisse tomber mon portefeuille à côté de mes affaires. Il tombe avec un bruit mat accompagné d'un petit gling inhabituel.
Gling?
J'ouvre le larfeuille, les clés de la casa sont dedans.
La bonne nouvelle dans l'affaire c'est que quand même, je n'aurai pas à payer une fenêtre neuve.
Du coup j'ai pris une double ration de tomate pour fêter ça.
(*) j'ai fait un jeu de mots avec in petto, péter et exploser, comme t'es trop con je préfère te le dire, pas que tu passes à côté.
[ Dernière édition du message le 08/08/2016 à 12:08:20 ]
cyar
12259
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
a ouais, la lose là!
Anonyme
9585
roooooh
Anonyme
27133
Mais j'ai signé un beau score sur l'aller: -10mn par rapport au temps habituel. Sur un trajet d'1h en moyenne, c'est une belle perf je trouve
Anonyme
9585
Attends le pv pour conairtre ta vitesse de pointe ....
Anonyme
5216
Javier Guante Hermoso
47326
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
Putain le pas de l'Escalette, t'as fait gaffe au radar dans la descente?
Anonyme
65640
Un pote mien a déjà fait encore mieux, grosso modo le même truc que darinze (clés perdues avec aller-retour de 100km), mais comme c'était un appart, le bris de fenêtre était hors sujet. Il a donc sorti une perceuse (empruntée chez un autre pote), et tenté sans succès de niquer le verrou.
En fin de compte, par total hasard il a ouvert la porte en appuyant sur la clanche (clenche ? grmbl quel mot de merde), tout simplement il était parti sans fermer et la clé était sur la porte côté intérieur.
En fin de compte, par total hasard il a ouvert la porte en appuyant sur la clanche (clenche ? grmbl quel mot de merde), tout simplement il était parti sans fermer et la clé était sur la porte côté intérieur.
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