Sujet de la discussionPosté le 17/05/2016 à 22:26:43Mon dieu, quel crétin.
Je bosse sur un preset sur le microbrute, je change de feuille, je bouge les potards, et plus rien. Je redémarre, une fois, deux fois, j'éteins. J'attends 10 minutes, je rallume, toujours rien.
J'avais oublié d'ouvrir le LP.
Allez, je suis sur que toi aussi tu te facepalmes de temps en temps. Viens, dit, promis, on se moque.
Fin de la dernière rotation avant la pause méridienne, je me change et ouvre le coffre de mon scoot pour vérifier que j'ai tout ce qu'il faut pour aller m'acheter de quoi casser la croute... Putain pas de larfeuille, bordel. Pourtant je me vois bien le prendre sur mon chevet ce matin avant de tailler. Il est 12h30 et j'ai commencé à 5 heure du mat, sans petit dej rien ne passe au réveil, autant dire que j'ai salement les crocs.
Je me traite de gros boloss, imaginant comme cela m'arrive parfois, que j'ai posé mon porteuf sur la table pendant que je foutais mon casque et que j'ai oublié de le récup... Bref je me prends un café avec deux sucres, à défaut de calmer la faim ça évitera une mauvaise surprise.
Pause terminée depuis voilà une heure trente, toujours la tête dans le guidon, quand soudain la révélation. Ce matin en partant, au lieu de le foutre dans mon coffre comme d'hab, je l'ai foutu dans la boite à gants.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Anonyme
24289
428Posté le 24/07/2018 à 17:57:34
C'est surtout que du coup j'ai bouffé à seize heure en rentrant, quand t'es debout depuis 4 c'est chaud. J'te raconte pas comment la tranche de pâté de chaire à l'ail et la boule de seigle au raisin que j'ai acheté l'ont mal vécu. Certes très brièvement mais mal. Ce fut une vraie charcuterie. La je me termine tranquillement en me vengeant sur un vieux livarot et quelques abricots fort goûtus.